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Dans le cadre d’un appel national lancé par la CGT et la fédération des mines et de l’énergie, les agents d’Enedis mèneront une nouvelle action ce mardi, centrée sur les revendications salariales. Un piquet de grève accompagné d’un filtrage des accès est prévu dès 8h devant les agences de Miserey (près de Besançon) et de Lons-le-Saunier, dans le Jura.

Le projet urbain St-Jacques-Arsenal franchit une nouvelle étape avec la déconstruction du bâtiment Ledoux à partir du mardi 2 septembre. Édifié dans les années 1930 puis transformé dans les années 1960, l’immeuble ne bénéficie pas de protection patrimoniale. Une étude technique a conclu à l’impossibilité de sa réhabilitation.

L’opération, prévue sur sept semaines, s’inscrit dans une démarche de réemploi et de recyclage des matériaux. À terme, le projet St-Jacques-Arsenal représentera 7 hectares rénovés, comprenant 600 logements dont 200 étudiants, un pôle santé, un hôtel, des services publics et un grand jardin reliant bibliothèque et patrimoine historique.

Le FC Sochaux-Montbéliard enregistre les arrivées de Prince Mendy et de Julien Vetro. Le défenseur central sénégalais de 30 ans, passé notamment par Quevilly-Rouen, Laval et Nancy, s’engage pour une saison après un essai concluant. Il compte plus de 170 matchs en National et arrive libre du Fujairah SC (Émirats arabes unis).

 

FC SOCHAUX MONTBELIARD JULIEN VETRO

Julien Vetro / Photo : FC Sochaux Montbéliard 

De son côté, l’ailier droit de 21 ans Julien Vetro, formé aux Girondins de Bordeaux et passé par Burnley puis Dundee FC, rejoint le FCSM pour deux saisons. Joueur rapide et percutant, il apportera de la profondeur à l’attaque sochalienne.

Ce mardi, la Ligue Bourgogne Franche-Comté de football organise le tirage au sort du 3è tour de la Coupe de France de football, qui verra l’entrer en lice des clubs de national 3. L’évènement pourra être suivi sur la chaîne YouTube de l’organisateur  : www.youtube.com/@liguebfcf3253">https://www.youtube.com/@liguebfcf3253 .  Le rendez-vous est fixé à 12h15.

Le 29 août, vers 19h30, , les policiers municipaux bisontins sont intervenus au 1 Grande Rue, alertés par un commerçant,  signalant un individu perturbateur. Ce dernier, mécontent, a proféré des injures en langue arabe et lancé une chaise en direction du commerçant. Lors de son interpellation, il s’est opposé par la force aux agents.

L’individu, âgé de 25 ans, a été placé en garde à vue. L’exploitation des caméras a confirmé le jet de chaise sans dégâts. Il a ensuite tenté de frapper un agent avec sa ceinture, sans succès, avant d’être maîtrisé par un passant et menotté.

Lors des auditions, le mis en cause a reconnu avoir lancé la chaise, tout en niant les faits de violence et de rébellion. Sa situation administrative restait à clarifier. Il a été remis en liberté le 31 août, avec une convocation fixée au 5 mars prochain.

Le 30 août, vers 11h30, boulevard du président John Fitzgerald Kennedy à Besançon, le gérant de l’épicerie « A Casa » a surpris via les caméras de surveillance un individu en train de dérober des billets dans la caisse. L’auteur, âgé de 55 ans, a reconnu les faits et restitué la somme volée, soit 240 euros. Interpellé sans incident, il a expliqué avoir profité de l’absence de personnel pour agir. À l’issue de sa garde à vue, il a été convoqué dans le cadre d’une procédure de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) fixée au 5 mars.

Le 30 août dernier, vers 21h30, à Besançon, les forces de police sont intervenues rue de Bruxelles, alertées par un homme recherchant l’agresseur présumé de sa fille. Lors du contact, les agents ont découvert que l’individu portait une hache à lame de 15 cm, classée en catégorie D. Agé de 49 ans, il a été interpellé sans incident et placé en garde à vue. Cette dernière a été levée le 31 août, dans l’après-midi. Le mis en cause a été remis en liberté avec une convocation devant le délégué du procureur pour une ordonnance pénale prévue le 7 janvier.

Claudine Caulet, élue en charge de l’éducation, dresse un état des lieux de la rentrée 2025 pour le périscolaire et la restauration scolaire. Entre amélioration des inscriptions, hausse des effectifs et défis d’organisation, le service éducatif poursuit son adaptation.

Une campagne d’inscription simplifiée et efficace

La campagne d’inscription au périscolaire et à la restauration scolaire, qui s’est terminée mi-mai, s’est déroulée dans de bonnes conditions. « Nous avons simplifié le portail famille, qui avait posé problème il y a deux ans. Cette fois-ci, tout s’est très bien passé », explique Claudine Caulet. Les parents ont également pu recourir à un dossier papier classique, ce qui a facilité les démarches. Toutes les demandes déposées dans les délais ont été satisfaites. Les services ont ensuite traité les dossiers arrivés après la date limite. Au total, 5 300 enfants sont accueillis au restaurant scolaire cette année.

L'interview de la rédaction : Nathalie Albert Moretti 

Des refus, mais en nombre limité

Malgré ces efforts, une centaine de refus « secs » a été enregistrée pour le périscolaire du midi. Une partie est liée à des situations d’impayés : « Nous avions prévenu dès janvier-février les familles concernées qu’elles ne pourraient pas réinscrire leurs enfants si la situation n’était pas régularisée », précise l’élue.

Une organisation repensée pour accueillir plus d’enfants

L’organisation évolue progressivement afin de faire face à une demande croissante.

  • Les ATSEM (agents spécialisés des écoles maternelles) encadrent désormais les enfants de maternelle à la pause méridienne, venant ainsi renforcer les équipes d’animation.
  • La ville continue d’acheter des repas à l’extérieur et investit dans la rénovation des restaurants scolaires, comme ce fut le cas à l’école Viotte, permettant ainsi un meilleur roulement des enfants et augmentant les places disponibles.

Entre le début du mandat et aujourd’hui, 400 à 500 places supplémentaires ont été créées, et près de 800 par rapport à la fin du mandat précédent. Pourtant, la fréquentation continue de progresser : environ 70 % des enfants déjeunent désormais à la cantine.

Une rentrée sous le signe de l’émotion et de la vigilance

Pour Claudine Caulet, la rentrée reste un moment fort : « J’adore voir arriver les CP, avec leurs sourires parfois édentés, c’est toujours touchant. » Si quelques inquiétudes ont existé concernant la météo ou des risques d’inondations, la rentrée s’est globalement bien déroulée. L’élue conclut sur un ton optimiste, tout en reconnaissant les défis à venir : « La demande continue de croître, nous devons courir un peu derrière, mais nous allons y arriver. »