Ce dimanche 25 septembre, dans le cadre de la journée des Familles, l’Union Départementale des Associations Familiales du Doubs, les associations familiales et associations de quartier organisent un temps convivial, avec des jeux et des activités pour les enfants dans le parc de la Maison de la Famille. Cette journée est gratuite. Au programme : atelier peinture, bricolage, maquillage, jeux surdimensionnés, structure gonflable, parcours sensoriel… . Cette initiative sera également rythmée par un spectacle, à 11h30 et 15h, la présence d’un magicien sculpteur de ballon et des animations musicales.
Ce dimanche 25 septembre, la manifestation « Tout Besançon bouge » se déroulera dans le parc Chamars de 9h à 17h. Tout au long de cette journée, la ville de Besançon et ses partenaires mettent le sport à l’honneur. Le public pourra rencontrer les associations sportives locales et participer aux ateliers proposés. Des démonstrations seront également assurées. L’objectif principal de cette opération est de mettre en avant le lien qui existe entre la pratique régulière d’un sport et la santé. Au programme : marche nordique, rugby, escrime, yoga, sophrologie, tyrolienne, paddle, … .
Ce dimanche 25 septembre, à Besançon, le comité de quartier de Casamène organise un rassemblement, à 14h, sur l’avenir de Casamène. Ses membres s’interrogent sur l’avenir de leur lieu de vie. Un projet immobilier les intrigue plus particulièrement. Ils demandent à la ville de Besançon de cesser son mutisme et de répondre aux questions qui lui ont été posées. Les habitants veulent être impliqués dans les décisions qui les concernent. Ils se disent prêts à « co-construire l’avenir de Casamène ».
Doubs Sud Athlétisme se prépare à accueillir la 17è édition du Trail des Sangliers. Un rendez-vous qui fait partie des incontournables dans le riche calendrier des évènements Trail d’une saison. Le rendez-vous est fixé à ce dimanche. Depuis 2020, date à laquelle le Covid19 est apparu, l’évènement pontissalien n’a pas retrouvé sa fréquentation habituelle. Cette année, ils seront près de 600 à prendre le départ. C’est la moitié moins que ces dernières années. La crise sanitaire, des rendez-vous qui se multiplient et un autre mode de pratique sont à l’origine de cette situation. « On a perdu cette envie d’aller accrocher le dossard le week-end » explique Christophe Clayrac, entraîneur au sein de l’association organisatrice.
« Nous sommes arrivés au bout d’un cycle »
Pour l’organisateur, l’heure est à la réflexion. L’historique organisation va évoluer à compter de l’année prochaine pour répondre aux besoins et aux attentes des pratiquants. Néanmoins, que tout le monde se rassure, ce dimanche, les amoureux de cette discipline vont largement pouvoir prendre du plaisir. Quatre parcours sont au programme : 43, 23, 14 et 9 kilomètres. Pour ce nouveau rendez-vous, les épreuves jeunes, le challenge inter entreprises, la marche nordique et le canitrail ont été reconduits.
Le Grand Taureau, Château de Joux et berges du Doubs
Comme à l’accoutumée, différents départs seront donnés. Le coup d’envoi des 43 et 23 kilomètres aura lieu au centre-ville de Pontarlier. Les inscrits sur le 14 kilomètres se donnent rendez-vous au Château de Joux. Enfin, le point de départ du 9 kilomètres sera donné à Oye-et-Pallet. De leurs côtés, les enfants, nés entre 2008 et 2016, s’affronteront à l’Espace Pourny où quatre épreuves seront proposées, en fonction de la catégorie d’âge des participants. Cette année encore, les traileurs pourront évoluer en plein cœur d’un cadre idyllique, qui conjugue technicité, efforts physiques et panoramas enchanteurs. Une belle épreuve sportive qui réfléchit aussi à son avenir.
L'interview de la rédaction / Christophe Clayrac
Il y a du handball ce vendredi soir. Dans la cadre de la troisième journée de championnat en ProLigue, le GBDH va tenter de décrocher sa première victoire de la saison. Le groupe de Benoît Guillaume, qui est capable du meilleur comme du pire, reçoit Saran. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h15 au Palais des Sports Ghani Yalouz.
A Besançon, chemin du Vernois, un homme de 35 ans a été retrouvé en possession d’une cartouche de calibre 8 mm, dans la nuit de mercredi à jeudi, dans une voiture accidentée. Les policiers ont remarqué la conduite excessive et inappropriée de cet individu à hauteur du boulevard Diderot.
Apercevant la patrouille, ce dernier a refusé de se soumettre aux injonctions de s’arrêter des policiers. Il a été interpellé plus loin. Il a été contraint de s’arrêter car son véhicule avait percuté un arbre. Le chauffard tente alors de prendre la fuite, mais il n’ira pas très loin. Il a été ramené au commissariat et placé en garde à vue.
Un bâtiment agricole à usage de stockage de fourrage a entièrement été détruit par les flammes ce jeudi à Saône. La partie stabulation a pu être préservée par les soldats du feu. Trois lances ont été mises en œuvre. Plusieurs veaux ont péri. L’exploitant, gravement brûlé aux bras, lors de l’évacuation des animaux a été transporté sur le CHU Minjoz.
C’est quasiment une première. A Doubs, soixante personnes, majoritairement du personnel soignant de l’EHPAD du Larmont, se sont mobilisées pour dénoncer leurs conditions de travail ce jeudi matin. Les doléances sont nombreuses. Elles portent sur les salaires, mais ce n’est pas la seule revendication.
Le manque de personnel pour assurer un accompagnement responsable est une véritable préoccupation. Tout comme des recrutements, faute de candidats, d’intervenants sans qualification, qui impactent considérablement la qualité des soins. La dégradation est réelle. Des ASH, des infirmières, des aides-soignantes et des cadres manquent à l’appel. Dans ces conditions, la direction du Centre Hospitalier Intercommunal de Haute-Comté a été contrainte de fermer 20 lits au Larmont. A cela, il faut ajouter 5 lits supplémentaires au Grandvallier, qui accueille des personnes en souffrance psychologique.

Les manifestantes en appellent au gouvernement pour prendre conscience de la situation. « Il faut prendre des mesures d’urgence » explique Lydie Lefebvre, responsable CGT du Centre Hospitalier Intercommunal de Haute-Comté. La responsable syndicale est très inquiète. D’autant plus que l’avenir est loin d’être assuré. Les formations dispensées par l’IFSI de Pontarlier ont bien du mal à se remplir.
Le reportage de la rédaction : Lydie Lefebvre, responsable CGT du Centre Hospitalier Intercommunal de Haute-Comté.