Handball
ProLigue
Frontignan 39 – 29 GBDH
Nationale 3 masculine
Illkirch 22 – 30 Saône Mamirolle
Mulhouse 32 – 44 Grand Besançon Doubs Handball
Franois 25 – 28 Strasbourg/Schiltigheim
Basket
Nationale 1 masculine
BesAC 80 – 81 Lyon SO
Nationale 2 masculine
Basket Club Lievinois 69 – 66 Lons le Saunier
Nationale 3 masculine
Poligny 98 – 72 Rhône Sud Basket
CLAR Lyon Basket 83 – 77 Montmorot
Rixheim 86 – 67 Jura Salins
Nationale 2 féminine
Charnay – Lons le Saunier
Nationale 3 féminine
Lons le Saunier – Dijon (2)
Vendenheim 76 – 73 Champagnole
Rugby
Fédérale 2
Pays de Meaux 14 – 34 Grand Dole Rugby
Paris Université Club 48 – 3 CA Pontarlier
Antony – Lons le Saunier
Fédérale 3
Bellegarde 63 – 19 Besançon
Arbois 16 – 29 Montceau
Saint Claude 22 – 23 Viriat
Nous nous approchons du traditionnel changement d’heure. Dans la nuit de samedi à dimanche, le pays bascule à l’heure d’hiver. Durant cette période, on recule d’une heure nos appareils. Ainsi, comme le veut le traditionnel adage, « à trois heures, il sera deux heures ». Pour l’heure, la possibilité, souvent exprimée, de supprimer le changement d’horaire, semble ne plus être d’actualité actuellement.
Il y a du basket ce vendredi soir. Dans le cadre d’une nouvelle journée de championnat en national, le BesAC reçoit Lyon SO. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h au Palais des Sports Ghani Yalouz. Les Bisontins doivent absolument relever la tête. Le collectif reste sur trois défaites consécutives. Ce qui le place en dixième position au classement. A un point seulement de la lanterne rouge.
Chez les écologistes, les candidatures pour les élections se font d’une manière très étrange. Le choix de Dominique Voynet, pour les législatives de juin dernier, en a été la preuve. Tout laisse à penser que l’actuelle maire bisontine, Ann Vignot, a été complètement dépassée par ses propos tenus, en début de semaine, sur un média d’opinion bisontin.
Curieuse façon d’annoncer son souhait de briguer un nouveau mandat à la tête de Besançon que de le faire, médiatiquement, d’une manière aussi dispersée, écartant une partie des médias qui représentent des milliers d’auditeurs. Tout laisse à penser que la maire de Besançon n’a pas vraiment maîtrisé sa communication. D’autant plus dans un contexte où ses alliés de gauche semblent, eux aussi, avoir été mis devant le fait accompli. On attend une démarche plus officielle. Affaire à suivre.
Cette nuit, vers minuit, les sapeurs-pompiers sont intervenus, rue de Dole, à Besançon, pour porter secours à un homme de 27 ans, grièvement blessé après une chute en trottinette. A l’arrivée des secours, la victime, non casquée, était inconsciente. Elle a été transportée sur le centre hospitalier Jean Minjoz.
A l’instar du territoire national, qui voit ses effectifs salariés croître très faiblement (+ 15 200 postes) sur le deuxième trimestre 2023, la tendance de l’emploi du secteur privé en région Bourgogne Franche-Comté est à la stagnation, voire à la baisse, avec 200 postes en moins ce même-trimestre. Les difficultés se concentrent dans les secteurs de la construction, de l'industrie et du commerce. Les services hors intérim restent positifs, mais leur croissance a également ralenti.
Le député doubiste Laurent Croizier est très engagé dans la lutte contre le harcèlement scolaire. Dans le cadre de la loi de sécurisation et de régulation des espaces numériques, le parlementaire a formulé une demande de rapport afin de recenser toutes les actions de prévention et de sensibilisation mises en place dans les établissements scolaires, rendre annuellement obligatoire une session de sensibilisation aux enjeux de harcèlement et de cyberharcèlement en milieu scolaire et évaluer la façon dont le harcèlement est inclus dans la formation initiale et continue des professeurs et de l’ensemble des personnels de l’Education nationale.
Par ailleurs, il y a une semaine, lors de l’examen en séance des crédits enseignement scolaire du projet de loi de finances 2024, un amendement, déposé par les députés démocrates, dont le député Croizier, va permettre la création de « brigades anti-harcèlement » dans chaque académie. 40 millions d’euros sont dédiés à la création de ce dispositif, composé de fonctionnaires de l’Education nationale, formés à la lutte contre le harcèlement pour venir en soutien des équipes pédagogiques. « Il y a une vraie ambition, à la fois des parlementaires et du ministre, pour améliorer grandement la lutte contre le harcèlement dans les établissements scolaires » explique M. Croizier.
L'interview de la rédaction : Laurent Croizier
Ce jeudi 9 novembre, c’est la journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire. Rappelons que Gabriel Attal, le ministre de l’Education nationale, a fait de ce fléau, « une priorité absolue ». Selon une étude menée par l’IFOP, publiée ce mardi, un élève sur cinq affirme avoir été victime de violences répétées.
Au sein de l’Education nationale, des dispositions sont prises pour accompagner au mieux les victimes, leur harceleur et leurs familles. Néanmoins, la voie éducative a aussi ses limites et il est bon de rappeler que le harcèlement est un délit qui est puni par la voie judiciaire. « On ne peut plus mettre ces affaires sous le tapis » a encore dernièrement déclaré Gabriel Attal. Au rectorat de Besançon, on reconnaît bien volontiers que la prise de parole à la rentrée dernière du jeune ministre de l’Education nationale a permis d’ouvrir le débat et libérer la parole.
Des ados ambassadeurs contre le harcèlement
Le harcèlement peut prendre différentes formes, qui poursuit les jeunes jusqu’à leur vie privée. Si certains faits sont recensés dans les établissements scolaires, d’autres délits et agressions physiques ou verbales sont commises à la sortie des cours, dans le bus scolaire ou bien entendu sur les réseaux sociaux. Dans les écoles, collèges et lycées, les équipes éducatives et les chefs d’établissement mènent un formidable travail pour faire évoluer les mentalités et faire en sorte de ramener de la sérénité et de l’apaisement dans les relations et le climat scolaire. A travers le dispositif PHARe, adultes et jeunes se mobilisent. A Besançon, dans le quartier Planoise, au collège Voltaire, une équipe d’une dizaine de collégiens forme les ambassadeurs contre le harcèlement. Ces jeunes se définissent comme « des informateurs et des intervenants ». De précieux relais pour faire remonter des difficultés aux adultes et aider les copains qui en ont besoin. « Nous sommes des enfants, mais nous avons notre rôle à jouer » expliquent-ils avec bienveillance et détermination.
L'interview de la rédaction / Deux jeunes ambassadeurs du collège Voltaire