Le DAB+ - Digital Audio Broadcasting -, la nouvelle norme de diffusion numérique de la radio FM a franchi un nouveau cap dans la région ce mardi 12 octobre.
Concrètement, elle permet désormais de recevoir une offre diversifiée de nouveaux programmes, parfois exclusifs détaille Hervé Godechot, le Monsieur radio du CSA, le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel.
Lors d’une réunion du Comité Territoriale de l’Audiovisuel, il a détaillé le plan de déploiement de cette technologie dans la région.
À Dijon, l’offre FM passe de 27 programmes à 38 en DAB+.
Pour Chalon sur Saône, l’offre passe de 18 programmes à 38 en DAB+.
Et à Mâcon, l’offre est désormais de 63 programmes en DAB+.
Avec le DAB+, plus besoin de chercher les fréquences, le récepteur affiche le nom des stations disponibles.
Côté qualité audio, celle-ci est nettement améliorée par rapport la bande FM, et est dotée de données associées, des images et des textes que la station souhaitera afficher.
Ce mode d’écoute reste anonyme tient à préciser Hervé Godechot.
Mais comment recevoir le DAB+ ?
En mobilité, depuis début 2021, l’ensemble des véhicules neufs produits embarquent un récepteur DAB+ en première monte.
Du côté du parc d’occasion, cet équipement reste disparate selon l’âge du véhicule et de sa gamme.
A la maison, différentes gammes de récepteur DAB+ existent à partir de quelques dizaines d’euros.
Seule contrainte dans la région, habiter Dijon, Auxerre, Chalon sur Saône ou encore Mâcon.
La Franche-Comté quant à elle, sera couverte en DAB+ avec 26 programmes dès le premier semestre 2022 à Besançon, ou Plein Air et la nouvelle station du groupe Plein Air 2 seront diffusées.
Interview Hervé Godechot au micro de RCF
Il s’agissait d’un adolescent, âgé de 13 ans. Il a été placé en garde à vue. Lors de son audition, il a reconnu avoir dérobé, la camionnette du foyer dans lequel il a été placé. Il a été remis à ses éducateurs. Il sera convoqué prochainement devant le juge des enfants du tribunal judiciaire de Besançon.
Un accident, impliquant un poids lourd et un cycliste, s’est produit ce mardi à Champlive. Le cycliste, grièvement blessé, a été transporté médicalisé en ambulance sur le centre hospitalier de Besançon.
Ce mardi après-midi, à l’Hôtel de Police de la Gare d’Eau, Jean François Colombet, le préfet du Doubs est venu rencontrer une partie des 23 nouveaux policiers nationaux qui ont rejoint le département. Ils sont arrivés le 1er septembre dernier. Comme l’a rappelé le représentant de l’état, depuis le début de l’année, ce sont plus de 50 fonctionnaires qui ont rejoint les rangs de la police nationale dans le Doubs. Depuis 2017, les effectifs ont progressé de 17%. Ces hommes et ces femmes seront répartis sur l’ensemble des trois circonscriptions : Besançon, Pontarlier et Montbéliard. « Les trois piliers de la police nationale, renseignement, voie publique et investigation, ont été pourvus » assure le commissaire divisionnaire Bénilde Moreau.

« Défendez votre territoire »
Le Préfet Colombet a demandé aux policiers de « défendre leur territoire, comme s’ils devaient défendre leur famille ». « Engagez-vous » a-t-il insisté. Il leur a également demandé de faire preuve « de professionnalisme dans l’accomplissement de leur mission ». « Vous exercez sans doute la plus difficile mission du service publique » a-t-il complété. En conclusion, Mr Colombet a voulu laisser un message empreint de reconnaissance. Précisant que, « contrairement à ce que certains proclament dans les cortèges des manifestation anti passe sanitaire, les Français aiment leur police et leur gendarmerie ». « Vous incarnez un grand service public. Les autorités seront toujours à vos côtés » a terminé le représentant de l’état.
Le reportage de la rédaction
La Ville de Pontarlier indique qu’en raison des travaux qui sont actuellement menés dans la rue de Salins, la circulation sera coupée sur ce secteur du 15 at 17 septembre. Et ce, afin de permettre à l’entreprise missionnée de poser les nouveaux enrobés. Des déviations seront mises en place.
23 personnes sur les 40 que compte le DITEP de Revigny (Dispositif Institutionnel Thérapeutique Educatif et Pédagogique), sont en grève depuis le 6 septembre dernier. Ces éducateurs, psychologues, maîtresses de maison psychomotricienne dénoncent leurs conditions de travail dégradées, avec des postes non pourvus et des locaux vétustes.
Les grévistes expliquent que leur santé physique et psychique a été mise à mal l’année écoulée avec cinq directeurs en deux ans et le non remplacement de leurs collègues malades ou cas contact. Ils dénoncent également la suspension de leurs collègues pour « non présentation du pass sanitaire ».
Le collectif réclame les moyens nécessaires pour réaliser ses missions. Les personnels mobilisés se disent déterminés pour poursuivre leur mouvement, jusqu’à obtenir satisfaction. Précisons que cet établissement accueille des enfants souffrants de troubles des conduites et du comportement.
Une mauvaise nouvelle pour Besançon. Selon le dernier baromètre de l’Etudiant, la cité comtoise perd 5 places et se positionne en 25è position au classement des villes étudiantes françaises. Elle apparaît en 8è position dans la catégorie grandes villes. La rédaction a passé au crible 43 villes universitaires dans de nombreux domaines tels que le logement, les études, les sports, les sorties, la culture, les transports, … . Besançon est 33è pour son attractivité, 19è en termes de formation, 23è pour son cadre de vie et 15è pour l’emploi.