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La Ville de Besançon a décidé de modifier sa grille tarifaire de ses accueils périscolaires pour la rentrée prochaine. L’objectif est « d’assurer une meilleure équité sociale Â». Elle s’appuie sur le coefficient familial de la Caisse d’Allocations Familiales pour définir le tarif appliqué. Le temps d’accueil périscolaire du matin demeure gratuit pour tous les enfants inscrits. Concernant le temps périscolaire du midi, la ville veut faciliter l’accès à la cantine aux enfants des familles les moins favorisées en abaissant le tarif du repas de 1,50 euro à 1 euro.

En revanche, les ménages les plus aisés contribueront davantage à l’effort de solidarité, avec un tarif maximum porté à 8,50 euros. Ce qui est bien en deçà du véritable prix du service, évalué à 13,50 euros. Le tarif du temps d’accueil périscolaire de l’après-midi s’inscrit dans cette même démarche. La baisse des tarifs concerne 78% des enfants. Cette augmentation permettra également d’absorber en partie la revalorisation des conditions de rémunération des animateurs et prend en compte l’augmentation du coût des services périscolaires, liée à l’inflation et à l’énergie.  

La Ville de Besançon souhaite également continuer à augmenter ses capacités d’accueil. Depuis l’arrivée aux responsabilités de la nouvelle équipe plus de 800 places ont été créées à Besançon pour permettre à plus de familles de bénéficier de l’organisation périscolaire mise en place le midi.

Le budget 2023 sera au cÅ“ur des débats du conseil municipal bisontin de ce jeudi soir. Dans un contexte de crises : sécheresses, canicules, covid, guerre en Ukraine, augmentation de la facture énergétique, … la majorité municipale proposera un exercice comptable de 212 millions d’euros. Malgré ce contexte socio-économique, Anne Vignot et son équipe prévoient 42 millions d’euros d’investissement. Malgré les 8 millions d’euros supplémentaires, qu’il a fallu appréhender, en raison du contexte du moment, la ville annonce que les taux de fiscalité ne bougeront pas.

Anthony Poulin, l’élu en charge des finances, à la Ville de Besançon, présente un budget construit autour de quatre piliers : la solidarité, l’économie locale, l’implication des habitants le climat et le vivant. Parmi les investissements accordés : la poursuite de la rénovation des écoles et des crèches (10 millions d’euros par an), le réaménagement de la boutique Jeanne Antide (250.000 €), une subvention de 150.000 euros supplémentaires sur les 10 millions d’euros accordés au CCAS de Besançon, le lancement du projet de la maison des femmes, 8 millions d’euros pour l’investissement dans la production d’énergies renouvelables et l’amélioration de la gestion de la ressource en eau, un plan de sobriété énergétique à hauteur de 1,2 million d’euros ou encore la restructuration du pôle sportif Diderot à Planoise pour 10,5 millions d’euros, … .

L'interview de la rédaction / Anthony Poulin

 

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Olivier Dussopt, le ministre du travail, du Plein emploi et de l’Insertion  sera dans le Jura ce vendredi. Il se rendra à Gevingey, où il échangera avec des apprentis sur les thématiques de la formation et de l’apprentissage, et à Port Lesney, où il échangera avec les acteurs de la filière du bois  sur les actions conduites pour réduire les tensions de recrutement.

Alors que le tribunal de commerce de Bordeaux a validé, ce mercredi après-midi,  la demande de placement en procédure de sauvegarde des 26 magasins Galeries Lafayette de province, propriété du milliardaire bordelais Michel Ohayon, Anne Vignot, maire de Besançon  annonce que la ville se positionne sur  l’achat des murs qui accueillent le commerce et ses 75 employés au centre-ville de Besançon.  Elle le fera via la société d’économie mixte patrimoniale Aktya, qui dispose déjà de plusieurs immeubles sur Besançon, le Haut-Doubs et le Jura.

La cité comtoise veut s’assurer que l’activité commerciale perdure sur ce secteur. « Nous avons tous les moyens de racheter ces murs. Si une autre proposition intéressante se manifeste nous ne nous présenterons pas Â» indique Anne Vignot. Par cette démarche, l’élue veut également rassurer tous les employés bisontins. « Dans tous les cas, nous n’abandonnerons pas ce site et nous le porterons s’il faut le porter Â» indique-t-elle.

L'interview de la rédaction / Anne Vignot

Mardi soir, la ligue de football a procédé au tirage au sort des 16ès de finale de la Coupe Bourgogne-Franche-Comté. Les matches se disputeront les 11 et 12 mars prochains. Parmi les rencontres à suivre :

Chalon FC (R1) – Besançon Foot (N3)

Maconnais UF (N3) – Bresse Jura (R1)

Vesoul (R1) – Grandvillars (N3)

Les Ecorces (R3) – FC Sochaux Montbéliard (N3)

Château de Joux (R3) – Morteau Montlebon (N3)

Jura Dolois (N3) – Pontarlier (N3)

Belfort ASFC – Pont de Roide (R1)

Valdoie (R3) – Valdahon Vercel (R1)

Le BesAC a terminé, la semaine dernière, la saison régulière de son championnat en nationale 1 masculine. Après les 26 matches disputés, depuis le 24 septembre dernier, les basketteurs bisontins apparaissent à la huitième place, avec 12 victoires et 14 défaites. A compter du 10 mars, le club disputera la phase 2, avant d’attaquer les play-offs. Compte tenu de ses résultats, le BesAC apparaît dans la poule médiane. La première de cette série de rencontres se jouera à Tours. Boulogne-Sur-Mer, Lyon SO, Feurs, Andrézieux, Toulouse, Lorient, Challans et Rueil figurent ensemble dans cette poule.

Les images sont assez inquiétantes, mais les autorités se veulent rassurantes. Depuis quelques semaines, le Lac de Vouglans a quasiment disparu. Une situation particulière, mais qui n’est pas nouvelle. Régulièrement à pareille époque, le lac, très sollicité par le barrage pour produire de l’électricité,  baisse énormément. Cependant, la fonte des neiges et les pluies du printemps compensent assez vite ces manques. Si le phénomène est connu, il n’en reste pas moins que le manque de neige et de pluie inquiète. L’échéance est fixée au 15 mars. Il faudra alors à cette période que le lac ait retrouvé ses capacités habituelles.

Christelle Deparis-Vincent, maire de Pont de Poitte, explique que « le lac n’est jamais plein à cette époque Â». Et de poursuivre : « Ponctuellement, il y a toujours des hausses et des baisses. L’inquiétude viendra plutôt courant mars en fonction de la situation Â». L’objectif est connu de tous, les barrages doivent atteindre leur côte au 14 juillet.  Désormais, les yeux sont rivés sur les prévisions météorologiques. Selon Météo France, il devrait pleuvoir lors des trois prochains jours. Ce qui sera insuffisant  pour rassurer et envisager l’avenir sereinement.

A cinq mois du début des vacances estivales, la région des Lacs ne veut pas perdre tout ce qui fait son charme. « On vit essentiellement du tourisme. Les gens viennent nous voir pour les lacs, les cascades,  l’eau et la beauté de nos paysages Â» explique Mme  la Maire. « L’eau on en a besoin Â» conclut-elle.

L'interview de la rédaction : Christelle Deparis-Vincent, maire de Pont de Poitte

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Cette nuit, vers 23h, les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus à Saint-Amour pour un feu d’appartement dans un immeuble de trois étages. Deux personnes sont décédées. Une victime a été transportée en urgence absolue sur le centre hospitalier Minjoz de Besançon. Sept autres ont été incommodées par les fumées. 44 sapeurs-pompiers et 18 engins se sont rendus sur place.