Choix du secteur :
Se connecter :
 

Les clubs francs-comtois, encore engagés en Coupe Gambardella, connaissent leur adversaire pour le 1er Tour fédéral. Les jeunes footballeurs du Racing Besançon affronteront le SC Bastia. Les Pontissaliens recevront Pontcharra Saint-Loup, qui évolue en Ligue Auvergne-Rhône-Alpes. Enfin, les Sochaliens de Pierre-Alain  Frau se déplaceront dans l’Aube, où Nogent-sur-Seine les attendra. Les matches se joueront le week-end des 10 et 11 décembre prochains.

Un homme de 25 ans devra s’expliquer le 25 janvier prochain devant le délégué du Procureur de la république à Besançon. Il est soupçonné d’avoir commis des vols au sein de l’entreprise bisontine Worldplas. Avec deux autres collègues, il était en conflit avec son employeur. Interpellé comme les deux autres personnes, ce dernier a reconnu le vol de panneaux solaires et de batteries, pour des motifs de vengeance envers son entreprise. Les deux autres ont nié les vols. Lorsqu’il a déposé plainte, le patron a déclaré un préjudice estimé à 6000 euros.

Dans le cadre de l’appel à projet « initiative biodiversité Â» de l’Agence de l’Eau Rhône Méditerranée Corse, le Parc naturel régional Doubs Horloger participe à la mise en Å“uvre d’un programme qui étudie l’importance du rôle des haies pour la biodiversité et la préservation de la ressource en eau.

Concrètement, cette action, soutenue par de nombreux partenaires,  prévoit la plantation de 20.000 arbres sur le territoire du Parc et un volet animation, formation et sensibilisation pour renforcer la pérennité des actions réalisées et aider à l’accompagnement des agriculteurs volontaires dans les projets de plantation et de gestions des haies.  Ainsi, ce jeudi 24 novembre, une journée spécifique se tient sur une exploitation à Villers-le-Lac et à la MFR des Fins, qui se poursuivra le 13 décembre avec un temps de plantation d’une haie fourragère, avec les élèves des MFR des Fins et de Vercel, sur l’exploitation témoin.

104.000 hectares. 60.000 habitants

Rappelons que le Parc naturel régional du Doubs Horloger se répartit sur un large territoire, composé de 94 communes. Soit 104.000 hectares de superficie et près de 60.000 habitants. Il s’étend sur les anciens cantons  du Saugeais, Morteau, Le Russey, Maîche et Saint Hippolithe. Le plateau de Belleherbe et les secteurs  d’Orchamps-Vennes, Pierrefontaine-les-Varans, Laviron et Landresse en font partie également.  Pour Charles Schelle, Vice-Président du Parc Naturel régional du Doubs Horloger, en charge de la commission « Agriculture et forêt Â», cette démarche est importante, surtout en période climatique particulière, où l’agriculture souffre et la préservation de la ressource en eau un véritable enjeu. « Il apparait que lorsque l’on a de grandes étendues, on perd en qualité au niveau de la production agricole et de la retenue des eaux. Les haies sont un élément fixe qui permet  d’obtenir des effets bénéfiques sur toute la biodiversité Â» explique l’élu de Provenchère.

Une démarche test et scientifique

Persuadés de la pertinence et des bienfaits sur l’environnement de cette démarche, les élus et leurs partenaires entendent montrer toute son efficacité et la voir se décliner sur d’autres territoires. D’ici cinq ans, sur les plus petites plantations, les bénéfices pourront déjà être enregistrés.  Le coût de cette opération s’élève à 355.000 euros. Toutes les personnes de ce territoire de vie, quel que soit leur statut peuvent souscrire. Pour obtenir de plus amples informations : 03.81.68.53.32

L'interview de la rédaction / Charles Schelle, Vice-Président du Parc Naturel régional du Doubs Horloger, en charge de la commission « Agriculture et forêt Â».

 

Quatre blessés légers ont été transportés hier après-midi au CHU Minjoz. L’accident s’est produit avenue Edgar Faure à Besançon. Six véhicules, dont quatre en stationnement, sont impliqués dans cette collision.

L’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse a publié son nouveau rapport sur l’état des eaux et des nappes des bassins Rhône-Méditerranée et de Corse. Il s’appuie sur 5,5 millions d’analyses de surveillance annuels. En Bourgogne-Franche-Comté et Grand Est, seulement 26% des rivières sont en bon état écologique et 83% des nappes souterraines affichent un bon état chimique, selon les données de l’Agence de l’eau. Plusieurs facteurs sont en cause, comme le changement climatique, l’artificialisation des sols ou encore le cloisonnement des milieux aquatiques.

Une qualité d’eau qui s’améliore, mais de nombreuses substances encore présentes

Laurent Roy, le directeur général de l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse, affirme pourtant que la qualité de l’eau a considérablement augmenté depuis une trentaine d’années. En partie grâce à l’assainissement et les nombreuses stations d’épuration. Des substances qui étaient autrefois omniprésentes dans l’eau comme l’ammonium ou encore le phosphore ont très fortement diminuées. Cependant, les analyses ont révélé la présence de 500 substances toxiques, dont la moitié sont des pesticides.

Plus de 500 substances retrouvées dans les cours d’eau, dont de la caféine et des médicaments

Parmi toutes les substances retrouvées dans les cours d’eau, il y a notamment la caféine, présente dans près de 80% des rivières, mais également des substances chimiques comme les pesticides, glyphosates, les produits phytosanitaires ou encore des produits de la vie quotidienne et de nombreux médicaments. « On a tendance à en retrouver partout. La solution c’est de vraiment en réduire les usages à la source quand c’est possible Â» indique Laurent Roy, directeur général de l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse.

Limiter le cloisonnement des rivières

En Bourgogne-Franche-Comté, plus de 80% des cours d’eau ont été modifiés, deux fois plus que dans le bassin méditerranéen. L’artificialisation est l’un des principaux facteurs qui menace le bon fonctionnement des cours d’eau. Avoir des rivières, des zones humides et des plans d’eau suffisamment naturels pour que la biodiversité puisse bien s’y porter est essentiel. Les cours d’eau ont beaucoup été artificialisé au cours des décennies précédentes et qu’il faut désormais « renaturer, avec des aspects sinueux, des berges plus variées, pour que les écosystèmes aquatiques refonctionnent Â» explique Laurent Roy.

 

 

 

Un homme de 31 ans a été placé en garde à vue à Besançon. Hier soir, une patrouille a remarqué la conduite dangereuse de cet automobiliste, à hauteur du Chemin du Point du Jour à Besançon. Lors du contrôle, il est apparu qu’il conduisait malgré une annulation judiciaire de son permis de conduire. Le véhicule n’était pas assuré et était en défaut de permis de conduire. Il a été conduit sans incident au commissariat de police.

Le Collectif de Défense de la Santé du Doubs soutient pleinement la proposition de loi sur la réintégration des soignants non vaccinés, qui devrait être présentée le 24 novembre à l’Assemblée Nationale. Il est rappelé que « dans quasiment tous les pays d’Europe et aux USA, les suspendus non vaccinés sont réintégrés à l’hôpital et dans les centres de soins Â».

Le collectif souligne également qu’en pleine période covid, « le gouvernement leur avait demandé de venir au travail, même positif, avant de les priver de leur unique source de revenu Â». Pour le Collectif « il est plus que temps de permettre à celles qui le souhaitent d’exercer à nouveau leur profession Â».

La mobilisation se poursuit à l’hôpital de Champagnole. A l’appel de la CGT et du comité de défense de l’hôpital, un rassemblement se tiendra ce samedi matin, à 10h, sur la place de la mairie. Les syndicats, soignants et leurs soutiens entendent dénoncer la fermeture de la ligne SMUR et les consultations non programmées.