Les pompiers bisontins sont intervenus cette nuit, vers 1h30, rue Fresnel, à Besançon, pour un feu impactant une dépanneuse et un utilitaire en stationnement. Suite à la découverte de bouteilles d’acétylène dans la camionnette la rue a été coupée. Une lance a été déployée pour éteindre les flammes.
La bonne série s’est arrêtée hier soir au Grand Besançon Doubs Handball. Les Bisontins se sont inclinés sur le score de 24 à 26 à Dijon. Le groupe de Benoît Guillaume disputait la 10è journée de championnat en ProLigue.
C’est en se promenant dans les rues du centre-ville de Besançon que le sang de Ludovic Fagaut et de l’opposition de droite à la Ville de Besançon et au Grand Besançon « Besançon Maintenant » n’a fait qu’un tour. L’absence des termes « Noël » et « joyeuses fêtes » sur les guirlandes installées par la municipalité agace. Le collectif attend des explications sur ces choix. « Nous espérons que Mme Le Maire démentira cette crainte que nous avons » explique M. Fagaut. L’élu bisontin ne veut que Besançon ait à vivre des choix politiques émanant d’Europe Ecologie Les Verts, comme ce fut le cas à Bordeaux, avec la disparition du sapin de Noël ou encore à Lyon, lors du passage du Tour de France.
« Nous espérons que Besançon ne soit pas la prochaine ville sur la carte de France du dogmatiquement correct ». Et de continuer : « On ne touche pas à notre histoire. On ne touche pas à notre identité. Nous avons le sentiment que cette majorité, et à travers elle toute l’idéologie d’Europe Ecologie Les Verts, veut réécrire l’histoire à sa façon, sous couvert d’un dogmatisme grandissant ».
L'interview de la rédaction : Ludovic Fagaut
Faits divers. Un Dolois de 46 ans devra s’expliquer le 10 février prochain devant la justice. Ce dernier est soupçonné d’avoir eu une conduite dangereuse le 18 novembre dernier à Besançon. Il aurait eu un léger accrochage avec un autre automobiliste à hauteur de la gare Viotte.
Lors du contrôle, les policiers ont constaté que le chauffard était ivre et n’était pas titulaire du permis de conduire. Son véhicule n’était pas assuré. Dépisté positif à l’alcool, il a été conduit au commissariat et placé en garde à vue différée, en raison de son imprégnation alcoolique. Lors de son audition, il a reconnu les faits.
L’Agence Régionale de Santé indique que la situation épidémique continue de se dégrader significativement en Bourgogne-Franche-Comté, où le taux d’incidence s’apprête à franchir le seuil de 100 cas pour 100 000 habitants, soit le double du seuil d’alerte. On notera que les quatre départements francs-comtois présentent un taux d’incidence en population générale supérieur à 100.
Dans la cadre de la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, une marche contre les violences sexistes et sexuelles se tiendra ce samedi, à 15h, promenade Chamars, à Besançon. Cette action est à l’initiative du collectif #Noustoutes.
Ce vendredi, un couple, domicilié à Corcondray (25) depuis un an et demi, âgé d’une trentaine d’années, a été placé en garde à vue après la découverte de la mère de famille et d’un enfant de 4 ans dans un fossé, à proximité d'un cimetière. Lorsque les gendarmes les ont retrouvés après de longues recherches, mobilisant une trentaine d’hommes, le petit garçon, légèrement vêtu, présentait de réelles souffrances et des strangulations au niveau du cou. Ce dernier ne survivra malheureusement pas à ses blessures.
A l'institut médico-légal, la mère très agitée, a déclaré au médecin légiste avoir tué son enfant, expliquant qu’il représentait « le diable ». Au cours de la nuit, cette mère de famille, plutôt joviale, a inquiété le voisinage. Deux témoins l’ont aperçue, en pleur, précisant qu’elle était en danger de mort. Des propos que son père a confirmé.
L’enquête a permis d’établir qu’un projet de séparation était en cours. Une plainte pour des violences conjugales avait été déposée le 9 novembre dernier. La justice doit se positionner dans la soirée sur le sort de cette femme. Soit elle sera hospitalisée. Soit elle sera présentée à un magistrat instructeur. Une enquête de flagrance pour homicide a été ouverte.
L'interview de la rédaction / Etienne Manteaux
Ce samedi après-midi, à 15h, la meilleure attaque de Ligue 2 reçoit la meilleure défense, mais surtout le leader accueille le quatrième qui, en cas de victoire, peut lui ravir son trône. Cette rencontre, comptant pour la 16è journée s’annonce des plus passionnantes. Elle opposera donc Toulouse à Sochaux. D’ailleurs Omar Daf et Maxence Prévot ne s’en cachent « c’est le genre de rencontre que l’on aime » argumentent-ils.
Même si l’effectif sochalien sera sans doute amoindri, avec les absences plus que certaines de joueurs majeurs, le collectif franc-comtois « veut aller chercher la victoire ». Pour cela, s’il connaît ses insuffisances, le FCSM connaît aussi ses forces. Sa régularité, son collectif, sa solidité défensive sont autant d’arguments qu’il entend bien faire valoir. « On y va pour la gagne. On va aller chercher les trois points » argumente le portier sochalien.

Un coup de mou
L’issue de cette rencontre est incertaine. Tant les deux formations restent sur des performances contrastées en championnat. Sochaux présente deux matches nul et une défaite en championnat. Quant aux Toulousains, le bilan sur les trois dernières rencontres laissent apparaître une victoire et deux nuls. Les deux équipes veulent y croire. A voir la promotion que vient d’effectuer le TFC sur son site et ses réseaux sociaux, on comprend tout l’enjeu que revêt cette rencontre.
L'interview de la rédaction / Maxence Prévot