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Ce vendredi 22 août, Morbier ( 39) accueille son 34e concours interprofessionnel. Trente-quatre fromageries présentent leur fromage à un jury de 24 experts. Aspect, texture et goût sont évalués à l’aveugle pour désigner le meilleur morbier.

La Fête du morbier propose aussi dégustations, démonstrations et marché artisanal. Plus de 3 000 visiteurs sont attendus pour cette journée conviviale. L’affiche 2025 a été illustrée par Ines, élève de l’école primaire de Morbier. Un événement festif organisé par la mairie et le Syndicat du morbier.

Formé au FC Sochaux-Montbéliard et originaire de la région, le footballeur Boris Moltenis (25 ans) poursuit son ascension en rejoignant un club  de troisième division espagnole. Défenseur central, Moltenis a débuté en Ligue 2 en 2018 avant de connaître plusieurs expériences en France, en Pologne et en Autriche. De retour au FCSM en 2023, il s’est illustré en National avec 34 matchs et 3 buts.

La piscine municipale Georges Cuinet de Pontarlier sera fermée du lundi 25 août au dimanche 7 septembre inclus afin de réaliser la maintenance technique annuelle. Les activités reprendront dès le 8 septembre, notamment les cours d’aquabike proposés : les lundis et vendredis de 12h30 à 13h15 et les mardis et jeudis de 18h45 à 19h30

Le 19 août, vers 22h45, rue Flandres-Dunkerque, à Besançon, une patrouille de police a surpris un individu de 21 ans tentant de dissimuler un sac plastique dans la boîte à gants de son véhicule. Celui-ci contenait 11,4 g de résine de cannabis.

Lors de son interpellation, les policiers ont également découvert 860 euros. Le jeune homme a reconnu vendre des stupéfiants pour rembourser une dette, sans livrer l’identité de ses fournisseurs. Placé en garde à vue, il sera jugé en comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité le 26 février 2026.

Le 20 août, vers 10h30, rue de Belfort, à Besançon, un facteur a été menacé alors qu’il poursuivait un individu venant de lui dérober un colis. Le suspect a mimé la présence d’un couteau en déclarant : « Bouge de là ! Casse-toi sinon je te plante », avant de prendre la fuite. Rapidement interpellé par la police, l’homme de 23 ans a été placé en garde à vue. Le colis, retrouvé légèrement dégradé, a pu être récupéré. Il devra répondre des faits devant la justice le 9 mars prochain.

À l’approche de la rentrée, le réseau Ginko se mobilise sur tout le territoire de Grand Besançon Métropole afin de simplifier vos démarches de transport. Création de cartes Ginko Mobilités, achat de PASS Abonnement ou Voyages, informations pratiques… les équipes Ginko viennent à votre rencontre pour vous accompagner.

Un stand au cœur de Besançon

Un grand stand Ginko sera installé place de la Révolution à Besançon, le vendredi 29 août de 9h à 18h30. L’occasion idéale pour effectuer toutes vos démarches sans vous déplacer jusqu’à l’agence.

Des rendez-vous dans les communes et centres commerciaux

Pour être au plus près des habitants, Ginko organise également plusieurs permanences dans les communes de l’agglomération et dans les centres commerciaux :

  • Saint-Vit (Intermarché) : vendredi 22 août – 10h à 13h
  • Pouilley-les-Vignes (Super U) : samedi 23 août – 10h à 13h
  • École-Valentin (Carrefour) : samedi 23 août – 14h à 18h
  • Saône (France Services Mairie) : lundi 25 août – 9h à 12h
  • Devecey (médiathèque Georges Sand) : lundi 25 août – 13h30 à 16h30
  • Roche-lez-Beaupré (Maison des services) : mardi 26 août – 9h à 12h et 13h30 à 17h
  • Chalezeule (Carrefour) : mercredi 27 août – 9h à 17h
  • Châteaufarine (La Galerie) : jeudi 28 août – 9h à 18h

Des stands sur les campus universitaires

Les étudiants ne sont pas oubliés ! Pour préparer sereinement leur rentrée, Ginko sera également présent directement sur les campus bisontins :

  • Campus de la Bouloie (Maison des étudiants) : lundi 1er septembre – 11h30 à 14h
  • Campus des Hauts du Chazal (UFR SMP) : mardi 2 septembre – 11h30 à 14h
  • Campus Mégevand (UFR SLHS) : mercredi 3 septembre – 11h30 à 14h

À savoir

Pour la création d’une carte Ginko Mobilités, il est indispensable de se munir d’une pièce d’identité et d’une photo (si la personne concernée n’est pas présente). Avec ce dispositif déployé sur tout le territoire, Ginko confirme sa volonté de rendre la mobilité simple et accessible pour tous à la rentrée.

Après la crise du Covid-19, le football féminin local a traversé une période difficile. De nombreuses joueuses ont quitté les terrains, menaçant la pérennité des équipes. Pour éviter une disparition pure et simple de la section, un groupement a été constitué entre l’US Les Fins et l’Entente Saugette Entre Roches : le GSF Haut-Doubs.  Â« Le choix a vite été fait : soit on stoppait le foot féminin, soit on s’organisait autrement. Et ça aurait été dommage de perdre cet héritage », confie la défenseure Fanny Huguenin.

L'interview de la rédaction : Fanny Huguenin 

Une volonté de pérenniser la pratique

Le football féminin aux Fins existe depuis plusieurs décennies. Les dirigeants tenaient à maintenir cette tradition, conscients de la difficulté à relancer une équipe une fois dissoute. Aujourd’hui, le groupement  rassemble environ 35 joueuses, permettant même la création d’une équipe B. « L’ambiance est excellente, sur le terrain comme en dehors. On a des filles qui viennent de tout le Haut-Doubs, et ça crée une vraie dynamique », souligne la footballeuse.

gsf haut doubs foot filles

Un bilan sportif encourageant

La saison écoulée a confirmé la pertinence de ce regroupement. L’équipe première, engagée en Régionale 1 – le plus haut niveau régional –, a terminé à une honorable 7e place sur 12. Elle s’est également illustrée en Coupe de France en atteignant le premier tour fédéral face à une équipe de 3è division, puis en demi-finale de Coupe régionale disputée à domicile.
« Ce sont d’excellents souvenirs et des expériences précieuses face à des équipes plus expérimentées », note le staff.

Une nouvelle saison ambitieuse

La préparation a débuté dès la mi-juillet, avec une vingtaine de joueuses présentes à chaque séance malgré les vacances estivales. La reprise officielle est prévue le week-end du 6-7 septembre, avec un déplacement périlleux au Racing Besançon, adversaire habitué au haut niveau. « On sait que la saison sera exigeante, avec de longs déplacements jusqu’à Auxerre ou Mâcon. Mais c’est une opportunité pour progresser et continuer à faire grandir le football féminin dans le Haut-Doubs. »

L'interview de la rédaction : Fanny Huguenin 

Depuis ce jeudi, le fronton de l’Hôtel de Ville de Besançon arbore un nouveau drapeau aux côtés des étendards français, européen et ukrainien : un drapeau blanc, symbole universel de paix. La maire écologiste Anne Vignot a choisi ce signe fort, dans un contexte international marqué par la guerre en Ukraine, le conflit au Proche-Orient et d’autres crises oubliées. « C’est une demande en référence à l’humanité et à l’humanisme. Le drapeau blanc a une valeur universelle », a expliqué l’édile, insistant sur le fait qu’il ne s’agit pas d’un geste de politisation, mais d’un cri : « Ça suffit ».

De la controverse du drapeau palestinien à un symbole universel

La décision intervient après une polémique autour de la présence d’un drapeau palestinien à ce même endroit, finalement retiré sur demande du préfet du Doubs, Rémi Bastille. Respectueuse des règles républicaines, Anne Vignot s’est pliée à l’injonction : « On me demande de le retirer, je le retire. Mais je ne le regrette pas un seul instant », précise-t-elle. Pour autant, l’élue a voulu marquer la continuité de son engagement en faveur de la paix. « Le drapeau blanc représente une volonté de paix. C’est juste ça », a-t-elle insisté, rappelant que « la douleur des familles palestiniennes ne doit pas faire oublier celle des familles juives d’otages Â».

L'interview de la rédaction : Anne Vignot 

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Entre solidarité locale et responsabilité institutionnelle

Anne Vignot revendique une approche fondée sur l’humanisme et la solidarité internationale, au-delà des lignes géopolitiques. Elle évoque la situation au Darfour, au Soudan ou encore en République du Congo, trop souvent ignorée, selon elle : « Des enfants meurent de faim, et plus personne ne s’en émeut. Nous avons l’obligation de dire que la solidarité est internationale ». La maire de Besançon souligne ainsi le rôle des collectivités locales comme relais d’une parole citoyenne : « Je représente la République, mais je relaie aussi les combats. Les citoyens attendent que l’on exprime cette volonté d’ouverture et de fraternité. »

drapeau blanc

 

Une position entre fermeté et respect de l’État

Anne Vignot affirme respecter la légalité, tout en cherchant à préserver l’autonomie politique et symbolique de la municipalité : « Je suis une élue de la République, je respecte la loi. Mais je ne regrette pas d’avoir donné à voir la souffrance des peuples. » Le drapeau blanc, choisi comme compromis, se veut un message fédérateur. Là où le drapeau palestinien avait suscité débats et tensions, l’édile souhaite faire entendre un appel universel à la paix, au moment où les guerres et les divisions secouent le monde.

L'interview de la rédaction : Anne Vignot