La Ville de Maîche prépare son évènement « Octobre Rose ». Il se déroulera le mercredi 20 octobre, à 20h, sur la place Rasse. Une véritable ambiance festive attend les participants. Lors de ce rendez-vous sportif et solidaire, le public, vêtu de rose, cheminera en marchant ou en courant dans le quartier de la Batheuse où un parcours sera mis en place par les associations partenaires, qui tiendront également un stand d’information. Pour participer, rien de plus simple, il suffit de s’inscrire. Les samedis 9 et 16 octobre de 9h à 12h et le mercredi 13 octobre de 15h à 18h, un chalet sera installé sur l’esplanade de la mairie pour enregistrer les participations. Tarif unique à 5 euros.
Les salariés de l’entreprise Flowbird, premier employeur du secteur privé de Besançon, sont inquiets. Cette société, leader mondial de la mobilité urbaine, qui équipe d’horodateurs toutes les grandes villes du monde : Paris, New-York, Barcelone, Amsterdam, … , va être revendue à un fond d’investissement américain. Depuis 2003, les salariés vivent au rythme des reventes successives. En 18 ans, la valeur de l’entreprise a été multipliée par 10, laissant des dividendes de plus en plus importants aux dirigeants actionnaires. Dans ces conditions, un rassemblement est prévu le 12 octobre, à 11h30, devant la firme bisontine.
Une rixe a éclaté, entre deux jeunes, ce matin au lycée Pergaud à Besançon. Un élève a sorti un couteau et a donné un coup à son opposant au niveau de la cuisse. Les nouvelles du jeune blessé sont rassurantes. L’équipe éducative du lycée a géré la situation. L’équipe médicale et les sapeurs-pompiers se sont occupés de la victime. Quant à l’agresseur, il a été pris en charge par les services de police. Quelques élèves seulement ont assisté à la scène. Les cours se déroulent normalement ce vendredi après-midi.

Les chercheurs et autres intervenants rendent ces domaines, qui parfois peuvent paraître élitistes, accessibles au plus grand nombre. La biologie, la chimie, la physique, les mathématiques, les langues, les sciences humaines, … . Le spectre est large et chacun peut découvrir, toucher, pratiquer, sentir,…. . Jérémy Querenet, médiateur scientifique à l’université de Franche-Comté, explique que ‘l’important n’est pas de tout comprendre et de maîtriser », mais « d’ouvrir tous les esprits à ces domaines qui animent notre quotidien ». Mr Querenet reconnaît la capacité d’adaptation des intervenants, qui savent s’adresser à leur public, qu’il s’agisse d’enfants, d’adolescents, d’adultes néophytes ou disposant de connaissances.
L'interview de la rédaction
Pour tout savoir sur cet évènement : https://www.fetedelascience.fr/venez-faire-le-plein-de-science-besancon

Les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus à Longchaumois ce vendredi matin, vers 9h. Un abri de jardin a pris feu. Les flammes se sont propagées à un stock de bois, deux véhicules et un appentis. Trois lances ont été déployées pour éteindre ce sinistre. Treize sapeurs-pompiers et six véhicules se sont rendus sur place.
Comme chaque fin de semaine, le Rectorat de Besançon fait le point sur la situation sanitaire dans les établissements scolaires de l’académie de Besançon. A la date de ce jeudi après-midi, aucune structure scolaire n’est fermée et 19 classes bénéficient de la continuité pédagogique à distance. 68 élèves et 5 personnels sont cas confirmés à la Covid-19 en cumul sur les 7 derniers jours.
L’administration rappelle que depuis le 4 octobre, le protocole sanitaire de niveau 1 s'applique dans le département de la Haute-Saône. A partir du lundi 11 octobre, il sera déployé dans les départements du Doubs et du Territoire-de-Belfort. Ce qui signifie notamment que les enfants ne porteront plus le masque dans les écoles de ces deux territoires.
Le constat ne date pas d’aujourd’hui. Le coût de la vie est plus élevé dans le Haut-Doubs. Pas toujours facile de se loger sur ces territoires, où la proximité avec la Suisse et certains hauts revenus font exploser les prix, notamment ceux de l’immobilier. Cette situation, qui est devenue un véritable problème, inquiète notamment les élus locaux. C’est la raison pour laquelle, le conseil départemental du Doubs s’en est emparé.
Avec l’agence immobilière sociale Soliha, la collectivité développe un dispositif unique qui permet aux personnes qui ne parviennent pas à se loger sur la bande frontière de pouvoir trouver une solution. Concrètement, elle propose aux propriétaires bailleurs de conventionner leur logement, vacant ou non, sur une durée de 6 ans. Cette opération s’accompagne d’une aide financière intéressante pour les personnes qui mettent à disposition leur appartement, tout en sécurisant leur engagement. Cela passe ainsi par un abattement fiscal de 85% et d’une prime exceptionnelle de 6.000 euros, à raison de 1.000 euros par an pendant six ans. La garantie Visale est notamment possible. Elle sécurise les revenus locatifs en cas d’impayés des loyers. Une rencontre avec Soliha permet de bien définir le projet et les aides qui l’accompagneront.
Emmanuelle Gala explique que « la demande est bien plus importante que l’offre ». D’où son nouvel appel auprès des propriétaires. Une trentaine de communes, de Mouthe à Maîche, en passant par Valdahon, sont concernées.
Pour obtenir de plus amples informations, il est possible de contacter Emmanuelle Gala au 07.71.24.11.46 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
L'interview de la rédaction
Si Dame Météo ne vient pas trop perturber le bon déroulement du chantier, à la rentrée prochaine, en septembre 2022, les enfants du groupement pédagogique, associant les communes de Malbuisson et Montperreux, seront accueillis dans un nouvel espace. Face à la montée en puissance de la démographie dans sa commune, Claude Lietta, le Maire, a dû lancer la construction d’un nouveau bâtiment, à proximité de l’école existante et de la mairie.
Il est vrai que ce secteur du Haut-Doubs, malgré la cherté des terrains et des loyers, est très convoité. Actuellement, un lotissement est en cours de construction et 24 appartements sont rénovés. Ce qui indéniablement engendre des besoins supplémentaires en termes de services notamment. C’est la raison pour laquelle, cette nouvelle construction voit le jour. D’une superficie de 400 m2, répartie sur deux niveaux, le nouveau bâtiment se déclinera en deux salles de classe supplémentaires, un espace périscolaire et une cantine.
Pour Claude Lietta, ce projet prouve la vitalité de sa commune. Il y voit un dynamique certain. « La jeunesse, c’est l’avenir de nos territoires » explique-t-il. Néanmoins, l’édile préférerait mieux ‘lisser’ cette démographie en constante évolution. L’accueil de nouveaux habitants doit se conjuguer avec l’adaptation des infrastructures et des installations existantes. C’est le cas par exemple pour l’assainissement, mais d’autres domaines sont concernés.
L'interview de la rédaction