Un incendie s’est déclaré ce matin, vers 9h45, à Poligny, 2 rue de l’égalité dans la cave d’un immeuble de quatre étages. 13 personnes ont été relogées. Une lance à eau a été déployée. 23 véhicules et 43 sapeurs-pompiers se sont rendus sur place.
Un couple de paresseux est arrivé ce jeudi 11 novembre à la Citadelle de Besançon. Cette espèce y est présentée pour la première fois. Reconnue à l’échelle internationale pour ses compétences zootechniques et ses capacités de reproduction d’espèces sensibles, l’équipe du Muséum de Besançon a été choisie pour accueillir ces animaux.
Ce matin, Jean-François Chanet, recteur de la région académique Bourgogne-Franche-Comté et de l’académie de Besançon, a remis à une classe entière de 3è du collège Diderot, dans le quartier Planoise, à Besançon, le prix coup de cœur du concours « Non au harcèlement » 2021.

Pour la 7è année consécutive, cette action pédagogique, qui s’adresse aux élèves du CE2 à la terminale, propose aux enfants et aux adolescents de créer un support de type affiche ou vidéo, évoquant ce fait de société. A Diderot, cette action s’inscrit dans un projet éducatif qui se décline auprès de tous les niveaux de l’établissement.
Repérer, agir et aider

Accompagnés par un artiste bisontin, les 2 Scènes et leurs enseignants, les jeunes ont mené un véritable travail d’écriture, tant au niveau des textes, de la musique et des décors. L’objectif étant de sensibiliser les autres élèves, la communauté éducative et d’autres publics. Repérer, agir et aider, tel est le message que ces jeunes gens ont voulu décliner. Les réalisateurs ont voulu également souligner l’importance du rôle de l’ambassadeur contre le harcèlement, désigné dans les établissements scolaires. Un jeune référent qui peut également trouver un relais auprès de tous les adultes du collège.
Le reportage de la rédaction / Un jeune participant et Mr Grillot, le principal du collège Diderot
Dans le cadre de la semaine de la dénutrition, qui commence aujourd’hui, l’ensemble des professionnels de santé du Pays Horloger est mobilisé pour communiquer autour de cette thématique. Ces derniers informeront les patients sur des actions faciles à mettre en œuvre pour éviter cette situation : Bien s’alimenter et surveiller son poids Pratiquer une activité régulière et avoir une bonne hygiène dentaire, … . Des contacts seront également possibles avec des spécialistes.
Grâce au soutien de plusieurs souscripteurs, la Ville de Besançon a pu acquérir par voie de préemption une œuvre exceptionnelle de Simon Vouet, « Les anges portant la colonne de la Passion », qui vient enrichir les collections du musée des Beaux-Arts et d’Archéologie. L’établissement bisontin renforce ainsi son fonds d’œuvres de Simon Vouet, artiste majeur de la première moitié du 17è siècle, riche de trois peintures et vingt-quatre dessins, et réaffirme sa place parmi les grandes collections publiques en France.
Dans le cadre de la 9è journée de ProLigue. Le Grand Besançon Doubs Handball reçoit Valence ce vendredi soir. Le coup d’envoi du match sera donné à 20h15. Après cette courte pause d’une dizaine de jours, les handballeurs bisontins reviennent à la compétition. Avec sept points, les deux formations sont au coude à coude au classement. On constate néanmoins un léger avantage pour les visiteurs, qui occupent actuellement la 11è place.
Ce vendredi soir, le BesAC retrouve le gymnase des Montboucons. Dans le cadre d’une nouvelle journée de championnat en nationale 1 masculine, les basketteurs bisontins (12è) reçoivent Andrézieux. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h30. Besançon aimerait enchaîner une deuxième victoire consécutive, après s’être imposé en début de semaine à Pont-de-Cheruy ( 83 à 92).
La garde à vue de l’individu soupçonné d’avoir tué Thomas Mercier, ce jeune ingénieur de 30 ans, à son domicile rue de la Mouillère ce mardi, s’est terminée. Il a été interrogé ce jeudi par le magistrat instructeur. A ce stade de la procédure, le parquet a retenu la plus haute qualification pénale à son encontre : l’assassinat.
L’homme reconnaît les faits qui lui sont reprochés. Il a expliqué, sans émotion et avec froideur qu’il s’agissait du hasard. Il n’explique pas cette pulsion violente, mais évoque tout de même des raisons plus ou moins mystiques et confuses. Des expertises psychologiques et psychiatriques vont être menées. Il est actuelelment en détention. Etienne Manteaux, le procureur de la République de Besançon, a apporté ce soir quelques éléments concernant ce drame.
L'interview de la rédaction / Etienne Manteaux