A Besançon. La piscine Lafayette proposera une chasse au trésor le samedi 25 mars, à partir de 13h30. L’objectif est de faire découvrir les lieux sous un angle nouveau. L’animation, d’une durée comprise entre 1h et 1h30, s’adresse à des équipes de 3 à 5 personnes, présence d’un adulte obligatoire.
Pour participer, les équipes devront s’inscrire au préalable via la billetterie disponible
exclusivement en ligne en choisissant l’horaire qui leur convient (créneau à respecter afin de ne pas impacter les équipes suivantes). A leur arrivée, un nom d’équipe leur sera demandé.
Niveau : 6 ans et plus, certaines parties du parcours nécessitent de se sentir à l’aise dans l’eau. Tenue de bain habituelle (maillot et bonnet) exigée. Tarif unique : 20,50 € par équipe.
Pour s'inscrire : https://piscines-patinoire-besancon.horanet.com/shop/category/piscine-la-fayette-activites-12
Sébastien, un habitant de Clairvaux-les-Lacs et un groupe de parents viennent de lancer le collectif « Sauvons nos classes ». Tout a commencé avec l’annonce, par l’inspection académique du Jura, de la fermeture de deux classes, à la rentrée prochaine, au collège de Clairvaux. De douze classes, il y a encore deux ans, l’établissement scolaire basculera à huit en septembre prochain. Soit plus que deux classes par niveau. C’est bien la baisse de la qualité de l’enseignement qui est redoutée.
Plus globalement, les militants de ce collectif dénoncent les moyens alloués par l’état à l’éducation. Notre interlocuteur explique qu’entre 2022 et 2023, « 144 millions d’euros » ont disparu du budget de l’éducation nationale. Ce qui correspondrait à 3000 postes d’enseignants en moins. « Il faut se mobiliser pour que notre éducation nationale reste de qualité, avec un accueil et un enseignement de qualité » explique Sébastien. Et de poursuivre : « si on diminue constamment les budgets, on va finir par avoir un enseignement de piètre qualité ».
Les personnes désireuses de participer à cette mobilisation sont invitées à rejoindre le mouvement et à participer au rassemblement qui se tiendra ce samedi 18 mars, à 11h, devant le collège de Clairvaux-les-Lacs. D’autres actions suivront. Le collectif veut défendre l’éducation et en profiter également pour s’opposer au projet de carte scolaire qui s’annonce, pour la rentrée prochaine, dans le Jura.
L'interviex de la rédaction : Sébastien, un des respondables du collectif
Le député du Doubs Laurent Croizier, président du groupe « Ensemble Bisontins » au conseil municipal de Besançon vient d’adresser un courrier à Anne Vignot, maire de Besançon pour dénoncer « les manquements répétés au respect du règlement intérieur et du droit lors des séances du conseil municipal ». Il demande l’organisation d’une conférence des présidents des groupes d’élus « afin de résoudre ces dysfonctionnements ».
Malgré une nette domination durant une bonne partie de la rencontre, le BesAC n’a pas tenu la distance hier soir face à Toulouse dans le cadre de la 2è journée en poule médiane, qualificative pour les play-offs de nationale 1. Les Bisontins se sont inclinés sur le score de 74 à 80 sur leur parquet des Montboucons.
Plus de peur que de mal à Dole, dans le Jura. Hier, avant 18h, les sapeurs-pompiers sont intervenus pour une odeur de fumée dans une salle de sport, Avenue Jacques Duhamel. Une cinquantaine de personnes ont été évacuées. Sur place, les soldats du feu n’ont relevé aucun incident particulier. Après les reconnaissances d’usage, le public a pu réintégrer le bâtiment.
Ce mardi, Ludovic Durand, le secrétaire national Force Ouvrière police municipale, le syndicat majoritaire de la profession, est venu à la rencontre des policiers municipaux bisontins. On a parlé de la réforme des retraites, qui ne passe pas, et de la situation bisontine.
L’armement des policiers municipaux, que les différentes majorités ont toujours refusé, et le nouveau projet de service, que prépare la Maire sont décriés. Pour les locaux, comme le représentant national, la délinquance est telle que les tasers d’aujourd’hui ne sont plus adaptés aux réalités du terrain. Ces armes ne sont plus suffisantes pour protéger les policiers en exercice et leur permettre d’assurer leur mission de protection de la population. « Un homme dangereux est activement recherché à Besançon. Comment voulez-vous vous mesurer à lui sans équipement adéquat » pointe l’assistance. A ce sujet, une délégation devrait rapidement solliciter une rencontre auprès d’Anne Vignot pour échanger sur ce point.
Un projet de service qui divise
L’autre point d’achoppement concerne le nouveau projet de service, qui devrait être décliné en septembre prochain. La suppression du service VTT et la réorganisation des secteurs couverts, qui aura un impact sur les rythmes de travail des agents, sont contestés. « Nous allons perdre également en présence sur le terrain et en relations humaines » expliquent-ils. Dénonçant cette situation, deux policiers sont sur le départ. D’autres devraient suivre. A cela s’ajoutent les conditions salariales, l’absence de primes et les recrutements qui se font désirer. « Dans ces conditions, comment voulez-vous intéresser les jeunes et renforcer les effectifs ? » explique un représentant syndical. Aujourd’hui, la moyenne d’âge de la police municipale est d’environ 50 ans. 46 policiers, tous services confondus, composent l’effectif local. Il en faudrait trois fois plus.
L'interview de la rédaction / Ludovic Durand
Après une pause bien méritée, l’ESBF retrouve la compétition ce mercredi. Encore affaiblie, en l’absence de quelques joueuses cadres, notamment Alizée Frécon-Demouge, qui devrait reprendre la compétition avec l’équipe réserve ce week-end, l’ESBF se déplace à Brest pour le compte de la 18è journée de championnat en D1 féminine. Actuelles huitièmes de leur groupe, avec huit points d’écart avec Chambray, cinquième au classement, et potentiellement européen, les Engagées savent que leur marge est extrêmement réduite pour disputer l’European League la saison prochaine.
Dernière ligne droite
Il reste neuf journées de championnat à la formation de Sébastien Mizoule pour réaliser cet exploit, mais rien n’est impossible. Tant ce championnat a déjà réservé plusieurs surprises. Reboostées après ces quelques journées de repos, le groupe veut tourner la page du délicat mois de février et se relancer. « On sait très bien que le chemin va être plein d’obstacles. Le premier arrive mercredi à Brest. Il faut que l’on arrive à gagner le maximum de matches. Tout en ayant un œil sur ce font nos adversaire » explique Sébastien Mizoule.
L'interview de la rédaction / Sébastien Mizoule
Une équipe à la portée des Bisontines
Avec 42 points, les Brestoises occupent actuellement la deuxième place au classement. Malgré sa position, la formation a déjà montré quelques signes de faiblesse par le passé. Autant dire, que rien n’est perdu pour nos Bisontines revanchardes. « Nous sommes reparties. On a fait une bonne semaine d’entraînement. On a envie de penser à autre chose, mais on n’oublie pas ce qui s’est passé en février. On revient avec l’état d’esprit de vouloir gagner tous les matches. On va essayer de remonter au classement le plus possible. On sait que cela ne dépend pas que de nous, mais nous ferons tout pour récupérer cette cinquième place ».
L'interview de la rédaction / Clarisse Mairot
Le match opposant Brest à l’ESBF se disputera ce mercredi soir en Bretagne. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h30.
Après sa victoire décrochée à Tours, le BesAC dispute ce mardi soir son deuxième match comptant pour la poule médiane, qualificative pour les play-offs de nationale 1 masculine. Les hommes de Joseph Kalambani reçoivent Toulouse au gymnase des Montboucons. L’adversaire reste sur une défaite (51-88) contre Feurs. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h15.