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Après six semaines de fermeture, la RN83 entre Beure et Larnod (Doubs) rouvre à la circulation cet après-midi, comme prévu. Les travaux réalisés par la DIR Est ont permis de sécuriser les falaises, renforcer les soutènements de la route, rénover la chaussée et effectuer divers entretiens impossibles en présence de trafic.

La projection du film Da Vinci Code, prévue ce jeudi 28 août au parc Saint-Étienne de la Citadelle de Besançon, est annulée en raison de conditions météorologiques défavorables. Les spectateurs ayant réservé seront informés par mail des modalités à suivre.

Pour plus d’informations, consultez le programme officiel de la Citadelle.

 

Après plus de quinze ans à la tête de la région, la socialiste Marie-Guite Dufay mettra définitivement  fin à son mandat le 5 septembre prochain, avec l’élection de son successeur. Élue en 2008 à la présidence de la région Franche-Comté, puis reconduite en 2016 et 2021 à la tête de la Bourgogne-Franche-Comté, elle aura marqué la vie politique régionale par son engagement social et sa fidélité au Parti socialiste. À 76 ans, elle choisit de passer le relais, estimant que « le moment est venu de transmettre ».  Le sénateur Jérôme Durain devrait lui succéder à la tête de la collectivité locale.

Le parc des Ouillons vient d’enrichir son offre avec deux nouvelles installations dédiées aux sports de glisse et de plein air : une Pumptrack et un Ludi’Park VTT. L’inauguration s’est tenue ce mardi 26 août en présence d’élus, de partenaires et surtout de  jeunes Pontissaliens impatients d’essayer ces nouveaux terrains de jeu. Ces aménagements viennent compléter un site déjà riche en équipements : piste d’athlétisme, skate-park, aire de jeux, gymnases ou encore piscine. Objectif affiché : faire du parc des Ouillons un pôle incontournable pour la pratique sportive, conviviale et intergénérationnelle.

Des installations adaptées à tous les niveaux

La Pumptrack, avec son tracé bosselé décliné en trois niveaux de difficulté, permet la pratique de multiples disciplines : trottinette, vélo, roller, skateboard ou encore BMX. Les débutants peuvent s’y initier en toute sécurité, tandis que les plus aguerris trouvent un terrain stimulant pour perfectionner leurs figures et leur vitesse. De son côté, le Ludi’Park VTT propose un plateau technique composé de modules variés en bois, acier et rocher. Conçu pour travailler la maniabilité et le pilotage, il s’adresse aussi bien aux jeunes qu’aux passionnés souhaitant développer leurs compétences en conditions réelles. Une passerelle facilite la circulation entre les deux espaces, favorisant la découverte et la diversité des pratiques.

Un projet au service de la jeunesse

Pensé comme un outil d’éducation sportive et de loisirs, le projet vise à rendre accessible la pratique des sports de glisse dans un cadre sécurisé. Il s’inscrit dans une volonté plus large de dynamiser l’offre sportive locale et de répondre aux attentes des jeunes pratiquants.

Un investissement partagé

Le coût total de l’opération s’élève à 380 000 € TTC. Ce projet a pu voir le jour grâce à plusieurs financements : 57 800 € apportés par la DETR (Dotation d’Équipement des Territoires Ruraux) et 80 471 € par l’Agence nationale du sport (ANS), complétés par la collectivité.

Une nouvelle vitrine sportive pour Pontarlier

Avec ces équipements modernes, le parc des Ouillons confirme son statut de cœur battant de la vie sportive pontissalienne. Lieu de rencontre, de partage et de progression, il promet d’attirer sportifs confirmés, familles et curieux en quête de nouvelles expériences.

À Besançon, le quartier de Planoise s’apprête à accueillir un nouvel équipement d’envergure : un bâtiment entièrement dédié aux activités numériques. Situé à proximité de la rue de Dole et du CHU, cet espace remplacera une friche et se veut un lieu moderne. Son ambition : rassembler start-ups, fablabs, entreprises, associations et services autour d’une filière numérique locale encore éparse.

Une gouvernance partagée

Le montage financier et institutionnel repose sur une co-responsabilité. Grand Besançon Métropole (GBM) sera propriétaire du rez-de-chaussée, destiné à l’accueil et aux premiers services, tandis que les quatre étages supérieurs seront concédés à Territoire 25 pour 15 ans. Ce dernier en assurera la location et l’animation auprès des partenaires, dans le respect d’un cahier des charges précis, incluant notamment des plafonds de loyers (environ 120 €/m²).

 

PLANOISE NUMERIQUE ELUS

Un projet d’inclusion numérique

Au-delà d’un simple incubateur, l’équipement veut aussi devenir un « centre numérique névralgique » pour le territoire. Objectif : ne laisser personne de côté face aux usages numériques. Des actions d’inclusion et de formation sont prévues, afin que le lieu bénéficie aussi aux habitants éloignés des technologies.

L'interview de la rédaction : Denis Leroux, président directeur général de Territoire 25 

Un investissement de plus de 10 millions d’euros

Le projet représente un budget d’environ 10 M€. L’État, via les fonds du Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain (NPNRU), apporte 3,7 M€. La Région Bourgogne-Franche-Comté contribue à hauteur de 2,8 M€. Le reste est complété par des prêts de la Banque des Territoires, garantis par l’Union européenne, et par GBM. Un montage financier jugé solide et exceptionnel par ses porteurs.

Un calendrier précis

La pose de la première pierre a eu lieu ce mardi 26 août. Les marchés de travaux sont en cours d’attribution. Le chantier démarrera en novembre 2025 pour une durée estimée à 18 mois. La livraison est prévue à la mi-2027.

Une architecture ouverte sur la ville

Le cabinet CoCo Architecture, représenté par Jean-Baptiste Barbet, pilote la maîtrise d’œuvre. Le bâtiment se veut « urbain et accueillant » : aligné sur la rue, doté d’un rez-de-chaussée vitré sur toute sa façade pour laisser entrevoir les activités du fablab et du hall d’accueil. Le parti pris architectural : créer un lieu transparent et visible, pensé comme une « bulle » ouverte sur le quartier.

 

planoise numerique

Confort, flexibilité et performance énergétique

L'interview de la rédaction :  Jean-Baptiste Barbet, l'architecte du projet 

Le projet répond aux défis du numérique comme à ceux de la transition écologique. Les espaces ont été conçus pour être modulables, capables d’accueillir des bureaux, des salles mutualisées ou des plateaux techniques, avec une surdimension des réseaux informatiques et une sécurisation des données. Côté confort, une attention particulière a été portée à la lumière naturelle, tout comme à l’isolation et la compacité des lieux. Pour l’été, le rafraîchissement sera assuré par une ventilation double flux avec modules adiabatiques, évitant ainsi le recours à la climatisation.  Comparable à l’espace Numericable de Montbéliard, ce nouveau pôle se positionne comme un levier économique, social et technologique majeur. Pour ses porteurs, il ne s’agit pas seulement d’un immeuble de bureaux, mais d’un outil stratégique destiné à structurer et dynamiser toute une filière.

Ce mercredi, les routes du Jura accueilleront la quatrième étape du Tour de l’Avenir, une course cycliste emblématique de 110 kilomètres qui fait vibrer les passionnés de vélo à travers toute la France. Le départ sera donné à Montagnat, dans l’Ain. À 11h, les jeunes femmes s’élanceront pour ouvrir la journée, suivies à 12h30 par les hommes, prêts à affronter un parcours vallonné et technique. L’arrivée est prévue sur le territoire de la commune de Val Suran, avec une estimation d’arrivée autour de 13h30 pour les premières femmes et 15h15 pour les hommes les plus rapides. Côté itinéraire, les coureurs traverseront plusieurs communes du Jura, notamment Saint-Amour, Thoissia et Montfleur, offrant des points de vue spectaculaires et des opportunités uniques pour encourager les futurs champions. La caravane publicitaire, fidèle au rendez-vous, précédera le peloton masculin d’environ 30 minutes, apportant une touche festive et conviviale aux spectateurs massés le long du parcours.

Mais au fait, qu’est-ce que le Tour de l’Avenir ?

Souvent surnommé le Tour de France des jeunes, le Tour de l’Avenir est une course par étapes réservée aux cyclistes de moins de 23 ans, considérée comme le tremplin vers le cyclisme professionnel. Créé en 1961, il fait partie de la Coupe des Nations UCI Espoirs et rassemble les meilleurs espoirs du monde entier, représentant leurs équipes nationales. De grands noms du cyclisme ont marqué cette course avant de briller sur les plus grandes compétitions : Bernal, Pogačar, LeMond, Indurain… tous ont porté le maillot de leader du Tour de l’Avenir avant de conquérir celui du Tour de France. Depuis 2023, une version féminine a vu le jour, offrant aux jeunes cyclistes femmes une plateforme équivalente pour se révéler sur la scène internationale.

Le championnat de National 3 a repris ses droits le week-end dernier. Les clubs francs-comtois étaient sur le pont, mais aucun d’eux n’a réussi à décrocher la victoire. Entre matchs nuls encourageants et défaites inquiétantes, ce premier acte laisse un goût mitigé. Au total, les clubs francs-comtois affichent un bilan de quatre matchs nuls et trois défaites. Aucun n’a su s’imposer lors de cette première journée, un départ poussif. La saison est longue, mais ce premier rendez-vous rappelle qu’il faudra beaucoup de constance et de rigueur pour exister dans ce championnat relevé.

Lors de cette  première journée, Jura Dolois a été tenu en échec à domicile par Thonon Évian (0–0). Le Racing Besançon s’est incliné face à Torcy sur le score de 2–1, tandis que Belfort a partagé les points avec Ivry (1–1). De son côté, le Besançon Foot a subi une lourde défaite sur le terrain de la réserve de Troyes, battu 4–1. Le CA Pontarlier a réussi à accrocher la réserve de Strasbourg en obtenant un nul 1–1. La réserve du FC Sochaux-Montbéliard a également débuté par un partage des points contre Mulhouse (1–1). Enfin, Jura Sud a connu un déplacement difficile à Feurs, largement battu 5–1.

Le Département du Jura renouvelle son engagement aux côtés du biathlète jurassien Quentin Fillon Maillet, champion olympique et figure emblématique du territoire. Originaire de Champagnole et licencié au Ski Club du Grandvaux, l’athlète incarne à la fois l’excellence sportive et l’attachement à ses racines. Ce partenariat, prolongé jusqu’aux Jeux Olympiques d’hiver 2026, vise à renforcer le rayonnement du Jura sur la scène internationale à travers les performances et les valeurs portées par Quentin.