100 élus de Bourgogne Franche-Comté appellent à voter pour Anne Hidalgo ce dimanche 10 avril. Une démarche en faveur « d’une gauche républicaine, sociale et écologique ». Parmi les signataires : Marie Guite Dufay (présidente du conseil régional de Bourgogne Franche-Comté), Denis Arnoux (maire de Pont-de-Roide), Nicolas Bodin (vice-président de Grand Besançon Métropole), Patrick Ayache (maire de Pirey et vice-président de Grand Besançon Métropole), Abdel Ghezali (1er adjoint à la ville de Besançon) et Gérard Guinot ( conseiller municipal de Pontarlier), Eric Houlley (maire de Lure et vice-président du conseil régional de Bourgogne Franche-Comté) et Raphaël Krucien ( conseiller départemental du Doubs).
Ce samedi 9 avril, Haut-Doubs Formation organise sa journée portes ouvertes. Un moyen pour le public de connaître les formations dispensées au sein de cette structure implantée à Houtaud. Du CAP au BAC+2, l’établissement propose un large panel de formation en alternance dans les domaines des métiers du sport, de l’animation sociale, du marketing et du numérique.
Le public pourra rencontrer l’équipe pédagogique et participer à de nombreuses animations sportives. Plusieurs sportifs de haut niveau de la région seront également présents pour échanger avec les visiteurs sur leur domaine de prédilection. Ainsi, la biathlète Lou-Jeanmonnot, Thibaut Arteaga, le capitaine du GBDH, et Johann Acosta, le double vainqueur de la Coupe E-Ligue 1 sur FIFA seront présents.
Une grande place à la pratique
Compte tenu de son bon ancrage local, la structure d’accueil est en capacité de mettre en contact ses apprenants avec son réseau de partenaires. La force de la pédagogie mise en place réside dans le temps consacré à la pratique. Les stagiaires alternent temps pratique et théorique, mais un très grand nombre d’heures de formation se déroule au sein de l’entreprise, au contact de son public. « C’est un vrai système gagnant-gagnant pour le jeune et l’entreprise » explique Audrey Forestier, la directrice de Haut-Doubs Formation. La responsable précise que les formations proposées « correspondent aux besoins et aux attentes du secteur, notamment en termes d’encadrement ». Rappelons qu’actuellement, les contrats d’apprentissage bénéficient d’un fort soutien de l’état. La prise en charge de la formation est assurée et le salaire de l’apprenti peut également être prise en charge par des financements extérieurs.
Haut-Doubs Formation vous donne rendez-vous ce samedi, de 9h à 17h, dans ses locaux à Houtaud.
L'interview de la rédaction / Audrey Forestier, directrice de Haut-Doubs Formation
Météo France a placé les quatre départements francs-comtois en vigilance jaune « vent violent ». En plaine, des rafales entre 70 et 80 km/h sont attendues. Sur les hauteurs, ces rafales pourraient atteindre jusqu’à 90 à 100 km/h. Un nouvel épisode de vents forts est attendu en journée de vendredi.
A l'approche des élections présidentielles, les différents soutiens des candidats se mobilisent autour de leurs représentants. Comme c'est le cas de Jacques Vuillemin (79 ans), ancien 1er adjoint de Robert Schwint, ancien maire de Besançon, sénateur et député socialiste du Doubs, qui est aujourd'hui soutien de Jean-Luc Mélenchon.
Un engagement contre les inégalités sociales
Militant socialiste depuis près de 40 ans, c'est très jeune que Jacques Vuillemin s'est rangé derrière le parti socialiste. En effet, issu d'une famille modeste, cet homme convaincu et déterminé, « vieux con » se définit-il, a voulu s’engager pleinement pour combattre les inégalités sociales qui l'entouraient.
Déçu par le Parti Socialiste
Après avoir été longuement un soutien du parti socialiste, notamment celui de Robert Schwint, à la tête de la ville entre 1977 à 2001, Jacques Vuillemin s'est dit déçu de son parti de cœur. Déception qu’il explique par l’éloignement du parti avec les valeurs qui l’ont fait adhérer, il y a 40 ans. C'est donc cette amertume qui a poussé l'ancien premier adjoint de Robert Schwint à se rallier à la France Insoumise, chez qui il a retrouvé le combat auquel il tenait.
Une crainte de l'avenir
Jacques Vuillemin déplore « une forme de déshumanisation sociale » que connaît la société actuellement. Selon lui, elle a été d'autant plus forte lors de la crise sanitaire, où, par exemple, « certaines personnes ne pouvaient pas assister ou voir un proche à l’hôpital », ce qui l'a profondément touché. L'ancien militant du parti socialiste se dit également « inquiet de la montée de certains partis d'extrême droite » renforçant encore plus sa volonté de s'engager, ne voulant pas assister en spectateur à celle-ci.
L'interviw de la rédaction / Jacques Vuillemin
Un jeune homme de 18 ans a été placé en garde à vue au commissariat de police de Besançon. Hier soir, vers 18h, en patrouille sur le secteur de Palente, les policiers de la BAC ont constaté qu’un individu, en scooter, ne respectait pas les règles élémentaires du code de la route. A la vue des forces de l’ordre, il a tenté de prendre la fuite, mais il a finalement été interpellé un plus loin. Il a été retrouvé en possession de 7 grammes de cocaïne, 5 grammes d’héroïne, 7 grammes de résine de cannabis et 290 euros.
Après une précédente édition perturbée en raison de la crise sanitaire, le festival « Ludinam », le festival de tous les jeux, revient dans sa version habituelle du 6 au 8 mai prochain à Besançon. 15.000 personnes sont attendues au centre-ville. En plus de pouvoir profiter des ateliers proposés et des nombreuses possibilités de se divertir, le public pourra également découvrir les lieux chargés d’histoire de la cité, qui accueilleront cet évènement.
Cette année, un jeu de piste sera organisé en plein cœur du centre-ville historique. Le festival se veut également inclusif. C’est-à -dire qu’il veut ouvrir ses portes à tous les publics. Parmi les grands rendez-vous de cette nouvelle édition, un concert, le 6 mai prochain, au Grand Kursaal avec Bernard Minet. Le célèbre batteur du Club Dorothée lancera à Besançon une tournée à travers toute la France.
Ce jeudi soir, la Ville de Besançon va adopter son budget primitif 2022. Un exercice comptable d’un montant de 202 millions d’euros. Anthony Poulin, l’élu en charge des finances y voit un budget d’action, « tourné vers la protection des habitants et la transformation de la ville ». La cité comtoise veut « agir pour la justice sociale et le climat ». Concrètement, le budget de fonctionnement s’élève à 145 millions d’euros. Celui consacré à l’investissement est de 56 millions d’euros.
Parmi les grands projets évoqués : un nouveau gymnase sur le secteur Diderot à Planoise, l’ouverture d’une nouvelle crèche, la création d’un lieu pour les jeunes sur le site Pierre Bayle, la rénovation du musée de la résistance et de la déportation, des tickets culture pour favoriser l’accès à la culture des familles les plus pauvres, la reconduction du programme de rénovation énergétique des écoles et des crèches ou encore la création du jardin des sciences et la réhabilitation du quartier Planoise.
Des incertitudes pour l’avenir
Difficile pour la ville de Besançon de se projeter sereinement dans l’avenir. Le coût de l’énergie ne passe pas inaperçu. « Le montant des dérives énergétiques s’élève à 2 millions d’euros. Comme les foyers, les collectivités sont impactées dans leur fonctionnement » explique Anne Vignot. La Maire de Besançon constate également une hausse non négligeable du coût des matières premières qui, implicitement, va augmenter le coût des chantiers. Ce qui demande une gestion très pragmatique. Par ailleurs, les dernières prises de parole gouvernementales laissent entrevoir d’importantes restrictions financières, avec une contribution demandée à hauteur de 10 milliards d’euros aux collectivités locales pour éponger la dette du pays. Pour le moment, l’heure est au questionnement et aux interrogations. Si elle s’appliquait une telle mesure aurait des conséquences sur le fonctionnement des collectivités et la qualité du service apporté à la population.
Confiance en l’avenir
Néanmoins, même si elle reconnaît que certaines orientations pourraient être revues, au regard de la situation économique, Anne Vignot souligne que ce projet 2022 est volontariste et « dynamique », avec une augmentation nette de 3,5 millions d’euros, soit une hausse de 1,8%. Des moyens supplémentaires au service de l’économie et de la populations locales.
L'interview de la rédaction
En sport. L’ESBF n’a pas tremblé. Hier soir, les Engagées ont vaincu Chambray sur le score de 32 à 28 au palais des sports Ghani Yalouz dans le cadre de la 20è journée de championnat en D1 féminine.