Un homme devra s’expliquer le 6 janvier prochain devant la justice. Le 19 septembre, alors qu’il téléphonait au volant, une patrouille de police a fait arrêter le véhicule. Lorsque son occupant a ouvert la fenêtre, une forte odeur de cannabis se dégageait de l’habitacle. L’occupant remettait alors aux agents une petite quantité de résine de cannabis. Dans la boîte à gants, près de 8000 euros ont été découverts. 410 euros se trouvaient également dans une poche de son pantalon. Chez lui, 80 grammes de résine de cannabis ont également été retrouvés par un chien spécialisé. Le trentenaire a été remis en liberté ce mardi après-midi en attendant son procès.
Dans un communiqué de presse, le sénateur doubiste Jean-François Longeot a saisi le Secrétaire d’Etat chargé des Affaires européennes et la Ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion concernant sa demande de prolongation des accords amiables conclus avec les états frontaliers s’agissant de la sécurité sociale.
Après l’obtention de la prolongation des accords amiables conclus entre les états frontaliers pour le télétravail et fixés au 30 septembre prochain, l’accord concernant la sécurité sociale a pu être décalé au 15 novembre. Mr Longeot demande également que la France s’aligne sur la mesure prise par d’autres pays européens qui se sont prononcés en faveur d’un assouplissement des règles d’affiliation jusqu’au 31 décembre 2021.
Tout au long de ce mois de septembre, la police de Pontarlier procède à des contrôles dans les cars scolaires pour vérifier que les enfants sont bien attachés et qu’il n’y a pas de surcharge. Autrement dit, que les occupants sont bien tous assis dans le véhicule. Les enfants et les adolescents qui ne respectent pas le port de la ceinture de sécurité s’exposent à une amende de 135 euros.
Le Chilien Nicolas Zepeda, soupçonné du meurtre de l’étudiante Narumi Kurosaki, dont le corps n’a jamais été retrouvé, sera jugé à compter du 28 mars prochain devant la cour d’assises du Doubs. Zepeda a reconnu avoir passé une partie de la nuit du 4 au 5 décembre 2016 dans la chambre de la jeune femme, située sur le campus de la Bouloie. Cette nuit-là , des cris ont été entendus, mais personne n’a prévenu les forces de l’ordre. Le meurtrier présumé clame son innocence. Il a expliqué avoir quitté la jeune femme en vie lors de son passage à Besançon.
Sur son compte Twitter, la députée jurassienne La République en Marche Danielle Brulebois réagit aux dernières menaces dont elle a fait l’objet. La parlementaire explique qu’elle a récemment été suivie en voiture, un soir à 19h30, jusqu’à sa propriété, par des anti-pass. « Les mêmes qui m’insultent depuis des mois tous les samedis dans les rues et taguent ma permanence » ajoute-t-elle. Et de conclure : « ces méthodes me laissent sans voix, mais pas intimidée ».
Cette année, la ville française de Morteau et la cité horlogère suisse de la-Chaux-de-Fonds accueillent la Mission Opération Transfrontalière (MOT) à l’occasion de son assemblée générale annuelle. Au cours de ces deux journées, les participants, venus de part et d’autre de la frontière, évoquent différents sujets liés aux problématiques de ces territoires. Au menu : des visites de terrain, des ateliers et des conférences sur la transition écologique, le co-développement, la citoyenneté et la résilience.
Cette année, l’organisation est assurée par l’Agglomération Urbaine du Doubs, qui réunit l’intercommunalité du Val de Morteau et les Villes de la Chaux-de-Fonds et du Locle. Pour des raisons sanitaires, liées au coronavirus, une centaine de participants ont fait le déplacement. Une centaine d’autres participent à distance, via la chaîne YouTube créée pour l’occasion.
Deux enjeux forts
Localement, on a prévu d’aborder plusieurs sujets propres à ce territoire, mais qui peuvent également préoccuper d’autres secteurs géographiques identiques, comme les mobilités, qu’il conviendrait de développer davantage pour mieux fluidifier le trafic routier. Il est fait allusion à la voie des microtechniques et à la ligne des hirondelles. Les relations transfrontalières sont également au cœur des échanges. Ces dernières sont jugées insuffisantes, alors que des milliers de personnes traversent chaque jour la frontière pour se rendre au travail.
L'interview de la rédaction : Pierre Vaufrey, président de l'Agglomération Urbaine du Doubs, maire adjoint de Morteau.
Il y a du football ce mardi soir. Dans le cadre de la 9è journée de championnat en Ligue 2, le FC Sochaux Montbéliard, actuel 3è, se déplace à Guingamp, qui occupe la 13è place. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h.
La semaine s’annonce chargée pour le BesAC, le club de basket bisontin. Le premier rendez-vous est fixé ce mardi soir avec une opposition contre Andrézieux pour le compte des 64ès de finale de la Coupe de France. Vendredi soir, le groupe de Nicolas Faure recevra Chartres dans le cadre de la 1ère journée de championnat en nationale 1 masculine.
Au BesAC, on ne cache pas que la Coupe de France n’est pas la priorité de la saison. Rappelons que cette compétition n’est disputée que par les clubs de Pro A, Pro B et nationale 1. Alors autant dire que le niveau est très élevé. Mais Besançon n’entend pas pour autant y faire de la figuration. Le match de ce jour est pris très au sérieux et les Bisontins se déplacent en Auvergne-Rhône-Alpes avec la ferme intention de poursuivre l’aventure. Il s’agit d’un véritable test-match puisque le BesAC affrontera cette même formation dans sa poule de nationale 1.
D’ailleurs, le championnat débute vendredi soir, avec la réception de Chartres, une autre formation qui a de réelles ambitions cette saison. Le club a soigné son recrutement cet été.
L'interview de la rédaction / Pierre Labbé, co-président du BesAC