Après deux défaites consécutives, les Griffons Bisontins renouent avec la victoire. Ils se sont imposés sur le score de 5-3 contre les Alchimistes de Bourges. Le match a été très équilibré et les nombreux arrêts des gardiens de but ont permis de maintenir le suspense jusqu'à la fin du match. Au classement, Besançon est 7è sur 8 équipes, avec 3 points. Le prochain match de championnat se jouera chez le coleader bordelais le samedi 30 octobre.
Le CA Pontarlier Rugby n’a rien pu faire contre Le Creusot. Ce dimanche après-midi, dans le cadre de son championnat de fédérale 2, Le XV du Haut-Doubs s’est incliné sur le score de 20 à 40 à Paul Robbe.
Ce dimanche après-midi, vers 13h30, les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus à Nans-Sous-Sainte-Anne pour porter secours à une femme de 46 ans, présentant une douleur au genou à la suite d’une chute. Elle se trouvait en bas du belvédère de la Source du Lison. Les spécialistes du GRIMP ont procédé au treillage de la victime à bord de Dragon 25. Elle a ensuite été transportée sur les urgences de l’hôpital Minjoz.
Ce dimanche, en fin d’après-midi, à l’initiative de syndicats et associations militantes de gauche, un rassemblement s’est tenu sur le Pont Battant à Besançon pour se souvenir du massacre du 17 octobre 1961. Durant cette nuit, sous l’autorité du Préfet Maurice Papon, la police française a réprimé des manifestants algériens, descendus dans les rues parisiennes pour protester contre l’instauration d’un couvre-feu en France contre le seul peuple algérien, en pleine guerre d’Algérie. Des manifestants ont été assassinés, violentés et jetés dans la Seine. Les auteurs de cette répression et leurs commanditaires n’ont jamais été poursuivis.

La France n’a toujours pas reconnu sa responsabilité. Samedi, Emmanuel Macron a reconnu que les crimes commis cette nuit-là , sous l’autorité de Maurice Papon, était « inexcusables ». Beaucoup jugent ces mots insuffisants. A quelques mois de l’élection présidentielle, les manifestants demandent un geste à l’état français. Par ailleurs, certains s’interrogent sur les déclarations racistes et islamophobes qui circulent en ce début de campagne.

Pour rendre hommage aux opprimés et personnes qui ont perdu la vie, les manifestants ont symboliquement et pacifiquement jeté des fleurs dans le Doubs en fin de manifestation.
Le reportage de la rédaction, avec notamment le Bisontin Khaled Cid, récemment victime d’un acte raciste à Battant, et Abdel Ghezali, 1er adjoint à la ville de Besançon, en charge des sports.

La gendarmerie de Baume les Dames (25) lance un appel à témoins suite à la disparition inquiétante de Vincent Figuet, né le 05 mai 1979 à Besançon (25), demeurant 4 rue de la Pitoullière à MESANDANS (25).
Il a quitté son domicile à pied et ne donne plus de nouvelle depuis le samedi 16 octobre à 15h40. Il était vêtu d'un pantalon en jean bleu, d'un pull bleu et d'une paire de baskets blanches de marque Ellesse. Il mesure 1,80m, de corpulence mince avec des cheveux courts et marrons.
Toute personne susceptible d'apporter des éléments sur cette disparition inquiétante est invitée à se manifester en appelant le numéro vert de la gendarmerie du Doubs au 0 800 00 48 43.
Le groupe d’opposition de droite « Besançon Maintenant » s’insurge, si elle devait voir le jour, contre l’idée d’interdire les voitures sur le pont de la république au centre-ville de Besançon. Et ce, dès le printemps 2022. Ludovic Fagaut et son équipe y voient une politique en défaveur de la voiture au centre-ville de Besançon, alors que, selon eux, « elle reste le mode de déplacement de la grande majorité des habitants du Grand Besançon ».
Le communiqué de presse liste les différentes actions qui pourraient confirmer ces dires : suppression de places de parking, journée « sans voiture », problèmes d’accès avec les bornes d’accès au centre-ville, modification de la fréquence des feux et des capteurs de circulation.
« Besançon Maintenant » dénonce une « erreur ». Et de conclure : « le moyen le plus rapide d’accentuer le déclin du centre-ville de Besançon serait d’empêcher les gens d’y entrer ».
Dans le cadre de ses actions pour la sauvegarde de l’environnement, la Ville de Maîche vient d’équiper ses services municipaux d’un triporteur électrique. L’engin remplace un véhicule thermique. Il est utilisé pour collecter les déchets dans les corbeilles mais aussi pour les travaux en lien avec les espaces verts, qu’il s’agisse du désherbage, de la taille ou des plantations.
La Ville de Maîche indique que cette action s’inscrit dans une politique plus globale de préservation de l’environnement et de réduction de son empreinte carbone. Elle tient également à préciser que l’achat du nouveau véhicule sort des usines d’une société spécialisée basée à la pépinière d’entreprises Technoland à Etupes.
Jeudi dernier, en fin de semaine, Marie Guite Dufay, présidente de la région Bourgogne Franche-Comté, et Jean-François Chanet, recteur de la région académique Bourgogne Franche-Comté, ont posé la première pierre du bâtiment de restauration sur le site du lycée Victor Hugo.

Ce nouveau bâtiment accueillera un service commun de restauration mutualisé entre le lycée Victor Hugo et le lycée Tristan Bernard. Cette construction comprendra également la création d’un internat pour le lycée Tristan Bernard sur le site du lycée Victor Hugo. Le coût de cette opération s’élève à 13,24 millions d’euros. La livraison du chantier est prévue pour la rentrée 2023