La garde à vue d’un homme de 19 ans a été prolongé ce jeudi à Besançon. L’individu devrait être présenté à la justice, en comparution immédiate, ce vendredi après-midi. Le 11 mai, il circulait sur un scooter démuni de plaque d’immatriculation. Le passager était dépourvu de casque. A la vue d’une patrouille de police, les deux hommes ont pris la fuite. Une course poursuite s’est engagée à travers les parkings de l’hôpital Minjoz.
A hauteur de la rue du Luxembourg, le passager a pris la fuite en courant, alors que le conducteur du scooter a fini par chuter au sol. Au cours de son audition, le mis en cause n’a pas reconnu la rébellion, ni le port d’arme, découvert pourtant dans la poche de sa veste. Il a néanmoins reconnu du bout des lèvres le refus d’obtempérer. Il a refusé de donner le nom de son acolyte.
Après deux ans sans musique, Julie Rousselet dit Jule, sort un nouvel album nommé “ Les bruits de l’âme ”, allant de l’amitié à l’amour en passant par les enfants. Cet album raconte des ressentis et des émotions sur la vie.
“Les bruits de l’âme”
Cet album est composé de 3 EP, comportant chacun 5 chansons. Touchée par un cancer en 2015, ces nouvelles créations retracent le parcours de rémission de la jeune femme. On retrouve, “hypersensible”, “Le temps”, et “Résilience”. Le premier, sorti le 5 mai, décline des chansons à travers des thèmes relatifs à la vie, avec le regard d’une personne hypersensible. Aborder ce thème était très salvateur pour l’artiste, qui a longtemps vécu cet état d’esprit comme un handicap, avant de s’en servir.
“Je serais là”, le coup de cœur de Julie
Julie a ressenti beaucoup d’émotion lors de la création de “Je serais là”, l’un des titres qui compose son 1er EP. Cette chanson évoque l’amitié et l’empathie. Cette ouverture vers l’autre est important car, lors de sa maladie, elle s’est sentie beaucoup soutenue par ses proches. C’est la raison pour laquelle, elle tient à redonner toute l’aide qu’elle a reçue. Les paroles de cette chanson lui correspondent tellement.
Retrouvez Jule sur la scène du Popoppidum le 9 juillet à Champagnole mais aussi lors du festival des “Vielles Spatule” à La Cluze et Mijoux.
L'interview de la rédaction / Julie Rousselet
Une forte détonation a été entendue en début d’après-midi sur un large territoire allant de Besançon à Dijon. Selon nos informations, il s’agit d’un avion qui a franchi le mur du son. Ce grondement, tel un violent coup de tonnerre, a été très rapide, suscitant néanmoins une belle frayeur chez ceux qui l’ont entendue.
Les fenêtres et le sol ont vibré. Heureusement, rien de grave. Rappelons que le mur du son est caractérisé par l’atteinte d’une vitesse au moins égale à celle de la vitesse du son dans l’air, soit 1.224 km/h. Ce qui provoque une onde de choc sous forme de déflagration supersonique.
C’est un véritable fléau qui empoisonne le quotidien des habitants des grandes villes du département, les rodéos urbains sont de retour. C’est la raison pour laquelle, les forces de l’ordre ont décidé une nouvelle fois encore de montrer les dents. Ce vendredi, des opérations anti-rodéo seront menées dans les secteurs de Besançon, Montbéliard et Pontarlier.
La 15è fête de la bière se déroulera ce samedi 14 mai sur le Champ de Foire de Poligny. Pour cette nouvelle édition, 25 brasseurs, venus de la région, et de territoires limitrophes, seront présents. Chacun aura plaisir, tout en gardant une part de mystère, a présenté son savoir-faire en la matière. Les connaisseurs le savent très bien, « aucune bière n’offre les mêmes arômes et les mêmes saveurs ». C’est d’ailleurs tout ce qui fait la richesse de ces breuvages artisanaux.
Un riche programme d’animations
La fête promet d’être belle ce samedi à Poligny. Des temps de dégustation, des concours de la meilleure bière, des animations musicales rythmeront cet évènement, qui retrouvera son public après deux années d’interruption en raison de la crise sanitaire. Le coup d’envoi de l’évènement sera donné à 14h30.
L'interview de la rédaction, Jacques Sébastien, élue en charge des animations à la ville de Poligny
La fin de saison approche en national 3. Pour le Racing Besançon, il reste quatre matches à disputer pour décrocher le billet pour le niveau supérieur. Deux victoires sont suffisantes, mais le club du président Claude Cuinet veut terminer de la plus belle des manières en remportant les quatre « finales » à venir.
Le compte à rebourre est lancé. Le premier des rendez-vous est fixé ce samedi, à 18h, face à Pontarlier, qui n’a pas encore validé son maintien. Le 21 mai, un palpitant derby face à l’ennemie de toujours, le Besançon Football, est dans toutes les têtes. Cette rencontre pourrait d’ailleurs être décisive pour le clan de Jean-Marc Trinita. Les deux derniers matches opposeront les Bisontins à la réserve sochalienne le 28 mai et à Montceau, en Bourgogne, le 4 juin.
Ne rien regretter
Inutile de parler à Jérémy Guyen, le directeur sportif du club, de ses projets et de ses choix pour l’avenir. Officiellement, le responsable ne veut pas se projeter. « Chaque chose en son temps. Pour le moment, concentrons-nous sur le présent et les quatre rencontres à venir » lance-t-il. Au Racing, on sait que cette montée aurait pu être acquise plutôt si le début de deuxième partie de championnat avait été meilleur, mais la page est tournée et les regards sont désormais tournés vers l’épilogue de cette fin de saison.
Tous au stade
Par la voix de Jérémy Guyen, le club invite les partenaires, les associations bisontines, leurs adhérents et tous les Bisontins amoureux du ballon rond à venir encourager les Racingmen ce samedi soir. « Le football doit reprendre la place qu’il mérite à Besançon. La ville compte de nombreux passionnés » conclut Jérémy Guyen, conscient que la montée du club et son développement passeront aussi par la dynamique et l’enthousiasme que le Racing Besançon saura insuffler en terre bisontine.
L'interview de la rédaction / Jérémy Guyen
« La mairie n’ayant pas tenu ses promesses », les parents de l’école Rivotte à Besançon ont décidé de se mobiliser de nouveau ce jeudi matin pour demander la mise en place d’une signalisation et les 20 km/h au sol pour faire ralentir les voitures à proximité de l’école. Le collectif « bien vivre à Besançon » dénonce quatre ans de combat sans fin. C’est la raison pour laquelle, un rassemblement s’est tenu ce jeudi matin, à 7h30, au square Castan.
Le cortège, composé d’enfants et de parents d’élèves, a ensuite regagné l’école. Les manifestants dénoncent l’absence de réactivité de la ville de Besançon qui, à leurs yeux, n’a pas conscience du danger. Avant d’envisager des actions davantage basées sur le long terme, il est demandé aux élus bisontins de prendre des mesures d’urgence pour faire ralentir les voitures. « Si ce n’est qu’une histoire de coût lié à la peinture, comme on nous l’a dit, on veut encore bien se cotiser pour l’acheter’ déclare un père de famille, soucieux de la sécurité de ses enfants.

« Des disputes quotidiennes »
Vidéos à l’appui, le collectif rappelle l’inconscience de certains automobilistes. ‘Les voitures en transit nous font du mal » explique un manifestant. « Pour éviter les bouchons, certains n’hésitent pas à prendre cette route, en roulant à vive allure, sans se soucier des piétons et des enfants de l’école » ajoute-t-il. Et de terminer, « ce sont des conflits quotidiens ». De nouveaux courriers ont été envoyés à la ville de Besançon. Chacun espère qu’ils ne resteront pas sans réponse.
L'interview de la rédaction
Séverine Vezies, la responsable de la France Insoumise dans le département du Doubs, indique dans un communiqué de presse, qu’elle sera candidate aux élections législatives de juin prochain dans la 1ère circonscription du Doubs pour la Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale. Son suppléant est Sami Fhima. L’augmentation du SMIC à 1400 euros, la retraite à 60 ans, l’allocation autonomie jeunesse font partie des grands axes qu’elle et son collectif défendent.