La garde à vue d’un homme de 22 ans a été prolongée à Besançon. Ce jeune malfrat présumé a été interpellé aux Galeries Lafayette, au centre-ville de Besançon, le 8 janvier, après avoir tenté d’échanger des vêtements, qu’il est soupçonné d’avoir dérobé dans ce même lieu.
Le montant du préjudice s’élève à près de 180 euros. Il nie les faits qui lui sont reprochés. Il a également été entendu pour deux autres affaires, dont il a reconnu les faits : le vol d’une tablette dans un magasin de jouet le 25 décembre et un délit de voyage à la SNCF pour un préjudice de 5.000 euros.
Le 8 janvier, un individu, faisant l’objet d’une obligation de quitter le territoire français, a été interpellé par les policiers bisontins, à la suite d’un vol, en l’occurrence du parfum, au préjudice des Galeries Lafayette. Le montant du préjudice s’élève à 178 euros. Une plainte a été déposée par l’enseigne. Lors de son audition, le malfrat présumé a expliqué qu’il avait fait une demande de régularisation auprès des autorités belges.
Les investigations, auprès des autorités compétentes, ont permis d’établir qu’il était sous le coup d’une demande de reconduite délivrée par les autorités belges et espagnoles. En parallèle, il devra s’expliquer, en février prochain, devant le délégué du procureur, dans le cadre d’une ordonnance pénale de 30 jours amendes à 10 euros. La Préfecture du Doubs a délivré également une obligation de quitter le territoire.
Un jeune homme de 15 ans, torse nu et en état d’ivresse, a été interpellé par une patrouille de police le 8 janvier dernier, vers minuit, dans le quartier Battant à Besançon. Il est soupçonné d’avoir frappé un autre homme, à la sortie d’un débit de boisson. Le mis en cause, placé en garde à vue, présentait un taux de 1,9 gramme d’alcool dans le sang. L’adolescent a été entendu après total dégrisement. Il a reconnu les faits, tout en restant vague sur le déroulement des évènements.
Il a expliqué avoir consommé de l’alcool lors d’une soirée festive entre amis et dit avoir « été provoqué par la victime ». Cette dernière est un homme de 26 ans, qui n’a pas souhaité porter plainte. Il s’est néanmoins vu délivrer une ITT de quatre jours. Il s’expliquera en mai prochain devant la justice.
« Un ours dans le Jura », le dernier film de Franck Dubosc, tourné en partie aux Rousses et à Bois d’Amont l’hiver dernier, n’a pas manqué son lancement. Il figure dans le top 10 des longs métrages qui ont fait le plus d’entrées en salles du mercredi 1er au mardi 7 janvier. Il se classe en 4è position, avec 452.342 entrées. Cette comédie policière est encore à voir ou revoir dans les nombreuses salles obscures de la région. Rappelons qu’elle est portée par le trio Franck Dubosc, Laure Calamy et Benoît Poelvoorde.
Soyez prudents si vous circulez ce matin sur le secteur du Haut-Doubs. Une fine couche de neige est tombée à partir de 700 mètres d’altitude cette nuit. Les opérations de salage sont en cours. Il faudra rester vigilant tout au long de cette journée, car il est craint la formation de verglas, qui pourrait rendre les chaussées encore plus glissantes. La circulation en plaine est « normale ».
Jean-David Pillot, le directeur général du CHIHC de Pontarlier, le Centre Hospitalier Intercommunal de Haute Comté, ne retrouvera pas son poste. Suspendu à titre conservatoire en avril dernier, il a été poussé vers la sortie. Il se retrouve désormais à la retraite. L’enquête administrative diligentée a mis un terme à ses fonctions, qu’il n’aura occupé que six mois. Son management était contesté. « Des comportements inappropriés » sont venus compléter ce triste palmarès.
Il sera difficile pour les hommes de faire mieux que les femmes ce vendredi après-midi à Oberhof, où se tient la quatrième manche de la Coupe du Monde. A 14h20, le Jurassien Quentin Fillon Maillet prendra le départ du sprint 10 km. Hier, la Pontissalienne Lou Jeanmonnot s’est octroyée la 7è place du sprint 7,5 kilomètres.
A Besançon, le CHU Minjoz n’a toujours pas déclenché le Plan Blanc. Et ce, même si la situation s’avère tendue, en raison des épidémies hivernales, qui sévissent sur les territoires franc-comtois et national. La mobilisation des équipes du centre hospitalier bisontin permet, une nouvelle fois encore, de faire face à la situation actuelle. Plus de 4.000 dossiers ont été enregistrés sur un week-end aux urgences bisontines. Le retour des médecins généralistes, après les congés de Noël, devrait permettre d’améliorer la situation. Néanmoins, le CHU, via son directeur, entend bien à l’avenir repositionner le contexte pour éviter de tels problèmes.
L'interview de la rédaction : Thierry Gamond-Rius, directeur du CHU
Alors que le pic de la grippe n’a pas encore été atteint, Thierry Gamond-Rius, le directeur du CHU, appelle la population à ne pas surcharger inutilement le 15 et à s’adresser, en premier lieu, aux médecins de ville lorsque sa santé le nécessite.
L'interview de la rédaction : Thierry Gamond-Rius, directeur du CHU