Choix du secteur :
Se connecter :
 

Oscar Lombardot ne participera pas à l’ouverture de la saison de Coupe du monde en Suède, le 29 novembre. Le licencié de l’ES Saugette n’a pas été retenu par la Fédération française de ski. À 25 ans, le Pontissalien devra poursuivre sa progression en IBU Cup, tandis qu’Antonin Guigonnat (34 ans) lui a été préféré dans une liste masculine où figure notamment le Jurassien Quentin Fillon Maillet. La Pontissalienne  Lou Jeanmonnot portera également le dossard tricolore.

L’UFR STAPS de Besançon fête ses 50 ans ce mercredi sur le campus de l’Université Marie et Louis Pasteur. Fondée en 1975, l’unité de formation en sciences et techniques des activités physiques et sportives célèbre un demi-siècle d’engagement pédagogique, scientifique et sportif. Au programme ce matin : les traditionnels prises de parole des officiels, conférence historique et table ronde sur l’évolution du campus sportif depuis 1975. Un hommage à Yvette Demesmay, première directrice de l’UFR, ponctuera la matinée, avec la dénomination de la salle de danse à son nom.

L’après-midi sera consacré aux nouvelles installations : PIMS, piste d’athlétisme, Maison campus sports et parkour. À 15h, les doctorants ouvriront "Stranger STAPS", une articulation entre formation et recherche. Enfin, à 18h, le concours "Mon poster en 180 secondes", prix Yvette Demesmay, viendra clore cette journée anniversaire, entre transmission et innovation.

Après plusieurs semaines de discussions soutenues, la Suisse et les Etats-Unis sont finalement parvenus à un compromis visant à réduire de manière significative les droits de douane qui frappaient divers produits suisses. La surtaxe américaine, ramenée de 39 % à 15 %, devrait redonner un élan aux exportations helvétiques vers les États-Unis. Toutefois, cette avancée diplomatique n’a été obtenue qu’au prix de concessions conséquentes.

Pourquoi ces taxes avaient-elles été instaurées ?

Depuis août 2025, l’administration Trump appliquait une surtaxe de 39 % sur plusieurs marchandises suisses, notamment dans l’horlogerie, la pharmacie, la mécanique de précision ou encore les métaux précieux. Cette stratégie protectionniste visait à encourager les pays partenaires à renforcer leurs investissements sur le sol américain. Pour de nombreuses entreprises suisses, particulièrement celles situées dans les zones industrielles proches de la France, cette taxe constituait un sérieux frein à l’exportation et fragilisait leur compétitivité internationale.

Un compromis accepté, mais assorti de trois obligations majeures

Des investissements massifs outre-Atlantique : La Suisse accepte que ses entreprises injectent 200 milliards de dollars aux États-Unis d’ici 2028, dont 67 milliards dès 2026. Ces capitaux devront être dirigés vers des secteurs jugés stratégiques par Washington : santé, aéronautique, ferroviaire et or industriel.

Une ouverture partielle du marché agricole suisse : Berne autorisera l’entrée sans taxe de 500 tonnes de bÅ“uf, 1 000 tonnes de viande de bison et 1 500 tonnes de volaille en provenance des États-Unis. Cette décision alimente déjà les inquiétudes du monde agricole suisse, qui redoute une concurrence jugée déloyale et s’interroge sur l’avenir de la souveraineté alimentaire.

L’adoption de standards techniques américains : La Suisse devra également reconnaître certaines normes américaines, notamment dans les domaines automobile et chimique, afin de faciliter les échanges bilatéraux.

Conséquences pour les régions frontalières et l’économie locale

Dans l’Arc jurassien, où les exportations constituent le moteur économique principal, l’annonce est perçue comme une véritable bouffée d’oxygène. À Neuchâtel ou dans d’autres centres industriels, les entreprises espèrent rapidement regagner en compétitivité sur le marché américain.

Que reste-t-il à faire ?

L’accord doit encore franchir l’étape du Parlement suisse. Certains partis — en particulier les écologistes et les mouvements souverainistes — envisagent de lancer un référendum, surtout concernant l’ouverture du marché agricole. Le débat politique promet d’être animé.

Dans un communiqué, Jean-Philippe Allenbach, président du Mouvement Franche-Comté, annonce que le Procureur de la République de Besançon ouvre une enquête pour suspicion de favoritisme. La plainte, déposée le 26 mai par Maître Baptiste Monnot, au nom du Mouvement Franche-Comté,  contre la maire de Besançon, vise l’attribution d’un marché public à l’artiste grenobloise  Lili Reynaud-Dewar pour la réalisation de la statue de Jenny d’Héricourt, qui trône actuellement au centre-ville de Besançon.

Le festival No Logo, prévu à Ornans en 2026, est annulé faute de terrains disponibles. Deux exploitants agricoles se sont retirés, malgré l’accord quasi unanime du conseil municipal.
La mairie déplore « un coup d’arrêt regrettable pour l’attractivité et le rayonnement d’Ornans », évoquant des pressions liées au contexte électoral. L’événement, indépendant des subventions publiques, aurait généré près d’un million d’euros de retombées. Aucune alternative n’est annoncée pour l’instant.

À Besançon, un rassemblement est prévu ce mercredi à 14h30, place Pasteur, à l’initiative de Sol Mi Ré. L’action s’inscrit dans la Journée internationale des droits de l’enfant et vise à alerter sur les discriminations et les violences subies par les mineurs, notamment étrangers. Le mouvement est soutenu au niveau national par la Coordination des mineurs isolés en lutte.

Un accident impliquant deux véhicules légers s’est produit ce mardi 18 novembre, en fin d’après-midi,  sur la départementale 683,  Ã  hauteur de Grosbois, en direction de Besançon. Trois personnes — deux femmes âgées d’environ 30 ans et un enfant de 9 ans — sont indemnes.

Dans le cadre de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, qui se tiendra le 25 novembre, la préfecture du Doubs et la Délégation départementale aux droits des femmes lancent une opération de sensibilisation  ce mercredi 19 novembre : 165 000 sachets de boulangerie, illustrés du violentomètre et des numéros d’aide aux victimes, seront distribués.  Trois lieux ont été choisis :  A 8h30, à Audincourt, à la boulangerie Finck, à 9h, au Fournil du Lac, à Oye-et-Pallet, et à 11h, à la boulangerie Figard, à Besançon.