Valentin Laplace prolonge son contrat avec le Grand Besançon Doubs Handball jusqu’en 2027. Malgré une saison marquée par une blessure au genou, l’ailier droit de 27 ans a suivi une rééducation intensive et est aujourd’hui totalement rétabli. Cette prolongation confirme la confiance du club en son joueur. Le GBDH poursuit ainsi son projet alliant expérience et jeunesse pour les saisons à venir.
Hier soir, vers 20h, à Chenecey-Buillon, un feu de véhicule, suivi d’explosions, a causé la mort d’une personne, qui se trouvait à l’intérieur. La voiture était venue percuter un muret. Un témoin, présent sur les lieux, a tenté de sortir la victime de son véhicule en feu. Sans succès…. De nombreuses explosions ont été constatées, en raison de la présence de bouteilles de gaz dans l’habitacle. Une lance a été déployée pour éteindre le sinistre. Après bilan, le témoin, non blessé, a été laissé sur place.
Un nouveau radar chantier, en remplacement de l’ancien dispositif, devenu obsolète, a été mis en place, hier, à Fuans, sur la départementale 242. L’objectif est de lutter contre les excès de vitesse, première cause d’accidents mortels sur les routes du Doubs. Depuis le début de l’année 2025, les accidents ont augmenté de 5 %, entraînant la mort de neuf personnes sur le département. Il est rappelé que leur dégradation est une infraction punie jusqu'à 15 000 euros.
Nous avons très peu d’information pour le moment. Un feu de véhicule, suivi d’une explosion, a causé la mort d’une personne, qui se trouvait à l’intérieur, à Chenecey-Buillon. Les secours, la gendarmerie, et un représentant de la mairie se sont rendus sur place.
Depuis le début de l’année 2025, les accidents de la route sont en hausse dans le Doubs, avec une augmentation notable des excès de vitesse, principale cause des collisions mortelles. Face à ce constat alarmant, la gendarmerie du Doubs a renforcé ses opérations de contrôle la semaine dernière, aboutissant à une centaine d’infractions relevées. Parmi les excès les plus marquants :
Les forces de l’ordre ont procédé à des retraits de permis et des mises en fourrière.
Dans la nuit du 8 mai 2025, une tentative de vol avec violences s’est produite à l’angle de la rue de la République et de l’avenue Gaulard, à Besançon, près du QG. Un équipage de police, alerté par le CIC, a surpris trois individus sur le vélib de la victime, dont l’un avait du sang sur les mains. Des témoins ont confirmé que les suspects avaient tenté de lui dérober sa montre.
Tous âgés de 18 ans et en état d’ivresse, les mis en cause correspondaient aussi au signalement des auteurs d’une agression survenue peu avant dans le même secteur. Après leur interpellation, ils ont été placés en garde à vue, tandis que la victime, bien que ne souhaitant pas porter plainte, a été entendue par les enquêteurs. Deux des suspects seront convoqués devant la justice le 20 novembre prochain. Le troisième a été laissé libre.
Le Festival Détonation revient les 26 et 27 septembre prochain à Besançon, à La Rodia, pour une édition amplifiée et pleine de surprises. Après le succès du nouveau format en 2024, l’événement réinvestit ses trois scènes, toujours accompagné du Bezac Soundsystem.
Les premiers noms
Et voici les premiers artistes qui fouleront la scène cette année !
Miki, le phénomène pop du moment
Feldup, avec ses influences rock des années 2000
YARD, représentant la scène irlandaise avec son electro noise puissant
La Chica, qui revient à Besançon avec un set electro inédit
Bryan’s Magic Tears, entre shoegaze et pop britannique
La billetterie
Elle est ouverte dès maintenant !
Billet jour : 28€ / 25€ avec la Carte Rodia
Pass 2 jours : 50€ / 45€ avec la Carte Rodia
Offre spéciale : 20€ le billet jour pour les détenteurs de la Carte Avantages Jeunes, disponible uniquement au guichet de La Rodia.
La programmation complète sera dévoilée le 10 juin.
Habituée aux concours et aux récompenses, la boulangerie Michelin, implantée à Doubs et Pontarlier, s’est une nouvelle fois encore illustrée nationalement. Plus rien n’arrête le Haut-Doubiste Nicolas Philippe, qui vient de décrocher le prestigieux titre de « meilleur sandwich de France, inspiration de la mer, dans la catégorie coup de cœur du jury. À travers des sélections régionales et une finale organisée à Paris, ce rendez-vous, le deuxième du nom, met à l’honneur la créativité et l’expertise de ces professionnels.
L'interview de la rédaction : Nicolas Philippe
Un concours pensé pour l’excellence culinaire
Ce concours national, à l’initiative de la confédération nationale de la boulangerie, vise non seulement à valoriser les savoir-faire, mais aussi à accompagner l’évolution des tendances alimentaires et des attentes des consommateurs. Les candidats s’affrontent dans trois catégories distinctes. Ainsi, le sandwich à base de viande, celui inspiré de la mer et le végétarien, qui pousse les participants à imaginer d’autres recettes, sont soumis aux inspirations culinaires de chacun. Tout en respectant un cahier des charges bien défini.
Un défi mêlant technique et créativité
Pour chaque catégorie, les candidats disposent d’un panier d’ingrédients soigneusement sélectionnés, leur offrant une liberté d’innovation sans perdre de vue l’équilibre gustatif et la cohérence des saveurs. Les épreuves s’étalent sur deux jours, alternant phases de préparation et de réalisation, sous contrainte de temps. « Ce n’est pas seulement une question de technique, mais aussi d’adaptabilité et de créativité » explique Nicolas Simon, qui s’est, une nouvelle fois encore, montré à la hauteur de l’enjeu.
L'interview de la rédaction : Nicolas Philippe
Un tremplin professionnel et un vecteur de transmission
« Participer à ce concours, c’est avant tout s’exprimer à travers une passion, mais c’est aussi un moyen d’apprendre, de transmettre et de s’ouvrir à d’autres horizons professionnels », explique M. Philippe. Le professionnel reconnaît que le métier évolue et que le snacking est « une tendance croissante », qui correspond aux attentes et aux besoins des consommateurs. Nicolas Philippe y voit aussi une démarche formatrice, en direction de ces jeunes collègues, qui pourront s’en inspirer pour enrichir et compléter leur parcours professionnel.
L'interview de la rédaction : Nicolas Philippe