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Ce mardi 8 avril, s’est déroulé le tirage au sort des 8ès de finale de la Coupe séniors masculines en Bourgogne Franche-Comté. Parmi les rencontres à suivre :

US Saint Sernon (R2) - Besançon Football (N3)

Jura Dolois (N3) -  Louhans Cuiseaux (N3)

Pontarlier (N3) – Saint Apollinaire ( R1)

Racing Besançon (N3) – Pont de Roide Vermondans (R1)

Les Ecorces (R3) – FC Sochaux Montbéliard (2) (N3)

Tout va bien pour le Jurassien Théo Delacroix sur le Région Pays de la Loire Tour. Hier, mercredi, l’Arboisien a pris la 21è place de la deuxième étape de cette épreuve. Il apparaît désormais en cinquième position au classement général. Rappelons que la quatrième et dernière manche se disputera ce vendredi 11 avril.

Dans la confusion générale, après avoir accordé la victoire au bisontin Romain Grégoire, les organisateurs du Tour du Pays Basque ont finalement accordé le titre de la 3è étape de l’épreuve à l’Epagnol Alex Aranburu, qui avait été déclassé. Ils ont reconnu une erreur dans la signalisation du parcours.  Sur ce même itinéraire, le Jurassien Clément Berthet apparaît en 14è position.  Fabien Doubey est 73è. Au classement général, le Bisontin se classe en septième position. Berthet est 21è. Doubey se classe en 64è position.

Un incendie s’est déclaré hier, vers 18h30, à Villers-le-Lac, rue des Cygnes. Il a pris dans la cuisine d’un appartement, dans une habitation composée de trois appartements. A l’arrivée des secours, le sinistre avait été éteint à l’aide d’un extincteur. Deux hommes, âgés de 51 et 52 ans, qui avaient inhalé des fumées, ont été transportés sur le centre hospitalier de Pontarlier. Un travail de déblai et de dégarnissage a été nécessaire. La gendarmerie nationale et Enedis se sont rendus sur place.

Suite à la démission de Christophe Chambon, le conseil d’administration de la FRSEA Bourgogne Franche-Comté du 8 avril a élu, à l’unanimité, Stéphane Sauce comme nouveau président. Christophe Chambon, fortement impliqué au niveau de la FNSEA et responsable de plusieurs dossiers stratégiques avait souhaité alléger sa charge de travail. Stéphane Sauce s’est installé en GAEC avec son père en 2003. Aujourd’hui, en EARL, avec un salarié et un apprenti, il évolue sur une surface de 190 hectares, il produit 550 000 litres de lait à Comté

Alors qu’un projet de crématorium est acté à Levier, dans le Haut-Doubs, et Vesoul, en Haute-Saône, les élus de Grand Besançon Métropole devraient voter  ce jeudi soir,  les travaux d’extension du crématorium d’Avanne-Aveney, pour un montant de plus d’un million d’euros. On vient de toute la région pour bénéficier de ce service. Alors que l’équipement de crémation, le four, sera remplacé par le délégataire actuelle, les Pompes Funèbres Générales, pour un montant de 634.500 euros, Grand Besançon Métropole va financer les travaux d’extension et de rénovation de l’établissement.

L'interview de la rédaction : Anthony Nappez, élu en charge des cimetières, des bâtiments et des réseaux de chaleur

Ce projet consiste à doubler la superficie de la salle de cérémonie, qui proposera 130 places, à créer un bureau d’accueil pour le personnel, une salle de convivialité annexe (50 m2), la couverture des extérieurs et la retransmission des cérémonies sur les différents sites créés ou aménagés. Par ailleurs, un accès technique plus adapté aux process quotidiens est prévu. Les travaux pourraient débuter en janvier 2026, pour se terminer en octobre 2026. Afin d’amortir ces investissements, il sera proposé au conseil communautaire de prolonger la délégation de service public d’Avanne-Aveney de 6 ans (2028 – 2034).

Des besoins grandissants

Les élus ont constaté un changement dans les pratiques funéraires. L’augmentation de la demande pour les crémations est bien réelle. Pour les élus de Grand Besançon Métropole, ces investissements se justifient aisément.  Les délais d’attente pour les familles, pouvant aller jusqu’à 10 jours, sont intolérables. Tout comme, l’accueil de ces dernières.

Tension dans les cimetières

L'interview de la rédaction : Anthony Nappez, élu en charge des cimetières, des bâtiments et des réseaux de chaleur

En parallèle de ces travaux, Grand Besançon Métropole mène une réflexion sur l’occupation des cimetières, où la consommation foncière doit être reconsidérée. Une réflexion est actuellement menée. Dans un premier temps, la ville de Besançon va procéder à une extension de 2 hectares du cimetière Saint-Claude, avec la création d’un carré musulman. Par ailleurs, la création d’un ou plusieurs cimetières intercommunaux, pas forcément à Besançon, dédiés aux habitants de l’agglomération, est envisagée.

 

Un incendie est en cours à Villers-le-Lac, 8 rue des Cygnes. Il concerne une habitation. Nous n’avons pas davantage d’information pour le moment.

Depuis une quinzaine d’années, Grand Besançon Métropole s’est doté de la compétence insertion. Dans un contexte économique compliqué, où le taux de chômage se détériore également sur le territoire du Grand Besançon, jusque-là préservé, la collectivité veut répondre présent. Il en va de la « justice sociale Â». Les prochains chiffres de 2025 devraient confirmer cette tendance. A l’image d’Oerlikon, à Mamirolle, ou des enseignes comme Gifi et C&A, à Besançon,  des plans sociaux sont annoncés.

L'interview de la rédaction : Nicolas Baudin, le 2è Vice-président de GBM, en charge de l’économie, de l’emploi et de l’insertion.

Grand Besançon veut jouer un rôle dans le domaine de l’emploi sur son territoire d’action. La collectivité, qui tisse des liens permanents avec le monde de l’entreprise, se présente comme « un facilitateur entre les recruteurs et les futurs salariés Â». Elle mène également une stratégie en direction des populations les plus éloignées de l’emploi. L’objectif étant d’accompagner les habitants et les entreprises et de créer les synergies nécessaires pour ne pas fragiliser la capacité des entreprises à répondre aux demandes du marché.

L'interview de la rédaction : Nicolas Baudin, le 2è Vice-président de GBM, en charge de l’économie, de l’emploi et de l’insertion.

Des secteurs en difficulté

Les décisions américaines récentes entraînent une augmentation immédiate de 20% des coûts pour certaines entreprises locales. La construction, la sous-traitance automobile, l’horlogerie, le luxe d’entrée et de gamme intermédiaire et la santé font partie des activités traditionnelles du territoire les plus impactées. En parallèle, le secteur de la défense montre des besoins croissants, pour lesquels les entreprises du territoire doivent être en capacité de répondre. La diversification de ces dernières fait partie des grands enjeux du moment, qui leur permettront d’écarter les risques liés à une dépendance excessive, comme peut la connaître les firmes liées à l’automobile.

L'interview de la rédaction : Nicolas Baudin, le 2è Vice-président de GBM, en charge de l’économie, de l’emploi et de l’insertion.