Choix du secteur :
Se connecter :
 

Deux interventions notoires des sapeurs-pompiers du Jura sont à noter cet après-midi. Vers 15h, les secours sont tout d’abord intervenus à Bourg de Sirod, au lieu-dit « rocher des graviers Â»  pour un accident de randonnée. Une heure plus tard, les soldats du feu ont été appelés pour un feu dans un bâtiment annexe d’une boucherie en zone industrielle à Poligny. Deux lances ont été établies par les secours.

Ce samedi 21 août et le 25 septembre, le Musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon et Alexandre Cailler, guide conférencier,  proposeront une balade à vélo sur les traces d’Henri Fertet et du groupe Guy Moquet. Au départ de Besançon et de l’église de Velotte, quartier dans lequel le jeune résistant vivait et était scolarisé,  le parcours rejoindra Avanne-Aveney, après un trajet d’une douzaine de kilomètres.

A travers cette initiative, Vincent Briand, attaché de conservation au Musée de la Résistance et de la Déportation, et Alexandre Cailler ont envie de « faire découvrir autrement l’une des pages de notre histoire et de faire cette sensibilisation ailleurs que dans les murs de la citadelle Â». Il faut bien avouer que la fermeture du musée bisontin, en raison des travaux de réhabilitation en cours, ont précipité les choses. De plus, Alexandre Cailler montre, chaque année dans le Haut-Doubs, tout son savoir en la matière. Effectivement, le jeune homme propose une initiative identique dans le secteur du Mont Châteleu, en évoquant un autre résistant, Michel Hollard.

S’adresser aussi à un autre public

Cette balade thématique se déroulera à vélo. Un choix qui permet d’une part de s’adresser à un autre public, mais également de plonger pleinement les participants dans cette période de notre histoire contemporaine, ou le vélo était le moyen de déplacement les plus utilisé. « On pourra ainsi mieux s’immerger dans le contexte de l’époque et apprécier les distances, les obstacles et l’ambiance Â» ajoute le guide conférencier. Une première initiative pour le Musée bisontin, qui entend bien poursuivre dans cette même dynamique à l’occasion d’autres évènements.

L'interview de la rédaction / Vincent Briand et Alexandre Cailler

Infos pratiques : Tarif : 7 euros par personne. Durée : 2 heures environ. Réservation en ligne : https://bit.ly/parcoursHenriFertet

Cette nuit, huit sapeurs-pompiers volontaires et huit professionnels du Doubs ont quitté le département pour renforcer le dispositif de lutte contre les feux de forêt dans le sud de la France. Ils sont issus de neuf centres de secours différents : Morteau, Pontarlier, Pont-de-Roide, Emagny, Amancey, Hérimoncourt, Montbéliard ; Besançon-Est et Besançon-Centre.

Trois camions feux de forêt et un véhicule logistique du Doubs sont engagés. Au total, ce sont près de 70 sapeurs-pompiers et une vingtaine de véhicules des départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin, de la Moselle, de la Haute-Marne et du Doubs qui ont été engagés par l’Etat. Les lieux de l’intervention dans le Sud de la France et la durée de l’engagement étaient inconnus ce matin.

Cette année, la Ronde l’Espoir fête ses 30 ans d’âge. Rappelons que cet évènement sportif et de solidarité, qui se déroulera les 3, 4 et 5 septembre prochains, a pour ambition de collecter des fonds pour aider des familles, touchées par la maladie, et apporter une contribution pour faire avancer la recherche.

Un itinéraire de 135 kms est prévu le 3 septembre entre Besançon et Belleherbe. Lors de la 2è journée, le parcours de 116 kms conduira les coureurs de Belleherbe à Montbenoît. Enfin dimanche, le peloton ira de Montgesoye à Pontarlier, en passant par Longeville, Amancey, Levier, Frasne, Malbuisson et Pontarlier.

Pour cette nouvelle édition, 85 communes seront traversées. 30 arrêts sont programmés pour délivrer un message et rencontrer élus et population. Cette année, le cycliste franc-comtois Théo Delacroix (22 ans) est le parrain de l’évènement.

Un policier bisontin a été agressé le 15 août dernier, vers 2h du matin, rue de Dole, à Besançon. Le fonctionnaire intervenait dans le cadre d’un accident entre deux véhicules. L’un des protagonistes alcoolisés a poussé violemment à plusieurs reprises l’agent.

Il lui a saisi le bras, occasionnant des griffures saignantes. Le sexagénaire a été maîtrisé. Il possédait un couteau. Il a également proféré des menaces de mort à l’encontre de la patrouille. Le taux d’alcoolémie enregistré était de 0,76 gramme d’alcool dans le sang. Sa garde à vue a été prolongée.

Un individu devra s’expliquer le 2 décembre prochain devant la justice. Il devra répondre des faits de conduite sous l’effet de l’alcool, sans permis de conduire et sans assurance. Ce dernier conduisait avec un taux de 0,7 gramme d’alcool dans le sang et son permis avait été annulé par la justice. Les faits se sont déroulés dans la nuit de dimanche à lundi, rue de Vesoul, à Besançon.

Dans le contexte sanitaire que nous connaissons, et la fragilité financière dans laquelle se trouvent les étudiants, le syndicat La Fage a communiqué ce lundi son baromètre du coût de la rentrée. Il en ressort qu’en moyenne les jeunes devront dépenser plus de 2.390 euros pour débuter leur année universitaire. Cette nouvelle augmentation s’explique une nouvelle fois encore par la hausse des prix relatifs au loyer, mais d’autres facteurs entrent en ligne de compte, comme les transports, le matériel pédagogique, comme l’achat d’un équipement informatique,  le téléphone et internet. Des impondérables auxquels s’ajoutent l’achat de masques de protection. Le tout sans revalorisation des bourses. Ca fait beaucoup.

La fin du repas à un euro

Il est vrai que l’information est passée quasiment inaperçue cet été.  Le gouvernement a suspendu le ticket à 1 euro dans les restaurants universitaires. A la CGT, on dénonce ce contexte. « Nous sommes très inquiets car  il n’y pas de décisions prises pour améliorer la situation Â» explique Wiam Bama, secrétaire CGT salarié étudiant dans le Doubs. Pour l’heure, le syndicat s’interroge également sur la forme que prendra la future rentrée universitaire. Cours en présentiel ou en distanciel ? En fonction de la situation sanitaire du pays, des décisions seront prises. « Certains doyens ont pris la parole. Ils ont annoncé une rentrée en présentiel, mais en fonction des annonces gouvernementales d’autres décisions pourraient être prises, comme une alternance entre les deux modes d’enseignement Â» conclut Wiam Bama, qui craint de nouvelles difficultés. Le syndicat reste vigilant. D’autant plus qu’il constate une banalisation des  cours en visioconférence dans certaines filières.

L'interview de la rédaction : Wiam Bama, secrétaire CGT salarié étudiant dans le Doubs.

 

Cet après-midi, vers 16h, deux véhicules se sont percutés à Poligny, route de Dole. Quatre enfants ont été blessés. Ils ont été pris en charge par les secours.