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Michel Barnier, le Premier ministre, veut taxer « les plus fortunés Â»- ce qui représente 65.000 foyers fiscaux -  et les 300 plus grosses entreprises françaises. L’objectif est de trouver 20 milliards d’euros sur les 60 milliards nécessaires pour combler le déficit. Michel Barnier a précisé que cette hausse ne serait que « temporaire Â».

Par ailleurs, le gouvernement envisage de réduire le taux de remboursement de la Sécurité sociale pour les consultations médicales. Les assurances et mutuelles devraient couvrir la différence. En 2024, le déficit de la sécurité sociale devrait dépasser 17 milliards d’euros.  

Dans un communiqué de presse, Laurent Croizier, député Modem du Doubs, représentant l’opposition municipale à Besançon, réagit à l’installation de sept caméras de vidéoprotection dans la cité comtoise. Il regrette qu’Anne Vignot, la maire écologiste,  n’ait pas « entendu plus tôt les demandes de l’opposition municipale et celles de la police nationale et de la justice Â».

Il invite la municipalité à changer "de braquet en matière de politique de sécurité : poursuivre l’installation de nouvelles caméras, recruter les 18 policiers municipaux manquants depuis 2020, armer la police municipale et créer une brigade de soirée au sein de la police municipale Â».

Après huit années de réflexion et de discussion, le projet de la future cité des horlogers va pouvoir être lancé. Le début des travaux est prévu pour le printemps 2025. D’un montant de 7 millions d’euros, l’initiative vient d’obtenir une aide non négligeable de 500.000 euros, émanant du loto du patrimoine de la mission Stéphane Bern. Concrètement, le Château Pertusier, où les travaux seront menés, fait partie des 18 sites emblématiques qui ont été reconnus, cette année, par la fondation du patrimoine. Lui donnant ainsi le droit de concourir à cette action lucrative.

L'interview de la rédaction : Cédric Bole, Maire de Morteau

Quel projet ?

La cité des horlogers est un ambitieux projet, qui se déclinera en plusieurs étapes. La fin du chantier est prévue pour l’année 2027. Les travaux seront menés sur le site historique et classée du Château Pertusier, construit au XVIè siècle par la famille Cuche. Il est prévu un temps de restauration du patrimoine ancien, datant de la Renaissance, une extension de l’établissement existant et la constitution d’une partie muséale, avec une incroyable scénographie, qui rappellera toute l’histoire horlogère de ce territoire, des paysans horlogers à l’industrie horlogère.

L'interview de la rédaction : Cédric Bole, Maire de Morteau

Un lieu unique

La Cité des Horlogers mettra en lumière  cette passionnante histoire et mutation d’une activité forte, liée plus que jamais au patrimoine local de tout un territoire et d’une région. Ainsi, ce nouveau site, unique, regroupera l’ensemble des collections du musée de l’horlogerie de Morteau, de la montre à Villers-le-Lac et de l’outillage des Gras. Les élus mortuaciens, du territoire et leurs partenaires veulent également en faire un lieu tourné vers l’avenir et l’économie. C’est la raison pour laquelle, les professionnels, les organismes et le lycée Edgar Faure sont associés. Outre la partie historique, des ateliers et autres lieux de formation et colloque viendront compléter l’offre proposée.

L'interview de la rédaction : Cédric Bole, Maire de Morteau

Marc Ferracci, ministre délégué chargé de l’industrie, se rendra sur le site historique de Stellantis à Sochaux, dans le Doubs, ce jeudi. Un accueil républicain lui sera réservé et il sera accueilli par Carlos Tavares, le directeur général de Stellantis. Également au programme : la nouvelle ligne de production des nouvelles Peugeot E3008 et E5008 « made in France » et la visite de l’usine Forvia, sous-traitant de Stellantis.

Dans un communiqué de presse, Laurent Croizier, le député Modem du Doubs, réagit à la Déclaration de politique générale de Michel Barnier, effectuée mardi à l’Assemblée nationale. Selon lui, « le Premier ministre à la hauteur sur le ton et sur le fond Â». Tout en expliquant que le chef du gouvernement « a déroulé une feuille de route en phase avec les attentes des Français Â». « Il est temps de dépasser les divisions et les querelles, les Français nous regardent Â» termine le parlementaire.

Ce mardi, lors de son discours de politique générale à l’Assemblée Nationale, dans une ambiance particulièrement bruyante, Michel Barnier, le Premier ministre, a prôné « la réduction des dettes budgétaire et écologique Â».  Le Premier ministre s’est dit ouvert à des « aménagements de la réforme des retraites. Sur le plan budgétaire, le Chef du Gouvernement a proposé « trois remèdes Â» : « la baisse des dépenses publiques, l'efficacité de la dépense publique et la hausse de la fiscalité sur les plus riches Â».

Le racisme, l’antisémitisme, les violences faites aux femmes et les discriminations font partie « des lignes rouges Â» qu’il a fixées. Dans le même temps, sans aucune surprise, le Nouveau Front Populaire a confirmé son intention de déposer une motion de censure contre son gouvernement.

Nommé début septembre par Emmanuel Macron, Michel Barnier, le Premier ministre, prononcera ce  mardi 1er octobre, à 15 heures,  Ã  l'Assemblée nationale,  sa déclaration de politique générale. Il se présente devant les Députés sans aucune majorité absolue au sein de l’Hémicycle. Une menace de censure par les oppositions est bien réelle. Michel Barnier ne sollicitera pas le vote de confiance des députés.

Ce matin, une centaine d’agents de la protection de l’enfance se sont rassemblés devant le Conseil Départemental du Doubs afin d'exprimer leur soutien à leur collègue poignardé dans l'exercice de ses fonctions le 4 septembre au Centre Médico-Social de Valdahon. Selon le collectif, « les conditions de travail ne garantissent plus la sécurité physique et psychique des agents Â».

Christine Bouquin, leur patronne, présidente du Conseil Départemental du Doubs, lors de l’assemblée plénière du jour, a fait savoir qu’il était du devoir de la collectivité « d’apporter les conditions matérielles et morales aux agents Â». Selon l’élue, les premières mesures ont été mises en Å“uvre « sans délai Â».

L’agresseur présumé comparaîtra devant la justice en novembre prochain. Quant à la victime, elle suit sa convalescence. Elle sera reçue, par son employeur, afin que les conditions de son retour répondent « Ã  ses souhaits Â».  

Christine Bouquin

Les élus du Conseil Départemental du Doubs se sont penchés ce lundi sur l’avenir de la station de Métabief. L’assemblée  est tombée d’accord sur le fait que le Conseil départemental du Doubs, le principal financeur de la station de Métabief, n’a plus les moyens d’apporter un soutien financier aussi important à la structure. Un déficit de 2,5 millions d’euros est apparu. Il pourrait s’élever à l’avenir à plus de 3 millions d’euros. Les élus évoquent « une décision difficile à prendre Â», mais que la réalité économique et le changement climatique ont renforcé. La fermeture de Piquemiette a donc été actée.

Christine Bouquin / présidente du Conseil départemental du Doubs

La collectivité locale veut redonner « un avenir Â» à Métabief et faire entrer la station « dans une autre dimension ». Les élus appellent « Ã  un changement de modèle économique pour la gestion de la station du Haut-Doubs Â». Les collectivités locales, dont la Région et le Grand Pontarlier devraient être invités et interrogés sur le sujet. Il a été rappelé les questionnements et les inquiétudes des salariés du Syndicat Mixte du Syndicat Mixte du Mont d’Or, qui s’interrogent quant à leur avenir. Philippe Alpy, Vice-président du Conseil Départemental du Doubs, président du Syndicat Mixte du Mont d’Or, a rappelé que les élus n’ont jamais botté en touche et s’intéressent, depuis 2015, à cette problématique et l’avenir de Métabief.

Ce lundi, à 18h30, une conférence-débat sur le thème « Comment lutter contre le trafic des stupéfiants ?  Â» se déroulera à Besançon, au Petit Kursaal. Elle sera animée par Patrick Ayache, maire de Pirey, avec Jérôme Durain, sénateur de la Saône-et-Loire et Président de la commission d’enquête sur l’impact du narcotrafic en France et Anne Vignot, Maire de Besançon.