Ce mercredi après-midi, vers 15h, les policiers bisontins ont interpellé un jeune homme de 21 ans après un refus d’obtempérer. A hauteur de la route de Gray, il refuse de répondre aux injonctions des motards et abandonne son véhicule. Il est rattrapé quelques mètres plus loin. Il a été placé en garde à vue pour sa fuite, mais également pour défaut de permis de conduire et d’assurance. Sa garde à vue est toujours en cours ce soir.
A Besançon, dans la nuit de mardi à mercredi, vers 2h, une femme de 44 ans a été prise en charge par une patrouille de police. Un homme s’est empressé d’appeler les forces de l’ordre lorsqu’il a constaté que cette dernière portait des coups de cric sur les vitres de sa voiture. Ivre, la quadragénaire a été interpellée et conduite sans incident au commissariat de police. Elle a été placée en garde à vue différée en raison son taux d’alcoolémie. Lors de la fouille, il est apparu qu’elle était en possession d’un morceau de résine de cannabis et d’un gramme de cocaïne. La victime, également alcoolisée, viendra déposer plainte au commissariat bisontin ce jeudi matin.
A l’approche du second tour de l’élection présidentielle, qui aura lieu dimanche, Jérôme Durain président de la majorité de gauche du conseil régional de Bourgogne Franche-Comté appelle « à faire barrage à l’extrême droite et à voter pour Emmanuel Macron ».
Il pointe du doigt « les méthodes brutales du parti, ses alliances avec des régimes autoritaires ainsi que sa xénophobie contraire aux valeurs de la République ». Il attend cependant que « Emmanuel Macron entende les insatisfactions d’une partie des français concernant le pouvoir d’achat, les retraites ou encore le changement climatique ».
A Besançon, le collectif Solmiré se mobilise pour la famille de Mariama, une enfant de 5 ans, et son petit frère de 2 ans. Selon les militants, « le risque d’une mutilation sexuelle est réelle ». Il est expliqué que « cet acte barbare est couramment pratiqué en Sierra Léone sur les fillettes et les adolescentes ».
Pour l’heure, l’autorité préfectorale reste muette, malgré les démarches entreprises, au souhait de la famille de déposer une demande d’asile pour Mariama. L’association bisontine exige également qu’une autorisation de séjourner en France soit prononcée « pendant le temps nécessaire à la procédure et qu’un accueil digne et respectueux leur soit proposé ». Une pétition signée par 350 personnes a également été transmise au préfet du Doubs.
L’info est relatée par nos confrères du journal « Le Progrès ». Le 13 avril dernier, les douaniers ont constaté la présence de 268 kilos de cannabis cachés dans des poivrons. La cargaison se trouvait dans un ensemble routier espagnol. Le conducteur, un ressortissant espagnol, âgé de 42 ans, comparaissait hier devant le tribunal correctionnel de Lons-le-Saunier. Son placement en détention a été maintenu en attendant son procès qui se tiendra le 23 mai prochain.
Sochaux n’est pas parvenu à conserver son avantage ce mardi soir face à Toulouse dans le cadre de la 34è journée de Ligue2. Les deux équipes se sont quittées sur le score de 1 but partout. Rassoul Ndiaye a ouvert la marque à la 6è minute de jeu, avant que Toulouse revienne au score à la 50è minute. Avec 61 points, les Lionceaux sont 5ès.
Les Journées du Bien-être, Santé, Sport, Alimentation et Détente qui se déroule du 28 au 30 avril à la Maison de Quartier Rosemont-St-Ferjeux vont accueillir de nombreux exposants et conférenciers intervenant sur le thème du bien être durant ces trois jours. Rencontre avec Claude Bernard, agriculteur depuis plusieurs générations à Grandfontaine.
Importance d'être sur place
De nombreux thèmes comme le bien-être, l'alimentation ou encore les sports vont être représentés lors du salon à travers différents stands comme celui de l'éleveur Claude Bernard où il va présenter sa profession et ses différents produits. « Il est essentiel d'être sur place quand on fait du commerce de proximité afin de mettre fin à certains à priori ».
Un élevage responsable
L'importance d'être présent lors de ce salon permet notamment de mettre en avant la qualité des produits locaux « à un prix raisonnable » et d'insister sur le fait que « la santé passe par l'assiette ». La question de l'environnement est également au cœur de l'événement. En effet abattant ses bêtes à Besançon, l'éleveur souhaite également sensibiliser sur les circuits courts tout en étant responsable de son bilan carbone et donc « donner des produits de façon simple ».
L'interview de la rédaction / Claude Bernard
Les huit Ce mardi 19 avril, Margaux Pizzo, responsable du Parc Zoologique de la Citadelle de Besançon a fait le point sur la situation des oiseaux qui se sont évadés du site il y a quelques jours.
Une histoire de tempête
Il y a une dizaine de jours maintenant que 8 oiseaux se sont échappés de leur volière du Parc Zoologique de Besançon. A l’origine, de fortes bourrasques ayant ouvert l’un des portillons où se trouvaient les oiseaux, qui en ont profité pour se donner rendez-vous dans le ciel franc-comtois. Et plus loin encore, l’un d’eux ayant été observé sur le territoire Suisse, à quelques centaines de kilomètres de la Citadelle. Parmi eux : six ibis rouge, une spatule rose et une sarcelle de Bernier, des espèces originaires d’Amérique latine et de Madagascar. Deux d’entre eux ont déjà pu être récupérés grâce à de nombreux témoignages.
L’espoir avant l’inquiétude
Pour résoudre le problème, l’équipe du site a décidé d’aménager une « volière dans la volière » dont les filets sont ouverts et dans laquelle sont disposée des sceaux remplis de nourriture. En plus de cela, la Citadelle a contacté plusieurs interlocuteurs comme la LPO, l’OFB ou encore la FDPZ. A ce jour, l’aubaine est que les six oiseaux encore en liberté appartiennent à des espèces grégaires ou capables de se nourrir par leurs propres moyens. Pas d’inquiétude jusqu’alors car les conditions climatiques sont favorables, mais le temps passe et si à l’automne les oiseaux ne sont toujours pas de retour, la sonnette d’alarme retentira.
L'interview de la rédaction / Margaux Pizzo, responsable du Parc Zoologique de la Citadelle de Besançon