Choix du secteur :
Se connecter :
 

Du 4 au 20 Février, la planète aura les yeux rivés sur Pékin pour la vingt-quatrième édition des Jeux Olympiques d’hiver. La capitale chinoise deviendra à cette occasion la première ville dans l’histoire à avoir accueilli les Jeux Olympiques d’été et d’hiver.  


Des JO sous le signe du Covid

Après les Jeux Olympiques de Tokyo l’été dernier, cette édition de Pékin sera la deuxième à se dérouler en pleine pandémie de COVID-19. Un casse-tête pour les athlètes, qui ne devront pas quitter la bulle sanitaire mise en place par les autorités chinoises. Les athlètes non-vaccinés devront effectuer une quarantaine de 21 jours à leur arrivée, et les autorités recommandent grandement aux athlètes d’ores et déjà vaccinés de faire une dose de rappel avant d’arriver en Chine. Aucun contact ne sera permis avec des gens à l’extérieur de cette bulle sanitaire, et seul les résidents chinois seront autorisés à assister aux épreuves. Enfin, les 3000 athlètes attendus à Pékin devront réaliser un test de dépistage tous les jours, pour éviter toute propagation du virus au sein des villages olympiques.

Des infrastructures colossales

Pour permettre à Pékin de devenir la première ville de l’histoire à accueillir à la fois les Jeux Olympiques d’été et ceux d’hiver, les autorités chinoises ont mis les petits plats dans les grands. Quelques sites utilisés lors des JO de 2008 seront réutilisés pour l’occasion. Le fameux « Nid d’oiseau Â», théâtre des exploits d’Usain Bolt, sera utilisé pour les cérémonies d’ouverture et de clôture. Le « Cube d’eau Â», qui avait vu Michael Phelps brillé en 2008, a été transformé en « Cube de glace Â» et accueillera les épreuves de curling. Au cÅ“ur de la ville, un édifice flambant neuf a vu le jour. Le « Ruban de glace Â», pouvant accueillir jusqu’à 12 000 spectateurs, sera le théâtre des épreuves de patinage de vitesse. De nombreux autres sites ont également été créés, comme la plateforme de « Big Air Â», haute de 60 mètres et installée au cÅ“ur d’une ancienne aciérie, ou la piste de bobsleigh au centre national de glisse, la première à voir le jour sur le territoire chinois.


Une logistique impressionnante

Les épreuves de ces JO d’hiver auront lieu sur trois zones différentes, à savoir Pékin, Yanqing et Zhangjiakou. Toutes les zones seront équipées d’un village olympique, afin de réduire au maximum les déplacements entre les différents sites. Les cérémonies d’ouverture et de clôture auront lieu à Pékin, tout comme les épreuves de glace, à savoir le curling, le hockey sur glace, le patinage artistique et de vitesse ainsi que les épreuves de ski big-air et snowboard big-air. Le village olympique composé de 2300 lits, est installé au cœur de Pékin. La deuxième zone, celle de Yanqing, sera située à 75 kilomètres de Pékin. Elle accueillera les épreuves de glisse, à savoir le bobsleigh, la luge et le skeleton, ainsi que les épreuves de ski alpin. Un village olympique pouvant accueillir jusqu’à 1400 personnes sera également présent à Yanqing. Enfin, la dernière zone sera située à Zhangjiakou, à environ 180 kilomètres de Pékin. Cette zone accueillera la majorité des épreuves de ski et de snowboard, à savoir le ski et le snowboard acrobatique, le saut à ski, le ski de fond, le combiné nordique ainsi que le biathlon. Le village olympique de cette zone pourra accueillir jusqu’à 2600 personnes.

Les chances de médailles françaises

Après avoir obtenu 15 médailles lors des deux dernières éditions des JO d’hiver, la France peut espérer battre son record de médailles à Pékin. Le biathlon est l’épreuve dans laquelle les Français ont le plus de chance de briller. Emilien Jacquelin, leader de la coupe du monde, et Quentin Fillon Maillet, son dauphin au classement, devraient sauf catastrophe, remporter plusieurs médailles. Chez les femmes, Anaïs Bescond, Julia Simon, Anaïs Chevalier-Boucher et Justine Braisaz constituent de grandes chances de médailles également. En ski alpin, Alexis Pinturault et Clément Noël seront très attendus au vu de leurs formes actuelles. En ski acrobatique, Perrine Lafont, reine de la discipline, se rendra à Pékin avec l’objectif de conserver son titre. Enfin, Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron auront à cœur de ramener l’or en patinage artistique, après avoir ramené l’argent en 2018. Il y aura également des chances de médailles en ski cross et snowboard cross.

La Préfecture du Jura indique que le caractère de calamité agricole aux pertes de récolte sur pommes, poires, cerises, prunes, raisin de cuve et miel, provoquées par le gel du printemps 2021, concerne  l’ensemble des communes du Jura. Ainsi, les exploitations ayant subi des pertes sur leur production, lors de cet événement climatique sur des parcelles situées sur ces communes, quelque-soit la commune du siège d’exploitation, pourront effectuer une demande d’indemnisation au titre des calamités agricoles.

Les demandes peuvent être effectuées par téléprocédure sur Télécalam à l’adresse suivante : https://ecoagri.agriculture.gouv.fr/calamnat-usager  

Ce site est également accessible depuis le site mes démarches http://mesdemarches.agriculture.gouv.fr  rubrique : exploitation agricole / demander une indemnisation agricole (accès direct au site en tapant Télécalam dans votre moteur de recherche).

Les agriculteurs doivent au préalable disposer d’un compte de connexion sur « moncompte » ou, à défaut, le créer sur https://moncompte.agriculture.gouv.fr

A la demande de notre rédaction, Eric Alauzet, le député doubiste de la République-en-Marche a réagi aux propos d’Emmanuel Macron. Mr Alauzet nous indique qu’il partage ‘les propos tenus par Gabriel Attal, à l’issue du conseil des ministres de ce jour Â». Pour l’élu bisontin, il est important de « tout faire pour pousser à la vaccination celles et ceux qui s’y refusent et font planer une menace sur les personnes fragiles et eux-mêmes, les soignants, l’hôpital, notre vie sociale et économique Â».

La Ville de Pontarlier organise des chantiers de jeunes tout au long de cette année 2022. Ainsi, la jeunesse pontissalienne, âgée entre 14 et 18 ans, est invitée à y participer. Les participants percevront une gratification de 80 euros. Plusieurs stages sont organisés. Un premier chantier est prévu du 21 au 25 février (inscriptions jusqu’au 4 février). D’autres sont programmés durant les vacances de Pâques et d’été. A travers cette initiative, les adolescents participent à l’entretien et à la restauration du patrimoine local, ainsi qu’au réaménagement et à l’amélioration d’espaces de vie au sein des différents quartiers de la ville. Les chantiers se déroulent à Pontarlier, sur une semaine, les matins de 8h45 à 12h. Toutes les informations sont à retrouver sur le site interner de la Ville de Pontarlier : www.ville-pontarlier.fr

En raison de la situation sanitaire et de l'absence de personnel sur ses lignes, la société Keolis fait savoir que les horaires des lignes périurbaines du réseau Ginko ont été modifiés sur le Grand Besançon. Pour de plus amples informations : www.ginko.voyage.


C’est une prise de parole qui en a surpris plus d’un. Dans une interview accordée au journal « Le Parisien Â», Emmanuel Macron a déclaré qu’il avait « très envie d’emmerder les non-vaccinés Â». Une déclaration qui a semé le trouble dans les rangs de l’Assemblée Nationale où les discussions sur le projet de loi voulant transformer le passe sanitaire en passe vaccinal sont très houleuses depuis le début de semaine.

Pour Marie-Christine Dalloz, la Députée LR du Jura, il s’agit  d’une démarche « volontaire Â»,  dans le but « de fracturer encore la société Â». La parlementaire y voit tout sauf de « l’inexpérience Â». Elle regrette cette posture politique qu’elle juge « indigne de la fonction présidentielle Â». Un président de la république doit « rassembler les Français Â». Mme Dalloz rappelle que toutes les personnes qui ne se font pas vacciner ne sont pas toujours opposées au sérum et le font parfois « pour des raison médicales Â».

Dans les allées de l’Assemblée Nationale, Marie-Christine Dalloz le confirme, les Députés de la majorité présidentielle font plutôt Â« profil bas Â».

L'interview de la rédaction

 Le service des impôts des entreprises perd des fonctionnaires à Pontarlier et se centralise à Besançon. Depuis, le 1er janvier, après les départs à la retraite qui n’ont pas été remplacés, trois autres fonctionnaires en poste qui assuraient cette mission ont quitté le site pontissalien pour rejoindre le service des impôts des entreprises de Besançon, boulevard Charles de Gaulle.

Selon la CFTC, une antenne reste d’actualité dans la capitale du Haut-Doubs, pour répondre aux questions des usagers et pour l’heure, rien ne laisse présager d’une éventuelle dégradation du service.  Affaire à suivre.

Ce dimanche, le père Patrick Gorce a donné  son dernier office religieux en l’église de Morez. Lorsqu’il était mineur, ce prêtre a été victime d’abus sexuels au sein de l’Eglise. Après cinq années d’exercice dans la cité jurassienne, il a décidé de prendre du recul et a souhaité partir au Canada « pour un temps limité Â».