On connait les affiches pour le 4è tour de la Coupe de France en Bourgogne Franche-Comté. Les matches se disputeront les 27 et 28 septembre prochains.
Plateau 39 – Pontarlier
Lons le Saunier – Bourbon Lancy
Jura Dolois – Cheminots Dijon
Racing Besançon – Grandvillars
Coteaux de Seille – Selongey
Haut Jura – Quetigny
Besançon Espérance – ASM Belfort
Saint Vit – Poligny
Courcelles les Montbéliard – Entre Roches
FC du 1er Plateau – Doubs
Ce jeudi 18 septembre, la France connaît une journée de mobilisation sociale d’ampleur. À l’appel de l’intersyndicale, plus de 250 rassemblements sont prévus dans tout le pays, réunissant salariés, fonctionnaires et étudiants. Près d’un million de manifestants sont attendus dans les rues pour dénoncer les politiques d’austérité et la dégradation des conditions de travail. A 14h, un rassemblement s’est tenu à Besançon. Selon des chiffres de la CGT, 5.500 personnes ont manifesté à Besançon, 4.200 pour la police. Elles sont 1.700 à Montbéliard et 900 à Vesoul.
Dans le Jura, plusieurs rassemblements étaient organisés. Ce matin, on a recensé 800 manifestants à Dole. A Saint-Claude, les manifestants ont choisi de s’arrêter à deux reprises devant le bureau de la députée jurassienne de droite Marie-Christine Dalloz, qui a choisi de ne pas censurer le gouvernement Bayrou. Ils sont 800 à Lons-le-Saunier.
Selon des chiffres communiqués par le Rectorat de Besançon, plus de 15% des enseignants sont mobilisés lors de cette journée d’action sociale. Soit 15,7% annoncés dans le 1er degré. Un taux de 14,7% est relayé pour le second degré dans l’académie de Besançon. Des chiffres plus importants sont annoncés par les syndicats, avec un taux de grévistes de l’ordre de 45%. On notera également que des actions de blocage ont été menés devant les lycées Nicolas Ledoux et Pasteur à Besançon.
Deux nouvelles espèces de champignons parasites ont été découvertes en Haute-Saône : Stylonectria hygrophila et Cosmospora nemaniae. Elles mesurent quelques millimètres et vivent sur d’autres champignons. La découverte a été réalisée par le mycologue du Conservatoire botanique national de Franche-Comté. Elle s’inscrit dans le programme Les Méconnus de Bourgogne-Franche-Comté. Ce projet vise à mieux connaître champignons, bryophytes, orthoptères et mollusques. Il est soutenu par l’Union européenne, la région et la DREAL Bourgogne-Franche-Comté.
Le 16 septembre, à Besançon, une perquisition menée au 28 rue de Savoie a permis la découverte d’un arsenal impressionnant et de produits stupéfiants. Alertés par un renseignement sur un trafic de drogue, les enquêteurs ont confirmé les soupçons grâce à un chien spécialisé.
Chez une femme de 38 ans, les forces de l’ordre ont saisi notamment un pistolet automatique CZ P75 de calibre 9 mm (catégorie A), plusieurs armes de chasse, plus de 280 munitions de divers calibres, 770 euros en espèces et 13 grammes de résine de cannabis.
La mise en cause, qui nie toute implication, a été placée en garde à vue puis libérée le jour même. Elle est convoquée en justice le 19 mars 2026 dans le cadre d’une procédure de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), doublée d’une convocation par officier de police judiciaire (COPJ) le 24 juin 2026.
Le préfet du Doubs, Rémi Bastille, a annoncé ce jeudi l’interdiction du festival néonazi « Black Métal Blitzkrieg V2 » sur l’ensemble du département, du 19 septembre à 16h jusqu’au lundi 22 septembre à 8h. Cette décision s’inscrit dans une mobilisation coordonnée des autorités face aux risques de repli du rassemblement, initialement prévu dans la Meuse. Une mesure identique avait déjà été prise hier par le préfet du Jura. Les forces de l’ordre seront déployées pour prévenir toute tentative d’organisation clandestine.
A Pontarlier. Le Centre Hospitalier Intercommunal de Haute-Comté a participé ce jeudi 18 septembre à REMPAR25, un exercice national, piloté par l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information, visant à simuler une cyberattaque d’ampleur.
Cette opération grandeur nature mobilise les acteurs publics et privés pour apprécier leur capacité à réagir face à une attaque informatique. Au CHIHC, l’ensemble des services — des ressources humaines à la direction stratégique — ont été impliqués pour protéger les données de santé et garantir la continuité des soins.
Selon des chiffres communiqués par le Rectorat de Besançon, plus de 15% des enseignants sont mobilisés lors de cette journée d’action sociale. Soit 15,7% annoncés dans le 1er degré. Un taux de 14,7% est relayé pour le second degré dans l’académie de Besançon. On notera également que des actions de blocage ont été menés devant les lycées Nicolas Ledoux et Pasteur à Besançon.
Une mobilisation sans précédent touche les officines françaises ce jeudi, avec près de 98 % des pharmacies en grève selon le syndicat des Pharmaciens de France. En cause : un arrêté gouvernemental visant à réduire les remises sur les médicaments génériques de 40 % à 20 %, une mesure jugée « assassine » par les professionnels du secteur. Plusieurs centaines de pharmaciens et kinésithérapeutes, venus de toute la région, ont répondu à la mobilisation de ce matin au centre-ville de Besançon.
L'interview de la rédaction : Jérôme Pheulpin, président de la Fédération des Pharmaciens de France en Haute-Saône (FSPF)
Une menace directe pour la survie des officines
Pour Jérôme Pheulpin, président de la Fédération des Pharmaciens de France en Haute-Saône (FSPF), cette baisse représenterait une perte moyenne de 30.000 euros par pharmacie, mettant en péril leur équilibre économique déjà fragilisé par l’inflation. « Si cet arrêté passe, 33 % des pharmacies françaises pourraient fermer définitivement », alerte-t-il.
Une mobilisation soutenue par les patients
Les pharmaciens comptent sur le soutien du public, notamment via des pétitions disponibles dans les officines. L’objectif : faire pression sur le gouvernement pour que le plafond des remises génériques soit inscrit dans la loi de financement de la Sécurité sociale 2026, et non laissé à la discrétion du pouvoir exécutif.
L'interview de la rédaction : Jérôme Pheulpin, président de la Fédération des Pharmaciens de France en Haute-Saône (FSPF)
Un service minimum maintenu
Malgré l’ampleur de la grève, les pharmacies de garde assurent un service sanitaire minimum pour répondre aux urgences. Le mouvement pourrait se durcir si aucune réponse n’est apportée par les autorités.