Le Musée du Temps à Besançon va provisoirement fermer ses portes le 8 novembre prochain Des travaux de mise en conformité avec la loi handicap vont être lancés. Sept mois sont nécessaires pour rendre l’accueil, la boutique et toutes les collections faciles d’accès. Durant cette période, une programmation spécifique autour des thématiques du musée du Temps sera proposée au musée des beaux-arts et d’archéologie. Au programme : visites guidées le dimanche, atelier jeune public et scolaire. Pour tout savoir sur cette organisation provisoire : www.mdt.besancon.fr
Parce que c’est avant tout un artiste, un homme de spectacle, Jean-Marie Bigard ne cache pas que la scène, « c’est toute sa vie ». C’est d’ailleurs, le titre de son dernier one man show qu’il joue à travers toute la France. Ses fans pourront l’applaudir le 2 novembre prochain au Grand Kursaal à Besançon. Depuis 40 ans, au rythme de 150 à 250 dates par an, Jean-Marie Bigard (63 ans) sillonne les routes de France, de spectacle en spectacle.
Baptisé « Il était une fois Bigard. Le spectacle de ma vie », cette dernière création est à voir et à ne surtout pas manquer. Avant d’entrevoir d’autres projets, Bigard convie les spectateurs à découvrir ou redécouvrir ses plus grands sketchs. Il y en a 20. Le lâcher de salope, la valise, les expressions, la chauve souris, …. . Ils sont tous là . Pour le plus grand plaisir de son public. D’ailleurs, c’est ce dernier qui a été consulté pour organiser leur passage. Un classement qui a parfois surpris l’artiste, mais ce dernier se prête bien volontiers au jeu et en respecte les règles.
Jean-Marie Bigard donne donc rendez-vous aux spectateurs bisontins le 2 novembre prochain. Des places sont encore disponibles. Pour tout savoir sur cet évènement et réserver votre billet : 100 nouvelles places pour JM Bigard complet à Besançon le 2 Novembre 2021 - Splatsh ou https://www.weezevent.com/il-etait-une-fois-jean-marie-bigard-a-besancon
L'interview de l'artiste
On notera la belle victoire hier soir du BesAC face à Kayserberg dans le cadre de la 7è journée de championnat en nationale 1 masculine. Au gymnase des Montboucons, le groupe de Nicolas Faure s’est imposé sur le score de 95 à 63.
Adrien Taquet, secrétaire d’état chargé de l’enfance et des familles sera à Besançon ce mercredi après-midi pour contractualiser avec le département sur la stratégie nationale de prévention et de protection de l’enfance. Le département recevra 2,8 millions d’euros sur deux ans pour la mise en place de projets concrets de prévention et de protection de l’enfance.
L’objectif est d’améliorer l’accompagnement des parents par les PMI, favoriser l’inclusion des enfants en situation de handicap et améliorer la prise en charge des enfants de l’Aide Sociale à l’Enfance.
La femme de 38 ans qui avait tenté de faire passer des produits sans les payer à la caisse d’un supermarché de l’agglomération pontissalienne en début de semaine, a été confondue dans une autre affaire. La semaine dernière, avec le même modus operandi, elle s’est fait remarquer au magasin Colruyt. Elle a été entendue par les policiers. Elle a reconnu les faits. Ces deux affaires seront classées lorsqu’elle aura régularisé sa situation.
A Morez, un collectif a vu le jour au début du mois d’octobre. Baptisé « Moréziens en colère », il s’inquiète de la situation de la ville. Les désaccords avec la municipalité en place portent sur le nouvel emplacement du marché, le développement économique de la cité jurassienne, sa propreté et l’insécurité notamment. Il est également demandé à l’équipe du Maire Laurent Petit de changer sa politique et de mieux prioriser les projets à venir. S’ils ne sont pas contre l’implantation d’une voie verte et d’une voie douce et la construction d’un hôtel de luxe, les opposants aimeraient également que la ville s’interroge sur le déclin du marché ou encore la fermeture annoncée de plusieurs commerces. Le premier de la liste est le « leaderprice ». D’autres pourraient subir le même sort, comme les enseignes Liddle et Bricomarché.
Actuellement, « Moréziens en colère » compte 250 membres. En 15 jours, le nombre de personnes qui ont rejoint le collectif a subitement augmenté. Ce qui prouve les réelles inquiétudes qui se manifestent. En parallèle, une pétition circule pour dénoncer le déplacement du marché. « En une semaine, elle a rassemblé 712 signatures » selon leurs auteurs.
L'interview de la rédaction / M. Malfroy
La semaine prochaine, durant quatre matinées, du mardi 2 au vendredi 5 novembre, Coopilote, qui accompagne les personnes désireuses de créer leur entreprise, organise une semaine de formation sur le thème de l’entrepreneuriat au féminin. L’objectif est de dispenser des outils pour permettre aux femmes de réussir leur projet professionnel. Parmi les thématiques abordés : le projet personnel, le marketing, la stratégie commerciale, le prévisionnel financier, la trésorerie et le réseau. En parallèle, un atelier de développement personnel sera proposé. Il s’intitule « comment dépasser ses croyances limitantes ».
Selon les derniers chiffres en la matière, 30% des chefs d’entreprise sont des femmes. Ce chiffre progresse, mais il reste encore insuffisant. Les raisons sont multiples. Il convient encore de faire reculer les freins qui peuvent empêcher de franchir certains obstacles et de se lancer dans l’aventure. Cela passe notamment par combattre certains clichés et de trouver la bonne organisation personnelle permettant un juste équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle. Car c’est surtout ce que recherchent ces femmes entrepreneures : pouvoir concilier une vie personnelle et une vie professionnelle épanouissantes.
Pour obtenir de plus amples informations : https://www.coopilote.com/
L'interview de la rédaction : Catherine Humbert, chargée d'accompagnement des entrepreneurs chez Coopilote
A compter de ce mercredi 27 octobre et jusqu’au 9 novembre, les chefs d’entreprise de Haute-Saône et du Doubs sont invités à voter pour leurs représentants aux assemblées territoriale et régionale des Chambres de Commerce et d’Industrie. En Franche-Comté, suite à une décision de leurs représentants, les CCI du Doubs et de Haute-Saône n’en formeront plus qu’une. Ils sont donc 30.992 chefs d’entreprise à être concernés dans ces deux territoires par ce scrutin uninominal. Ils représentent trois secteurs d’activité : l’industrie, le commerce et les entreprises de service. Les participants votent pour une liste, composée de 60 candidats, formant un binôme. Bien entendu, la parité et un équilibre entre les territoires a été respecté dans leur composition.
Le vote concernant ces deux scrutins s’effectue en distanciel, via une plateforme dédiée à cet effet. Comme l’explique Emmanuel Mangin, en charge des élections au sein de la CCI Saône-Doubs, ce scrutin est important car il permet de désigner celles et ceux qui se feront « les portes voix » des chefs d’entreprise auprès de l’état. Rappelons que les CCI portent de nombreuses missions, dans des domaines très variés : la formation, l’aide à la création d’entreprise, le soutien aux entreprises, la transition écologique, … . La durée du mandat est de 5 ans. Pendant cette crise sanitaire, la chambre consulaire a montré toute son efficacité et son importance en jouant un rôle déterminant en termes de force de proposition et de concertation notamment.
Pour voter : www.jevote.cci.fr
Interview de la rédaction : Emmanuel Magnin, responsable des élections à la CCI Saône/Doubs