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Comme elle le fait depuis 16 ans, la Ligue Contre le Cancer Doubs/Besançon organisera ce samedi 16 octobre une vente de roses sur la voie publique et dans les grandes surfaces du Doubs.

Les centres-villes de Besançon et d’Ornans ainsi que les grandes surfaces de Besançon, Pontarlier, Pouilley-les-Vignes, Saône, Saint Vit, Roche-Lez-Beaupré, Devecey et depuis cette année Baume-les-Dames, seront investis par une centaine de bénévoles, tous réunis pour la vente de 12 000 roses. Soit une rose contre un don minimum de 2 euros, ce samedi 16 octobre de 9h à 12h30. Les bénéfices serviront au financement de la recherche en cancérologie, de l’accompagnement des malades et de la mise en place d’actions d’information et de prévention.

Pour répondre aux impératifs de la continuité pédagogique à l’école, réduire la fracture numérique et accélérer la transformation numérique, le rectorat de Besançon fait savoir que le département du Doubs va bénéficier d’un financement de plus de 6 millions d’euros sur une période triennale, sur le principe d’un cofinancement Etat-collectivités.

Concrètement, cette dotation va permettre l’achat d’équipements pour les écoles, l’équipement des établissements pour l’enseignement hybride, la formation des professeurs, l’accompagnement des parents volontaires, l’équipement d’élèves de classes élémentaires en situation de fracture numérique et la mise à disposition de ressources aux enseignants.

Dans le Doubs, le comité départemental de sortie de crise a tenu sa première réunion, ce mercredi, au sein de la Chambre de Commerce et d’Industrie à Besançon. La création de cette instance fait suite à la prise de parole de Bruno Le Maire, ministre de l’économie, des finances et de la relance, en juin dernier. Il avait alors décliné le plan d’action sur l’accompagnement des entreprises en sortie de crise.

Jean-François Colombet, le préfet du Doubs, est à l’origine de la rencontre d’hier. Rappelons que l’objectif principal est d’organiser une détection et un accompagnement des entreprises en situation de fragilité. Ces dernières bénéficient d’un numéro d’appel unique à leur disposition. Il s’agit du 0.806.000.245

La saison théâtrale 2021/2022 à Pontarlier des Scènes du Haut-Doubs est officiellement lancée. Après le spectacle d'ouverture du mois de septembre, ce jeudi 14 octobre,  Ã  20h30,  la comédie intitulée « Des plans sur la comète » de Tristan Petitgirard sera jouée au théâtre Bernard Blier. 

Au total, ce seront plus d'une dizaine de représentations qui seront proposées par la Ville de Pontarlier et les associations partenaires, au Théâtre Bernard Blier et au Théâtre du Lavoir. Pour tout savoir sur ces événements, rendez-vous sur le site de la ville ou ses réseaux sociaux.

Les étudiants de la filière Staps de l’université de Franche-Comté se sont mobilisent ce mercredi. Ils dénoncent des infrastructures vétustes, des amphis inadaptés et un manque d’enseignants.   C’est à pied, qu’ils ont quitté leur campus pour rejoindre le rectorat de Besançon, où une délégation a été reçue. Symboliquement pour montrer la gravité de la situation, les étudiants ont recouvert un cercueil en bois de bougies. Ils l’ont ensuite brûlé avec les cartons revendicatifs de la manifestation.

Après avoir connu des difficultés dans l’éducation de son berger allemand, Tony Proponnet a décidé de changer de voie et de s’intéresser à cette problématique. C’est en découvrant la technique mise en œuvre par le Montpelliérain Vincent Marchal que le Pontissalien s’est lancé dans cette aventure. Un intérêt qui tombe bien. D’autant plus que de nombreux particuliers sont concernés par ce problème. Il est vrai aussi que les périodes de confinement ont également eu un impact sur la santé et le comportement des animaux.

Ne trouvant pas de réponse en provenance des éducateurs canins, prônant pour certains une méthode classique ( avec collier électrique, collier étrangleur) ou une méthode ultra positive (sans aucune sanction), Tony a cherché une méthode en adéquation avec ses valeurs. Refus catégorique d’agresser ou violenter son animal. Il s’est dirigé vers une méthode plus naturelle. Cette  technique d’éducation utilise une loi d’apprentissage, basée sur le conditionnement opérant. Tout comportement associé à quelque chose de désagréable aura tendance à diminuer. A l’inverse, tout comportement associé à quelque chose d’agréable aura tendance à se répéter. Dans la méthode utilisée, ce n’est pas le propriétaire qui sanctionne le comportement de son animal. Au contraire, le maître doit être hypocrite, très sympathique et faire des câlins. Cette méthode a fait ses preuves sur des centaines de chien.

Une technique efficace

Alors que son animal de compagnie adoptait de mauvais comportements, en mordillant, en sautant sur les gens ou encore en courant sur des voitures, des trottinettes, des joggers ou des cyclistes, Tony a appliqué cette nouvelle méthode. « En quelques jours, les premiers résultats se sont fait sentir Â». Depuis, fort de ce constat, et des qualités humaines du maître, des personnes ont fait appel à ses services. Les résultats obtenus sont convaincants et très rapides. Si vous aussi, vous souhaitez en savoir davantage, n’hésitez pas à contacter M. Proponnet au 07.77.37.88.24 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.  Il se déplace sur un rayon de 40 kilomètres autour de Pontarlier.

L'interview de la rédaction

 

A compter du 1er novembre entre en vigueur l’obligation de disposer d’équipements spécifiques en zones montagneuses. L’objectif est d’améliorer la sécurité des usagers de la route. Néanmoins que l’on ne s’y trompe pas. La nouvelle mesure n’impose pas l’obligation d’équiper son véhicule  en pneus neige uniquement, mais de détenir des équipements spécifiques dans le coffre, qui devront bien évidemment être posés en cas de chaussées enneigées. Cela peut-être des chaînes ou d’autres dispositifs antidérapants amovibles équivalents.

Une certaine tolérance ?

Nathalie Linard, responsable du service sécurité routière à la Direction Départementale des Territoires, reconnaît que cette année une certaine tolérance sera accordée par les forces de l’ordre. Ce qui ne sera plus le cas en novembre 2022. Les secteurs concernés sont connus. D’ailleurs, une signalisation zonale a été déployée pour indiquer aux usagers l’entrée dans une zone ou les obligations d’équipements s’appliquent.

Choisir les bons pneus

Quitte à investir. Autant investir judicieusement. C’est ce que conseille la Direction Départementale des Territoires. Effectivement, les pneus installés doivent porter l’appellation « pneus hiver Â», qui couvrira l’ensemble des pneus identifiés par l’un des marquages « M+S Â», « M.S Â» ou « M&S Â» ou par la présence conjointe du marquage « symbole alpin Â» et l’un des marquages « M+S Â», « M.S Â» ou « M&S Â». A partir de 2024, seuls les pneus identifiés par la présence conjointe du marquage « symbole alpin Â» et l’un des marquages « M+S Â», « M.S Â» ou « M&S Â» seront exigés.

L'interview de la rédaction / Nathalie Linard, responsable du service sécurité routière à la Direction Départementale des Territoires

 

À quelques semaines du congrès Les Républicains (LR), Jean-Baptiste Gagnoux, maire de Dole et Vice-président du département du Jura, fait savoir qu’il contribuera à la campagne de Valérie Pécresse, candidate à l’élection présidentielle.  Rappelons que l’organisation des Présidentielles des 10 et 24 avril prochains  passera par la tenue d’un congrès qui le 4 décembre permettra aux militants de choisir le candidat qui défendra les couleurs de la droite républicaine et du centre.

« J’ai fait le choix de soutenir Valérie Pécresse, présidente de la région ÃŽle-de-France convaincu par certaines de ses propositions telles que la baisse des charges sociales de 10% pour faire augmenter les salaires et ainsi revaloriser le travail ; l’indépendance énergétique ; la nécessité d’avoir une politique claire concernant les flux migratoires aujourd’hui incontrôlés Â» écrit M. Gagnoux.