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La fin de la saison s’annonce palpitante pour le Badminton Val de Morteau, alors que l’équipe s’apprête à jouer son match décisif ce samedi à Saint-Louis. Cette confrontation contre le Volant des 3 Frontières déterminera si le club accède à la phase finale pour tenter de décrocher une montée en Nationale 1.

Le dernier match contre Dijon a été déterminant pour maintenir le club dans la course à la première place. Grâce à une victoire éclatante 8-0, Morteau a non seulement décroché un point de bonus offensif, mais a également recollé à égalité avec son  principal rival, Kembz. La pression est à son comble. Pour espérer se qualifier, les Mortuaciens doivent impérativement s’imposer à Saint-Louis,  tout en croisant les doigts pour que Kembz ne réalise pas une victoire parfaite,  8-0 face à Dijon. Une telle performance les priverait d’une montée tant convoitée.

L'interview de la rédaction : Mickaël Cesari, coach de l'équipe fanion 

Une année au plus haut niveau

Pour le Badminton Val de Morteau, l’objectif initial de la saison est clair : retrouver l’élite nationale, 21 ans après une année passée en Top 12. Le club, qui évolue en Nationale depuis 1999, a connu des hauts et des bas, mais reste un acteur important du badminton français. Si l’équipe actuelle fait preuve d’un talent prometteur, les difficultés financières menacent la stabilité du club et le maintien de ses jeunes pépites, rendant cette montée cruciale.*

L'interview de la rédaction : Mickaël Cesari, coach de l'équipe fanion 

Une saison remarquable saison

“Quoi qu’il arrive ce week-end, la saison est réussie” souligne Mickaël Césari, le coach de la formation. Mais les enjeux sont clairs : une montée en Nationale 1 offrirait non seulement une nouvelle dynamique sportive, mais permettrait aussi de renforcer le club face aux défis à venir. Rendez-vous à 16h ce samedi à Saint-Louis pour un match où chaque point comptera. Si Morteau sort vainqueur et que les conditions s’alignent, l’équipe pourra rêver d’une finale à Salbris début mai, avec en jeu un ticket pour la Nationale 1.

Publié dans Actualités

La Fédération et les 59 Parcs naturels régionaux de France s’associent aux éditions Casterman pour la publication de J’explore la France et ses merveilles, une encyclopédie jeunesse aussi originale qu’engagée. Destiné aux jeunes lecteurs, cet ouvrage invite à la découverte de la richesse naturelle et culturelle de la France, de la métropole aux Outre-mer.

Avec près de 120 000 espèces animales et plus de 32 000 espèces de fleurs, la biodiversité française y est mise à l’honneur, tout comme des thématiques clés telles que l’alimentation, l’énergie, l’urbanisme ou encore l’architecture. Construit en collaboration avec les Parcs naturels régionaux, ce livre s’appuie sur des exemples concrets issus de chacun de ces territoires. Pensé comme un outil de sensibilisation, J’explore la France et ses merveilles s’inscrit pleinement dans la mission de médiation des Parcs, notamment auprès de la jeunesse. Une belle façon de transmettre les valeurs du respect de la nature et de susciter des vocations chez les citoyens de demain.

A cette occasion, dans le Doubs, le Parc Naturel régional du Doubs Horloger organise un temps festif ce jeudi 17 avril à Orchamps-Vennes, où les élèves de CM2 des deux écoles ont été invités

L’US Saint-Vit annonce que son emblématique entraîneur Maxime Dhote  quittera ses fonctions à la fin de cette saison sportive, bien compliquée pour l’US Saint-Vit, qui figure à la 12è place de son championnat en régional 1. Le technicien s’apprête à ouvrir une nouvelle page, loin du banc de touche saint-vitois. Et ce, après 13 années au sein du club grand bisontin.

Le 13 avril, vers 22h, rue Léonard de Vinci, dans le quartier Planoise, à Besançon, un individu en infraction de contrôle judiciaire a été repéré par une patrouille de police. Après une poursuite pédestre, il a été interpellé et placé en garde à vue. Le suspect, âgé de 21 ans, a été présenté à la justice le lendemain et incarcéré à la maison d'arrêt de Besançon pour purger une peine de 15 mois de prison.

Lors d'une patrouille ce 14 avril, à 11h40, dans le quartier Planoise, rue Pierre Rubens, à Besançon, la police a interpellé deux individus à bord d'un véhicule où des stupéfiants ont été découverts. Une femme de 47 ans a admis être là pour acheter de l’héroïne, tandis qu’un mineur de 15 ans a reconnu être vendeur. La femme a été libérée en soirée avec une convocation pour composition pénale le 11 juin. Le mineur, libéré le lendemain, devra comparaître devant le Tribunal pour Enfants le 13 mai."

Dans un communiqué de presse, les Jeunes Socialistes de Besançon saluent la nomination Jean-Sébastien Leuba comme tête de liste pour les élections municipales de mars 2026. Le collectif y voit  "une victoire du collectif, de la clarté et de l’intégrité". Selon eux, « Jean-Sébastien Leuba, à la tête de la section locale depuis deux ans, incarne une dynamique engagée depuis 18 mois, marquée notamment par des rencontres politiques ouvertes et une alliance active avec Place Publique ». Ils rappellent que ce rapprochement a permis aux forces de gauche « de se hisser en tête lors de la dernière campagne européenne à Besançon, avec un score supérieur de cinq points à la moyenne nationale ».

Les Jeunes Socialistes ne manquant pas  de critiquer certaines déclarations internes qu’ils jugent « contraires à l’esprit collectif », visant notamment Nicolas Bodin, qui a publiquement exprimé son ambition personnelle. "Nous ne nous laisserons pas déstabiliser par des méthodes d’un autre temps", écrivent-ils dans leur communiqué, insistant sur leur engagement aux côtés de Jean-Sébastien Leuba pour "porter haut les valeurs de justice sociale, d’écologie populaire et de démocratie locale".

Comment représenter la danse sur le papier ? C’est à cette question singulière et fascinante que tente de répondre l’exposition Chorégraphie dessiner, danser, en dévoilant un dialogue inédit entre deux arts en perpétuel mouvement : la danse et le dessin. Présentée en six sections, cette exposition offre un voyage visuel et sensoriel à travers les siècles, du XVIIe siècle à nos jours.

Un parcours artistique et pédagogique

Pensée comme un parcours à la fois historique, artistique et réflexif, l’exposition s’ouvre sur les bases de l’"écriture du mouvement", à commencer par les systèmes de notation développés dès le XVIIe siècle. On y découvre notamment les travaux de Raoul-Auger Feuillet, qui invente le terme même de « chorégraphie » pour désigner une méthode d’écriture de la danse. À l’aide de signes tracés sur un schéma au sol – véritable partition chorégraphique – il devient possible de noter, transmettre, et peut-être même apprendre une danse, seul, à partir d’un livre. Mais, au fil du parcours, le dessin devient plus qu’un simple outil pédagogique. Il se fait trace du corps, instrument de création, voire œuvre d’art à part entière. Certaines partitions apparaissent comme des croquis techniques ou des brouillons, tandis que d’autres révèlent une esthétique si forte qu’elles deviennent pleinement exposables. La danse ne quitte jamais tout à fait la scène : certaines œuvres, notamment contemporaines, intègrent le dessin dans le spectacle même, comme le portrait chorégraphique de Lou Cantor, où la danseuse dessine au sol en dansant.

EXPOSITION CHOREGRAPHIE PARTITION

L'interview de la rédaction : Amandine Royer, conservatrice des arts graphiques au Musée des Beaux-Arts de Besançon. 

Entre figuration et abstraction

Une section entière de l’exposition est consacrée à la question de l’abstraction. Car si certaines œuvres représentent clairement des postures ou des corps en mouvement, d’autres ne sont plus que lignes, trajectoires, énergies. Ces dessins, parfois issus de répétitions ou de recherches en studio, reflètent une autre manière de penser la danse : non plus comme une suite de pas codifiés, mais comme une exploration du geste, de l’espace, du rythme.

Une mémoire dessinée de danses en voie d’oubli

Enfin, l’exposition interroge la dimension mémorielle du dessin. Car lorsqu’une danse ne se transmet plus par le corps, il reste parfois des traces graphiques : carnets, schémas, notations. Ces vestiges visuels deviennent alors les derniers témoins de danses disparues ou en voie de disparition.

EXPOSITION CHOREGRAPHIE

          Aline Chassagne, l'élue en charge de la Culture de la Ville de Besançon. Amandine Royer, conservatrice des arts graphiques au Musée des Beaux-Arts de Besançon. Pauline Chevalier, conseillère scientifique à l'institut de l'histoire de l'art et maîtresse de conférences à l'université de Franche-Comté.

Un dialogue entre passé et présent

Tout au long du parcours, l’exposition joue sur les échos entre les époques : les gestes de la danse baroque côtoient les recherches graphiques de chorégraphes contemporains comme Dominique Bagouet ou Anne Teresa De Keersmaeker. Car malgré les siècles qui les séparent, une même question persiste : comment traduire le mouvement dans l’espace fixe du papier ? En confrontant croquis d’ateliers, partitions chorégraphiques, œuvres d’art et vidéos de performances, Chorégraphie dessiner, danser ne donne pas une réponse unique – mais ouvre un champ de réflexion et d’émotion, où l’œil et le corps se rencontrent. 

L'interview de la rédaction : Pauline Chevalier, conseillère scientifique à l'institut de l'histoire de l'art et maîtresse de conférences à l'université de Franche-Comté.

Cette exposition est à découvrir du 19 avril au 21 septembre au Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Besançon ; Spectacles, visites guidées, ateliers et performances artistiques seront proposés également. Pour de plus amples informations : //www.mbaa@besançcon.fr">www.mbaa@besançcon.fr

Le 13 avril dernier, vers 6h, rue de Belfort,  à Besançon, un équipage de police secours est intervenu pour un individu qui avait menacé deux jeunes filles avec un couteau devant une agence bancaire. Un homme de 24 ans a été interpellé. En possession d’un couteau de 20 centimètres, il correspondait au signalement effectué.  

Les victimes, âgées de 27 et 18 ans, indiquaient que l’individu, mécontent de la perte de ses lunettes,  survenue plus tôt en discothèque, avait exigé un remboursement en se présentant au domicile de l’une d’elles. Il aurait alors menacé une des deux victimes en lui plaçant un couteau sous la gorge, contraignant la seconde à retirer 80 euros. Interpellé, le mis en cause présentait un taux de 2,34 grammes d’alcool dans le sang. En garde à vue, il a reconnu partiellement les faits.  Il fait l’objet d’une procédure, avec convocation par officier de police judiciaire. La qualification d’arme n’a pas été retenue.