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Le 14 juin, le Val-de-Travers, en Suisse, vous invite à plonger dans l’univers fascinant de l’absinthe lors d’une journée exceptionnelle. Dégustations, visites de distilleries, rencontres avec les artisans, animations culturelles et soirée festive : Absinthe en Fête célèbre ce spiritueux emblématique là où tout a commencé.

Le berceau historique de la Fée Verte

Si Pontarlier est souvent désignée comme la capitale économique de l’absinthe, le Val-de-Travers en est indéniablement le berceau historique. C’est dans cette vallée suisse, au cœur des montagnes du Jura, qu’au XVIIIe siècle naît la recette de ce mystérieux breuvage aux arômes d’anis et d’herbes. Très vite, la boisson franchira la frontière pour connaître une expansion industrielle spectaculaire à Pontarlier. Mais l’histoire de l’absinthe n’a pas été un long fleuve tranquille. Interdite au début du XXe siècle en raison de polémiques sanitaires et morales, elle a longtemps été condamnée à la clandestinité, avant de retrouver ses lettres de noblesse au XXIe siècle grâce à un encadrement rigoureux de sa production. Aujourd’hui, le Val-de-Travers entend faire vivre ce patrimoine avec fierté.

Une journée immersive au cœur des distilleries

Le samedi 14 juin, dès 10 h, les distilleries du Val-de-Travers ouvriront grand leurs portes aux visiteurs. De 10 h à 18 h, le public pourra partir à la rencontre des distillateurs et distillatrices, découvrir les secrets de fabrication de l’absinthe et déguster les différentes variétés élaborées dans la région. Chaque distillerie proposera ses propres animations et présentations, offrant ainsi un véritable voyage sensoriel au cœur de la production artisanale. L’initiative, relancée ces dernières années par un nouveau comité d’organisation, permet de replacer les artisans au centre de la fête, avec un contact direct et privilégié avec le public.

L'interview de la rédaction : Fabrice Hérard, chargé de mission à l'association des Amis du Musée de Pontarlier 

La Maison de l’Absinthe : mémoire et savoir-faire

Impossible de visiter le Val-de-Travers sans faire halte à la Maison de l’Absinthe, à Môtiers, véritable centre culturel dédié à ce patrimoine unique. Les visiteurs pourront y découvrir l’histoire mouvementée de la Fée Verte, de ses origines mythiques à sa prohibition, puis à sa renaissance. Une occasion également de découvrir les affiches historiques de l’époque, souvent illustrées de figures féminines, comme un clin d’œil au graphisme de l’affiche de cette édition 2025 qui perpétue cette tradition iconographique.

Une soirée festive pour clore la journée

Grande nouveauté cette année : après les visites et les dégustations, les festivités se poursuivront en soirée au Parc Girardier, à Môtiers. Dès la fin d’après-midi, le public pourra profiter de concerts, d’animations musicales et de petite restauration dans une ambiance conviviale et familiale, prolongeant ainsi la découverte de la culture de l’absinthe sous un angle festif et chaleureux.

Une fête au service du « Pays de l’Absinthe »

Au-delà de cette journée événementielle, Absinthe en Fête s’inscrit dans une démarche plus large de valorisation du Pays de l’Absinthe franco-suisse, fruit d’une coopération entre le Val-de-Travers et Pontarlier. Si chaque territoire conserve ses spécificités et ses approches, tous partagent aujourd’hui la volonté commune de transmettre cette culture unique, de sensibiliser le public et de promouvoir un savoir-faire ancestral.

Aux Verrières de Joux et au Château de Joux, côté français, et aux Verrières, côté Suisse,  les 14 et 15 juin, à l’occasion du 10è anniversaire du sentier didactique Bourbaki, Français et Suisses se retrouveront pour se souvenir et honorer un pan méconnu de notre histoire  : la retraite de l’armée Bourbaki et l’accueil de 85. 000 soldats français par la Suisse lors de la guerre franco-prussienne de 1870-1871.

Un conflit oublié mais fondateur

La guerre de 1870-1871 entre la France de Napoléon III et la Prusse de Bismarck reste aujourd’hui peu enseignée et souvent éclipsée par les deux conflits mondiaux qui lui ont succédé. En juillet 1870, suite à une habile manœuvre diplomatique orchestrée par Bismarck, la France déclare la guerre à la Prusse. Rapidement, l’armée française, mal préparée, subit une série de défaites cinglantes. Au cœur de l’hiver 1871, l’armée de l'Est commandée par le général Bourbaki tente un ultime baroud d’honneur pour secourir Belfort assiégée. Mais encerclée et à bout de forces, l’armée est contrainte à la retraite vers la frontière suisse, au cœur du Jura, dans des conditions dramatiques.

L'interview de la rédaction : Fabrice Hérard 

L’accueil humanitaire en Suisse : un épisode marquant

Refusant de se rendre à l’ennemi, près de 85.000 soldats français franchissent alors la frontière entre Les Verrières et Pontarlier du 1er au 3 février 1871. Cet accueil inédit et massif est considéré comme un des premiers grands gestes humanitaires de l’histoire moderne. Cet épisode a aussi marqué un jalon fondateur dans le développement du Comité international de la Croix-Rouge, créée quelques années auparavant.

Le Sentier didactique Bourbaki, un travail de mémoire partagé

Depuis 10 ans, le Sentier didactique Bourbaki aux Verrières (côté suisse) fait revivre cet épisode historique à travers un parcours pédestre de 5 km jalonné de panneaux explicatifs retraçant le drame et la solidarité qui s’y sont joués. Le week-end des 14 et 15 juin marquera le 10e anniversaire de ce sentier avec l’inauguration de deux nouveaux panneaux, enrichissant ainsi le parcours existant. À terme, Fabrice Hérard, chargé de mission à l’association « Les Amis du Musée de Pontarlier Â», souhaiterait  prolonger cet itinéraire jusqu’à Pontarlier, en France, permettant ainsi de créer un véritable chemin transfrontalier de mémoire.

L'interview de la rédaction : Fabrice Hérard 

Une commémoration désormais franco-suisse

Après plusieurs décennies où les commémorations se faisaient de part et d’autre de la frontière, sans véritable coordination, l’objectif est aujourd’hui de développer une mémoire commune. « C’est une histoire franco-suisse, il est important de la commémorer ensemble », souligne Fabrice Hérard. Pour les Français, il s’agit de rappeler une défaite militaire souvent oubliée ; pour les Suisses, c’est l’un des grands épisodes fondateurs de leur engagement humanitaire.

Un programme riche et varié pour petits et grands

Les festivités débuteront le samedi 14 juin aux Verrières de Joux avec l’inauguration officielle des nouveaux panneaux,  Ã  10 heures. S’enchaîneront ensuite tout le week-end des conférences historiques, des visites guidées, des projections de films et des animations en costumes d’époque. Le Château de Joux, haut-lieu de mémoire à Pontarlier, accueillera également de nombreuses initiatives  : expositions thématiques, animations pédagogiques pour les familles, et une grande reconstitution historique pour mieux comprendre cet épisode singulier de la guerre de 1870.

Un devoir de mémoire toujours vivant

Alors que la guerre de 1870 reste absente de nombreux manuels scolaires, ces journées permettent de transmettre cette mémoire souvent négligée mais essentielle à la compréhension des tensions européennes du XIXe siècle. Comme le rappelle Fabrice Hérard : « On parle beaucoup des guerres de 14-18 et de 39-45, mais 1870 reste à la source de bien des bouleversements géopolitiques ultérieurs. »

Le rendez-vous des 14 et 15 juin prochain s’annonce donc comme un moment fort de mémoire partagée, de réflexion historique et de rencontre entre deux pays unis par cet épisode peu connu mais fondateur.

La municipalité de Besançon a franchi un nouveau cap dans la présentation de son action municipale. Ce jeudi, la maire Anne Vignot a dévoilé un outil inédit : une carte interactive répertoriant plus de 320 projets et réalisations conduits depuis le début du mandat en 2020. « Une démarche de transparence et de pédagogie Â»,  selon la majorité. « Une manÅ“uvre de communication électorale prématurée et contestable Â», selon l’opposition municipale.

L'interview de la rédaction : Ludovic Fagaut 

Ludovic Fagaut dénonce « une opération électorale financée par la collectivité »

Du côté de l’opposition municipale, la présentation de cette carte numérique passe mal. Ludovic Fagaut, chef de file du groupe "Besançon Maintenant", dénonce une instrumentalisation des moyens municipaux à des fins électorales. « Nous découvrons l’existence de cet outil qui, sous couvert de bilan, est en réalité un outil de campagne financé par la collectivité », accuse l’élu d’opposition, rappelant qu’Anne Vignot a officiellement annoncé sa candidature à un second mandat dès le mois d’octobre dernier, soit plus d’un an et demi avant le scrutin de 2026. « Depuis l’annonce de sa candidature, la ville tourne au rythme de sa réélection. Tout devient prétexte à communication : chaque inauguration, chaque projet est utilisé pour alimenter sa campagne », poursuit Ludovic Fagaut, qui regrette que la maire « ne soit plus à plein temps au service de la ville, mais en campagne permanente ».

Un bilan critiqué sur le fond

Au-delà de la forme, l’opposition municipale porte également un jugement très sévère sur le bilan présenté. « Parler de métamorphose de la ville est un contresens total », estime Ludovic Fagaut, qui dresse un inventaire à charge du mandat écoulé. Sur le plan de la sécurité, le chef de l’opposition évoque « une insécurité galopante que la majorité n’a pas su ou pas voulu maîtriser ». Concernant les mobilités, il accuse la maire d’avoir « sclérosé la circulation et rendu Besançon repoussoir pour de nombreux visiteurs et investisseurs à cause des difficultés de stationnement et de déplacement ». Sur le développement économique, Ludovic Fagaut pointe les tensions avec les maires de la périphérie sur les zones d’activités de Grand Besançon Métropole, et un « manque d’ambition en matière de développement touristique » avec une citadelle « déficitaire à hauteur de 4,5 millions d’euros ».

L'interview de la rédaction : Ludovic Fagaut 

Quant au logement, « aucun bâtiment significatif n’a été inauguré depuis 2020 », accuse-t-il, dénonçant l’incapacité de la majorité à répondre à la demande croissante de logements sur le territoire. L’opposition critique également les dépenses jugées « dispendieuses », citant en exemple les travaux engagés sur les infrastructures sportives ou encore l’installation d’une statue place de la Révolution,  pour un coût de 130 000 euros.

Un « mandat d’idéologie punitive » selon l’opposition

Pour Ludovic Fagaut, ce mandat se résume à « une gestion dogmatique et punitive, où l’idéologie a pris le pas sur l’intérêt des habitants, des commerçants, des associations et des touristes ». Seule nuance dans un bilan jugé globalement « catastrophique » : l’investissement consenti dans la rénovation des écoles et des bâtiments publics, une politique qu’il concède néanmoins être « menée partout, indépendamment des majorités politiques ».

Alors que les bilans de mandat se traduisent traditionnellement par des publications papier ou des dossiers dans les magazines municipaux, la Ville de Besançon a choisi d’innover. Pour présenter le fruit de plusieurs années de travail ( 2020-2025)  et rendre compte de sa transformation, une carte interactive recensant plus de 320 actions a été mise en ligne. Une première pour la capitale comtoise, qui s’inscrit dans une volonté claire : « rendre l’action publique plus visible, plus lisible, et surtout plus proche des habitants Â».

Un outil numérique pensé pour tous les Bisontins

Pourquoi avoir choisi une carte interactive plutôt qu’un traditionnel document imprimé ? « Parce qu’un outil numérique est aujourd’hui beaucoup plus accessible. On peut le consulter sur son téléphone, son ordinateur, à tout moment. Et surtout, il est bien plus exhaustif qu’un dossier papier qui nécessite de faire des choix éditoriaux », explique Anne Vignot, Maire de Besançon.  La carte permet ainsi aux habitants de visualiser l’ensemble des actions menées sur leur territoire : aménagements urbains, équipements culturels ou sportifs, réseaux de chaleur, espaces végétalisés, fibre optique, projets de rénovation… Autant de réalisations concrètes, quartier par quartier, permettant à chaque citoyen de constater ce qui a été fait, y compris parfois à deux pas de chez lui sans même qu’il l’ait remarqué.

Répondre aux enjeux d’aujourd’hui et de demain

Au-delà de l’exercice de transparence, la municipalité souhaite également montrer comment elle adapte la ville aux grands défis du XXIe siècle. « Besançon doit être une ville où l’on se sent bien. C’est une question de confort de vie, d’accessibilité pour une population qui vieillit, mais aussi d’attractivité pour la jeunesse qui représente une personne sur cinq dans notre ville. Nous voulons que cette dynamique continue en proposant un cadre de vie animé, festif, culturellement riche et propice au développement personnel et familial », souligne la maire. Sur le plan environnemental, Besançon s’engage également de manière volontariste. Plantations massives d’arbres, meilleure gestion de l’eau et des sols, aménagement d’espaces verts : autant d’actions concrètes qui contribuent à améliorer la qualité de vie des habitants tout en répondant aux enjeux climatiques et de biodiversité. « Plus de 40 % de la santé publique est liée à l’environnement. Une ville bien pensée est aussi une ville qui favorise la santé et le bien-être de ses habitants ».

L'interview de la rédaction : Anne Vignot 

Favoriser la participation citoyenne

Cette carte interactive est aussi, selon l’édile, « le reflet d’une nouvelle façon de gouverner, plus participative Â». La plateforme numérique permet ainsi de valoriser les initiatives citoyennes, déployées au cours de ce mandat, et de montrer concrètement la prise en compte des propositions émises. « Dans une période où la démocratie est parfois mise à rude épreuve, il est essentiel de renforcer le lien entre les élus et les citoyens. Cette carte permet de rendre compte de manière concrète de l’action menée, tout en offrant aux habitants une vision globale et transparente des investissements réalisés. C’est une manière de reconnecter la politique municipale avec le quotidien des habitants », insiste Mme Vignot.

L'interview de la rédaction : Anne Vignot 

Une première étape d’un projet amené à évoluer

Inspirée par des démarches similaires menées notamment à Paris, cette première version de la carte interactive devrait évoluer et s’enrichir au fil du temps. « C’est un outil qui va encore s’améliorer, notamment pour le rendre toujours plus facile à utiliser pour tous les publics. Mais il s’agit déjà d’une première pierre importante pour rendre visibles les transformations de Besançon et permettre à chacun de mieux se projeter dans l’avenir de sa ville », conclut la maire.

Pour découvrir la carte : https://www.besancon.fr/actualite/besancon-se-metamorphose/

La ville de Besançon se porte candidate pour accueillir l’épreuve de cyclo-cross aux Jeux Olympiques d’hiver 2030. Soutenue par des acteurs locaux, dont Laurent Croizier, député du Doubs, et Christine Bouquin, présidente du département, la candidature mise sur l’expérience de la ville dans l’accueil de compétitions internationales, comme la Coupe du Monde de cyclo-cross.

Les élus ont adressé un courrier à Edgar Grospiron, président du Comité d’Organisation des JO Alpes Françaises 2030, afin de lui présenter le site de la Malcombe, reconnu par les athlètes et plébiscité par les passionnés de cyclisme. Avec des infrastructures adaptées et une forte culture sportive, Besançon espère convaincre et inscrire son nom dans l’histoire olympique.
Une décision attendue dans les mois à venir !

Le rendez-vous du sport outdoor  revient dès ce vendredi au parc de Chamars, à Besançon, avec le festival Grandes Heures Nature. Près de 1 000 écoliers ouvriront les festivités en découvrant les ateliers sportifs proposés. Le grand public pourra profiter de nombreuses animations dès 16 h.

Au menu de ces trois belles journées : animations, initiations, spectacles sportifs, épreuves sportives, conférences…. A ne pas manquer : l’Ekiden, avec ses près de 2000 participants, l’open d’escalade, mais également la highline, entre Bregille et la Citadelle, le show bloc escalade… . La fête promet d’être belle et tout un chacun, néophytes, confirmés, sportifs ou non, devraient y trouver leur compte.

Ce matin, un dispositif de contrôle des lignes de transport de voyageurs internationaux a été déployé devant la gare Viotte à Besançon. Ces contrôles visent principalement les services de transport de ligne régulière internationale, plus communément connus sous les enseignes Flixbus ou Blablabus.

Organisée dans le cadre d’une opération CODAF (Comité Opérationnel Départemental Anti-Fraude), cette action conjointe a mobilisé plusieurs agents de la DREAL de Bourgogne Franche-Comté, ainsi que des policiers de la Police aux Frontières (PAF).

L'interview de la rédaction : Ludovic Millefanti, Chef du Pôle Contrôle à la Dreal Bourgogne Franche-Comté.

 

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Des contrôles complets et rigoureux

L'objectif principal de cette opération est de s’assurer du respect des règles régissant le transport routier de voyageurs. Les contrôles portent à la fois sur les documents administratifs des transporteurs (licences de transport, attestations de capacité professionnelle, autorisations de trajet) et sur les conditions de travail des conducteurs. « Nous vérifions notamment les temps de conduite et de repos des chauffeurs, ainsi que l’état général des véhicules : pneus, éclairage, dispositifs de sécurité », explique Ludovic Millefanti, Chef du Pôle Contrôle à la Dreal Bourgogne Franche-Comté.  En parallèle, les agents de la Police aux Frontières contrôlent l'identité des passagers. « Notre présence permet de vérifier les situations administratives des passagers, notamment dans le cadre de la lutte contre l'immigration illégale », précise le brigadier-chef Sylvain Picard de la Police aux Frontières du Doubs.

 

Un enjeu de sécurité majeur

Ces contrôles ont pour objectif de prévenir tout risque d’accident lié à des véhicules mal entretenus ou à des chauffeurs en infraction avec la réglementation sociale européenne. « On se souvient encore de certains accidents dramatiques impliquant des autocars. Notre rôle est de prévenir ces drames en amont », souligne M. Millefanti.

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Des sanctions pouvant aller jusqu'à l’immobilisation

En cas d’infractions, les sanctions peuvent être lourdes : des amendes pouvant atteindre plusieurs milliers d’euros, et, dans les cas les plus graves, l’immobilisation immédiate du véhicule. « Si un autocar est immobilisé, l’entreprise doit envoyer un véhicule conforme pour assurer la suite du transport des passagers », précise le représentant de l’Etat.

Des opérations régulières sur tout le territoire

Si l’opération de ce jour se déroule à Besançon, de telles actions sont régulièrement menées sur l’ensemble des points d’arrêt des autocars internationaux et sur les sites touristiques de la région. « Nos compétences couvrent tout le département et, lorsque nous agissons à moins de 20 kilomètres de la frontière, la Police aux Frontières peut intervenir sans réquisition », explique le brigadier-chef Sylvain Picard.

L'interview de la rédaction : le brigadier-chef Sylvain Picard

Ces opérations coordonnées traduisent la volonté des services de l’État de renforcer les contrôles dans le secteur du transport routier de voyageurs, un domaine particulièrement sensible en matière de sécurité et de régularité administrative.

Après une saison de prêt au Toulon Var Métropole Handball en 1ère division, Laury Sidicina, arrière gauche du centre de formation de l’ESBF Handball, poursuivra son développement en 2è division  au sein du club voisin de Palente Besançon Handball la saison prochaine. Arrivée à l’ESBF en 2023, elle a déjà acquis une solide expérience en évoluant avec l'équipe Espoirs et en découvrant le collectif professionnel.