C’est une denrée précieuse. C’est sans doute la raison pour laquelle les collectivités se mobilisent. Dans le Haut-Doubs, sur le territoire de la communauté de communes Lacs et Montagne du Haut-Doubs, les élus financent des travaux pour explorer le sol et découvrir des points d’eau jusqu’à lors insoupçonnés.
A Métabief, des travaux de forage ont été menés et ont permis de découvrir un point d’eau sous le tunnel du Mont d’Or. Ce qui permet à la commune d’augmenter ses réserves. Du côté de la communauté de communes, on s’intéresse aussi à cette problématique. Une action qui s’est révélée payante. En 2017, une nouvelle ressource est apparue sous le tunnel du Mont d’Or également. Les analyses se sont révélés concluantes. Une étude de faisabilité économique a été menée pour connaître le coût que représenterait le fait de sortir l’eau du tunnel. Pour l’heure, la collectivité n’a pas encore la compétence pour la gestion de l’eau sur son territoire– elle l’obtiendra peut-être en 2026 – mais la question de l’approvisionnement en eau des populations ne peut être écartée. Ce qui se vit depuis plusieurs étés dans le Haut-Doubs préoccupent.
Un schéma directeur
A la demande de l’Agence de l’Eau, la Communauté de Communes Lacs et Montages du Haut-Doubs travaille sur l’élaboration d’un schéma directeur qui pointe les ressources connues à ce jour, mais l’envie de pousser les investigations devient une réalité politique. « Nous tenons à étudier l’approvisionnement en eau du territoire communautaire dans sa globalité car nous savons que des communes sont en difficulté » conclut Jean-Marie Saillard, le président de la Communauté de Communes.
L'interview de la rédaction / Jean-Marie Saillard
Concernant l’épidémie de covid-19, l’agence régionale de santé de Bourgogne Franche-Comté indique que la circulation du virus est stable ces sept derniers jours dans la région. Le taux d’incidence ne subit pas de gros changements et s’établit à 166 pour 100.000 habitants en population générale. Concernant l’activité hospitalière, de nouvelles admissions pour des formes sévères de covid sont encore enregistrées.
Dans le cadre de la 8è journée du championnat de France de Ligue 2, le FC Sochaux Montbéliard se déplace à Dijon. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 19h. Ce derby régional prend une saveur encore plus particulière cette saison, avec la présence d’Omard Daf, l’ancien coach sochalien, sur le banc de la formation bourguignonne. Au classement, les Sochaliens occupent la troisième place. Les Dijonnais sont en huitième position. Deux points seulement séparent les deux équipes.
Presqu’une semaine après la rentrée des classes, nous avons rencontré Patrice Durand, le directeur de l’inspection académique du Doubs, pour faire le point sur ces premiers jours de retour à l’école et sur la déclinaison des mesures gouvernementales sur le terrain. Echange.
Quel bilan tirez-vous de cette première semaine de rentrée des classes ?
Cette première semaine est à l’image de la première journée de cette rentrée scolaire. C’est-à -dire, une semaine sereine, apaisée et réussie. Nous avons été en mesure de présenter un enseignant dans chaque classe et devant tous les élèves.
Des parents s’interrogent sur la qualité de l’enseignement dispensé, par des enseignants parfois insuffisamment formés. Pouvez-vous nous rassurer sur ce point ?
On peut avoir un discours rassurant. Cette inquiétude des parents est légitime. Dans le département du Doubs, tous les professeurs des écoles sont des titulaires ou des enseignants stagiaires. Concernant les professeurs de collège et de lycée, nous avons un très faible nombre de contractuels, qui est de 0,7% de l’ensemble du corps enseignant du second degré. S’agissant de ces contractuels, il y a un accompagnement qui est fait. De façon à ce qu’ils puissent acquérir en ce début d’année les fondamentaux pour être opérationnels dans l’exercice du métier d’enseignant.
Faisons le point sur les grandes mesures de cette rentrée scolaire. Le sport à l’école, c’est déjà une réalité dans notre département ?
Il y a une volonté du Président de la République et du Ministre de déployer les 30 minutes d’activités quotidiennes de sport. C’est le cas dans toutes les écoles du département du Doubs. Il y a également une volonté d’expérimenter 2 heures de pratique sportive supplémentaires en collège. Nous avons répondu à l’expérimentation puisque des collèges se lanceront après les vacances d’automne.
Qu’en est-il de l’inclusion des enfants et des adolescents en situation de handicap en milieu ordinaire ?
Nous devons cette inclusion aux enfants et aux parents. C’est une priorité là aussi dictée par le ministre. Dans le Doubs, tous les enfants sont accueillis et ceux qui ont besoin d’une aide humaine l’ont également. Il faut savoir que c’est au fil de l’année que des demandes supplémentaires peuvent se faire connaître. Dans ce cas, nous essayons d’y répondre dans la mesure du possible. Dès ce début d’année, nous disposons des personnes qui peuvent accompagner ces enfants à besoin particulier.
L’orientation fait également partie des intérêts exprimés par le ministère.
Au collège, vous avez un dispositif qui s’appelle ‘le parcours avenir ». Déjà , l’an dernier, j’invitais les chefs d’établissement de commencer ce parcours dès la cinquième. Il y a une volonté pour que les collégiens aient une connaissance importante d’un certain nombre de métiers et qu’au lycée, nous puissions les accompagner dans leurs choix de poursuites d’études après le baccalauréat. Les professeurs principaux de collège et lycée mènent un véritable travail sur ce point.
Qu’en est-il de Parcoursup ? Des jeunes se trouvent-ils encore sans rien en ce début d’année scolaire ?
Je n’ai pas les chiffres. En tout cas, s’il y en a, ils sont en faible nombre. Sachez que le service du rectorat de l’académie de Besançon fait le nécessaire pour que ces élèves puissent avoir une poursuite d’études post bac qui correspondent, autant se faire que peut, à leur choix et à leur souhait.
Une dernière question M. l’Inspecteur. La situation à Planoise vous inquiète-t-elle ? La sécurité des élèves et des enseignants est-elle assurée ?
Il y a une vigilance accrue. L’état, avec à sa tête M. le préfet, fait un travail très conséquent. La Ville de Besançon est aussi très attentive à la situation. Nous avons un projet d’essayer de proposer à des jeunes qui en ont le plus besoin de poursuivre leur scolarité en dehors de Planoise. C’est une très belle initiative que nous allons essayer de mettre en œuvre dès janvier 2023 et de façon plu approfondie dès la rentrée 2023.
Ce samedi, à Besançon, le SNB organise la quatrième éditions de son opération de nettoyage du Doubs. L’association a besoin de bras. Tout le monde est le bienvenu. Le nettoyage s’effectue à pieds sur les berges ou dans une embarcation. Tous les déchets collectés seront amenés au poste de tri se trouvant sur le parking canot. Le rendez-vous est fixé à partir de 9h, sur le parking Canot, à Besançon. Pensez à vous munir de chaussures fermées.
La Dir Est fait savoir que depuis le 1er septembre, et jusqu’au 28 octobre, elle procède à des travaux de sécurisation des falaises à hauteur d’Entre-deux-Monts, dans le Jura, sur la nationale 5, sous alternat de circulation. Ces travaux nécessitent la présence d’un hélicoptère sur plusieurs demi-journées durant certaines phases.
On a appris ce vendredi que Gaëtan Weissbeck avait prolongé son contrat en faveur du FC Sochaux-Montbéliard d'une saison. Le capitaine sochalien est désormais lié au Club jusqu'en 2024.
Depuis un an et demi, l’enseigne Acuitis s’est installée dans la zone commerciale de Doubs, au 7 rue de Besançon. Acuitis inove sans cesse, et propose aujourd'hui une nouveauté à ses invités : la création de lunettes en impression 3D, personnalisées et adaptée aux mesures de chaque invité Car oui, au sein de cette enseigne, le vocabulaire de vente a été savamment choisi. L’objectif étant de placer ces derniers dans les meilleures conditions possibles. L’agencement a également été pensé en ce sens. Ici, on ne parle pas de « clients », mais « d’invités » et pas de « magasin », mais de « maison d’optique et d’audition ». Valentine, Estelle et Clélia sont à votre disposition pour vous cocooner et surtout vous conseiller dans votre choix.
Comment ça marche ?
Si le procédé est déjà utilisé ailleurs, mais à des coûts élevés, chez « Acuitis », le produit final est consenti à moindre prix. « Nos tarifs sont trois fois moins chers que dans d’autres espaces de vente » assure Estelle. Une association « qualité/prix » qui devrait susciter de l’intérêt auprès des consommateurs.
Pour faire simple, avec l’aide d’une tablette, votre visage est scanné. L’intelligence artificielle fait ensuite le reste. Un logiciel de pointe permet une prise de mesure digitalisée par laquelle 1000 points du visage sont scannés puis analysés pour déterminer la largeur du pont, la longueur des branches et la taille idéale pour la face de la monture.

Une personnalisation adaptée
« Cette nouvelle technologie permet une liberté de création et une fabrication unique et éco-responsable » explique Estelle. Fabriquées en poudre de nylon, ces lunettes nouvelle génération présentent « une grande résistance ». Côté fabrication, elle sont imprimées chez Materialise, le leader de l'impresion 3D en Belgique et sont assemblées à Nantes. Leur prix est très abordable. Comptez des montures à partir de 200 euros avec deux verres à votre vue.
Ne cherchez plus. Si vous êtes à la recherche de lunettes à votre goût, confortables et modernes, on a trouvé la bonne adresse. Rendez-vous chez Acuitis du lundi au samedi dans la zone commerciale de Doubs ( 7 rue de Besançon).
L'interview de la rédaction / Estelle, opticienne et optométriste