Choix du secteur :
Se connecter :
 

La gendarmerie du Doubs lance un avis de recherche, après la disparition inquiétante d’un homme de 44 ans domicilié à Marchaux. Le quadragénaire a quitté son domicile ce mercredi, dans la matinée, à pied.  Il souffrirait de dépression.

Il s’agit d’un homme de type caucasien, 1,85m, 90kg, cheveux courts brun, qui serait vêtu de baskets bleues foncées, d’un jean bleu et d’une veste de ville marron. Des recherches ont été entreprises et se poursuivent actuellement mobilisant drone, hélicoptère, équipe cynophile, ...

Toute personne disposant de renseignements sur l'intéressé peut contacter la gendarmerie de Roulans / Marchaux au 03 81 55 51 80 ou composer le 17.

Ce samedi et ce dimanche, la SPA de Pontarlier organise ses portes ouvertes. Un évènement qui va se dérouler dans un contexte bien particulier, avec une recrudescence importante des abandons d’animaux, et notamment des chats.

Florian Ferraroli, le président du site du Haut-Doubs, reconnaît que l’an dernier, avec les deux épisodes de confinement du printemps et de l’automne, les abandons avaient diminué. Depuis le début de l’année, et notamment cet été, la structure pontissalienne est confrontée à de nouvelles déconvenues. On fait de plus en plus appel à ses services. Elle accueille de plus en plus d’animaux, et notamment des chatons. Des animaux laissés à l’abandon, qui ne vivent pas bien, et qui, en plus, échappent à tout contrôle au niveau de la reproduction. Ces derniers n’étant pas stérilisés.  

Un problème de place

M. Ferraroli se fait du souci pour l’avenir. Le nombre de ses petits pensionnaires est en constante évolution et nos amis à quatre pattes sont de plus en plus à l’étroit.  Une situation qui s’est encore aggravée ces derniers jours avec la prise en charge de chiens abandonnés en provenance des pays de l’est. Dans le cadre d’un partenariat associatif,  la SPA de Pontarlier a enregistré  une trentaine de chiens abandonnés, voués à une mort certaine,  en provenance de Serbie, de Russie et de Roumanie.

Porte ouverte ce week-end

Ce samedi et ce dimanche, le public pourra pousser les portes du refuge pontissalien. Il est attendu de 14h à 18h durant ces deux jours. Les responsables de la structure seront présents pour notamment renseigner les visiteurs dans le domaine de l’adoption. Un temps précieux d’échanges et de discussion pour éviter aux animaux d’avoir à revivre de nouvelles séquences douloureuses.fLORIAN

L'interview de la rédaction / Florian Ferraroli

La commission de discipline de la Ligue de Football Professionnel a tranché. Suite aux violences et débordements survenus lors de la rencontre de Ligue 2, opposant Ajaccio au FC Sochaux Montbéliard, il a été décidé de sanctionner de quatre matches de suspension le Sochalien Christophe Diedhiou. Trois rencontres ont été déjà été purgées lors des 8è, 9è et 10è journées de Ligue 2. Quant au club corse, il a été condamné à une amende de 50.000 euros avec sursis.

L’info est tombée ce mercredi soir. Le Grand Besançon fait savoir qu’il souhaite acquérir 5 à 8 rames supplémentaires de tramway d’une capacité de 220 à 230 passagers chacune. Ces rames seront déployées sur les lignes T1 et T2. Elles permettront, en heure de pointe, de porter la fréquence à 5 minutes sur le tronc commun des deux lignes.  La consultation sera lancée début 2022. Le choix du constructeur sera fait en février 2023, avec l’attribution du marché. Cette offre de transport sera proposée aux Grand Bisontins dès l’arrivée des premières rames, en 2025.

Cet achat devrait s’effectuer dans le cadre d’un groupement de commandes avec les villes de Brest et de Toulouse. La décision a été entérinée ce mercredi lors des Rencontres Nationales du Transport Public qui se tiennent à Toulouse.

A l’occasion d’Octobre Rose, l’opération de sensibilisation au dépistage du cancer du sein, qui débute ce vendredi 1er octobre, le FC Sochaux Montbéliard indique qu’il portera un maillot spécial pour son match contre les Chamois Niortais. L’équipement sera ensuite mis en vente aux enchères au profit de la Ligue contre le Cancer. Par ailleurs, un coup d’envoi fictif et une prise de parole d’un médecin sont prévus afin de sensibiliser le grand public à cette opération.

On a appris ce mercredi soir que l’homme qui avait tenu des propos obscènes au téléphone à son ex-concubine a été incarcéré à la maison d’arrêt de Besançon. Il avait fait l’objet d’un mandat d’amener. Au cours de son audition, l’individu a reconnu les faits.

Il a expliqué « Ãªtre impulsif et avoir beaucoup de mal à contrôler ses émotions Â». Précisons également que ce dernier avait déjà fait l’objet de poursuites pour des faits similaires. Sa peine à un mois de prison avec sursis a été révoquée.

Demain, à Besançon, se déroulera le conseil municipal de rentrée. En ce mois de septembre, il retrouve son lieu originel, à savoir l’hôtel de ville. Les débats porteront notamment sur le nouveau projet des Vaîtes, pour lequel, l’assemblée municipale devra se positionner. Anne Vignot en profitera également pour dresser le bilan des dernières activités estivales et de la rentrée des classes. Elle déclinera également certains enjeux à venir. L’insécurité routière en fait partie.

Implantation de radars carrefour

Les autorités et la Ville de Besançon ont constaté une nette augmentation des comportements dangereux au volant ces derniers mois. C’est la raison pour laquelle Anne Vignot travaille actuellement avec le Préfet, le Procureur de la République et la police nationale sur la mise en place d’actions répressives pour sanctionner ces comportements inconcevables, qui ont coûté la vie à une automobiliste il y a une dizaine de jours. Ainsi, la ville vient de formuler au ministère de l’intérieur une demande pour acquérir cinq radars carrefour qui pourraient être déployés sur quinze sites référencés. La vitesse, associée à une consommation d’alcool et de stupéfiants, sont clairement dénoncées. Par ailleurs, la Ville de Besançon forme actuellement une dizaine de policiers municipaux à l’usage d’une caméra spécifique,  qui permet  de repérer et d’intercepter les chauffards. En parallèle, elle va déployer dans la cité une campagne d’affichage « la Ville n’est pas un circuit Â».

Le périscolaire du midi

La situation est encore très tendue pour l’accueil des enfants durant la pause méridienne. Près de 500 petits bisontins se retrouvent sans prise en charge. Et ce, malgré les places créées par la Ville à la rentrée. Ce calcul s’explique par les 187 enfants, qui n’avaient toujours pas de place début septembre, auxquels s’ajoutent les 114 places laissées vacantes par des familles pour des impayés et l’arrivée de nouveaux enfants sur le territoire bisontin. Cette situation, déplorée par la Ville, s’explique notamment par un manque d’animateurs. Une trentaine manque à l’appel. Ce qui oblige la cité à réduire son offre. D’où ce nouvel appel au recrutement.

Les chiffres de l’été

Anne Vignot ne cache pas sa satisfaction d’avoir pu, malgré le contexte sanitaire incertain, maintenir les animations estivales proposées. A Besançon, nous avons « l’esprit de résistance Â» déclare-t-elle. L’édile bisontine et ses équipes ont cependant constaté encore une frilosité des locaux à participer aux animations prévues à l’intérieur. Néanmoins, les chiffres sont éloquents et montrent sans aucun doute l’envie de sortir et  renouer avec les grands évènements.  Ainsi, la cité comtoise a recensé 11.000 visiteurs à Vital’été. Près de 93.000 personnes ont été comptabilisées, entre juin et fin août à la Citadelle. Soit une augmentation de 10% par rapport à la même période en 2019. Sur les mois de juillet et août, le musée des Beaux-Arts et d’Archéologie a vu sa fréquentation progressée de 5%, pour atteindre 13.500 visiteurs. En revanche, le public a baissé au musée du Temps. La Maire de Besançon s’est également félicitée du millier de jeunes qui ont participé au Festival « Ici, c’est Besac Â», qui aura sans doute une prochaine édition. On notera également les 25.000 curieux qui ont franchi les portes de « Livres dans la Boucle Â». Ils étaient 30.000 en 2019. 7.000 visiteurs se sont rendus le week-end dernier à l’act 3 de Grandes Heures Nature et Tout Besançon Bouge.

L'interview de la rédaction : Claudine Caulet, adjointe aux écoles et à l'éducation

A compter de demain, les adolescents âgés de 12 ans et deux mois,  devront être en mesure de présenter un passe sanitaire. La rédaction a rencontré quelques jeunes bisontins pour leur demander ce qu’ils pensaient de cette nouvelle mesure.

Dans l’ensemble, ces jeunes gens font mauvaise fortune bon cÅ“ur. Majoritairement, ils ne cachent pas que c’est par obligation qu’ils se sont fait vacciner. L’intérêt étant de décrocher le fameux sésame. Certains expriment clairement certaines réticences et inquiétudes sur l’efficacité du vaccin et son impact sur la santé. D’autres regrettent cette mesure, « qui va à l’encontre des libertés Â».

Une chose est certaine, à compter de ce jeudi 30 septembre, pour pouvoir boire un verre en terrasse ou voir le dernier film au cinéma, les ados devront être en mesure de présenter leur passe sanitaire. Sans quoi, il faudra rester devant la porte de l’enseigne. Paroles de jeunes au micro de la rédaction.

L'interview de la rédaction /  Le reportage de la rédaction

Publié dans Actualités