On connaît les affiches du 6e tour de la Coupe de France de football. Les rencontres se disputeront les 28 et 29 octobre prochains. Dix clubs francs-comtois sont encore qualifiés dans cette compétition.
CA Pontarlier (N3) – Morteau Montlebon (R1)
Grandvillars (R1) – FC Sochaux Montbéliard (N1)
Selongey (N3) – Jura Sud (N2)
Vesoul (N3) – Louhans Cuiseaux (N3)
Coteaux de Seille (R3) – Cosne (N3)
Bavilliers (R2) – Dijon ASPTT (N3)
Chalon (R1) – Jura Dolois (N3)
Depuis lundi dernier, une trentaine de personnes, dont des professeurs, du lycée Jules Haag, site Marceau, à Besançon, exercent leur droit de retrait. Ils se sentent « en danger grave et imminent ». En cause ? les accès non sécurisés de l’établissement scolaire, l’obsolescence des systèmes de sécurité et la dotation en moyens humains, qui empêche de sécuriser pleinement l’endroit, fréquenté par différents publics.
Hier soir, après une forte médiatisation de cette affaire, l’intersyndicale apprenait qu’une audience leur avait finalement été accordée ce vendredi 20 octobre au rectorat de Besançon, en présence du directeur de l’inspection académique du Doubs , du proviseur du lycée, de la conseillère prévention académique et du conseiller technique sécurité. L’intersyndicale maintient son assemblée générale ce jeudi 19 octobre à 10h.
Les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus hier soir, vers 18h45, pour un grave accident de la route à Menétru-le-Vignoble. Une voiture a terminé sa course contre un arbre. On déplore un blessé grave, dont le pronostic vital était engagé hier soir.
Depuis lundi dernier, une trentaine de personnes, dont des professeurs, du lycée Jules Haag, site Marceau, à Besançon, exercent leur droit de retrait. Ils se sentent « en danger grave et imminent ». En cause ? les accès non sécurisés de l’établissement scolaire, l’obsolescence des systèmes de sécurité et la dotation en moyens humains, qui empêche de sécuriser pleinement l’endroit, fréquenté par différents publics.
Ce mercredi soir, le rectorat de Besançon n’a toujours pas répondu aux inquiétudes et peurs des personnels de cet établissement scolaire. C’est la raison pour laquelle, les salariés du lycée Jules Haag se réuniront ce jeudi matin pour évoquer la suite de leur mouvement.
Dans un souci de répondre aux besoins des habitants de son territoire, la commune de Bonnétage, près du Russey, dans le Haut-Doubs, s’est doté d’un bâtiment entièrement dédié à la petite enfance et à l’enfance. Il est composé d’une maison d’assistantes maternelles, qui accueille les enfants de 0 à 4 ans. Quatre assistantes maternelles travaillent en son sein. Ce qui permet d’accueillir 16 enfants. En parallèle, une autre partie du pôle, entièrement sorti de terre, est réservé à l’accueil périscolaire. Il permet de recevoir les enfants du RPI, scolarisés à l’école de Bonnétage, résidant dans cette commune, et en provenance également des villages des Fontenelles et de Saint-Julien.
Un projet de 1,2 millions d’euros
Le coût de cette belle initiative s’élève à 1,2 million d’euros. La commune a obtenu des aides à hauteur de 66%. Valérie Pagnot, la maire de Bonnétage, également conseillère régionale, explique que « la question de la petite enfance est très prégnante en milieu rural ». « Nous sommes beaucoup interrogés sur les modes de garde, avec notamment une large amplitude horaire pour les frontaliers et les personnes exerçant dans le commerce » ajoute l’élue. Et de poursuivre : « Il faut pouvoir avoir les structures nécessaires. Par ailleurs, les assistantes maternelles se font de plus en plus rares. Il convient donc de trouver d’autres solutions ».
La structure fonctionne depuis le début d’année. En janvier dernier, la maison d’assistantes maternelles a ouvert ses portes. Le périscolaire lui a emboîté le pas en mars dernier.
L'interview de la rédaction : Valérie Pagnot, Maire de Bonnétage
L’examen du projet de loi gouvernemental sur l’immigration est programmé pour le mois de décembre prochain à l’Assemblée Nationale. Après un travail en commission au Sénat, le projet de loi passera en première lecture au Sénat, avant de poursuivre son cheminement législatif dans l’hémicycle du Palais Bourbon. Le débat est déjà lancé dans tous les partis politiques, à gauche, comme à droite.
Marie Christine Dalloz, la députée LR jurassienne, espère que « le gouvernement ne fera pas de la communication ». Et de poursuivre : « il faut que l’on soit crédible sur ce sujet-là et que l’on pose des actes ». « Une personne en situation irrégulière et qui affiche une dangerosité par rapport à un fichier S ou une radicalisation, doit être renvoyée dans son pays d’origine» explique la Parlementaire. « On ne peut pas continuer à faire courir un risque à la population. Nous avons trop de victimes d’attentat en France. Il fau légiférer de façon ferme et que l’on ne revienne pas tous les six mois sur ces sujets-là » continue-t-elle.
« Durcir certaines dispositions »
Comme ces collègues parlementaires LR, Marie-Christine Dalloz entend éclaircir de nombreux points et s’intéresser certains obstacles législatifs, dont celui concernant l’âge des individus dangereux. Rappelons que le terroriste, qui a causé la mort de l’enseignant d’Arras, ne pouvait pas être expulsé car il était arrivé avant 13 ans sur le sol français. « Il faut que l’on sorte de cette vision angélique, où tout le monde va être intégré. Certaines personnes ne s’intégreront jamais. Elles ont une vision trop radical de l’islam et souhaitent perpétrer des assassinats sur notre territoire. Ce n’est pas acceptable » conclut Mme Dalloz.
L'interview de la rédaction / Marie-Christine Dalloz
Ce mardi, Renault a annoncé que ses ventes avaient augmenté de 11% dans le monde lors du 3è trimestre 2023, par rapport à la même période de 2022. Fin septembre, la marque au losange a vendu 1,1 million de véhicules. Soit 11% de plus qu’en 2022. Précisons que les ventes ont également progressé de 21%, en Europe, sur les six premiers mois de l’année.
C’est un moment de joie, mais aussi de recueillement, qui a eu lieu il y a quelques semaines à la Chenalotte, dans le Haut-Doubs. Alors que les élus et les villageois se sont réunis à l’occasion de l’inauguration de l’école du village, tous se sont rappelés que ce beau projet était à l’initiative de l’édile de la commune Brigitte Ligney, portée disparue depuis l’été 2021, lors d’une randonnée à la Réunion.