Anne Vignot, présidente de Grand Besançon Métropole, a envoyé une lettre ouverte au futur président de la CCI Saône-Doubs, dont l’élection est en cours. L’élue aimerait connaître ses intentions concernant la politique qu’il souhaite mener avec La collectivité , « première agglomération de Franche-Comté ».
Il est précisé que le Grand Besançon « souhaite continuer à agir demain avec ce nouvel interlocuteur ». Mme Vignot ne cache pas ses interrogations « sur le nouveau projet qui sera développé sur l’ensemble du territoire du Doubs et de la Haute-Saône ». Il est précisé qu’elle prendra contact avec le nouvel exécutif de la CCI fusionnée « au lendemain de son élection ».
Dans le cadre de la journée mondiale d’actions pour la justice climatique, un rassemblement est prévu ce samedi 6 novembre, à 14h30, sur la place Pasteur à Besançon. Dans la cité comtoise, Alternatiba/ANV Besançon invite à la mobilisation et a confectionné un panneau, commençant par #COP26 et complété par une phrase de votre choix, sur le thème du changement climatique, adressée aux dirigeants réunis à Glasgow.
L’application « Impli’cité » de la Ville de Morteau est désormais disponible sur l’APP Store d’Apple pour Iphone. Mise en service dans un premier temps pour les systèmes Android, elle permet de signaler un problème sur l’espace public (lampadaire défectueux, propreté, problème sur la voirie, dégradation du mobilier urbain, déneigement, …).
L’application vous géolocalise. Vous prenez une photo et sélectionnez le dysfonctionnement à signaler. Ce dernier est transmis aux services techniques de la ville pour un traitement dans les meilleurs délais et vous êtes informés du suivi de votre demande.
Pour télécharger les applications en ligne :
Lien vers l’App Store : https://apps.apple.com/fr/app/implicit%C3%A9/id1593187238?ign-itsct=apps_box_link&ign-itscg=30200
Lien vers Google Play pour Android : https://play.google.com/store/apps/details?id=org.morteau.implicite&gl=FR
Le BesAC n’a rien pu faire hier soir à Mulhouse. Dans le cadre de la 10è journée de nationale 1 masculine, les basketteurs bisontins se sont inclinés sur le score de 81 à 64 en Alsace. Cette nouvelle défaite n’arrange pas les affaires du club bisontin, qui se rapproche dangereusement de la place de lanterne rouge.
Concernant l’épidémie de Covid-19, la circulation virale augmente en Bourgogne-Franche-Comté. Néanmoins, le seuil d’alerte se maintient encore sous le seuil d’alerte de 50 pour 100.000 habitants. Excepté dans le département du Jura.
Sur ce territoire, le taux d’incidence a augmenté de près de 50 points en moins d’une semaine. L’Agence Régionale de Santé rappelle l’importance pour les personnes vaccinées depuis 6 mois et particulièrement vulnérables du fait de leur âge ou de leur état de santé de renforcer leur protection vaccinale par une 3è dose de vaccin et de simultanément se vacciner contre la grippe.
Les forces de l’ordre pontissaliennes constatent une augmentation des incivilités concernant le tri des déchets. Il est apparu que certains particuliers, pour réduire le coût de leur facture, se débarrassent illégalement de leurs déchets ménagers. Dernièrement, des individus, sans complexe, les ont jetés dans une benne appartenant à la mairie. Les faits ont été constatés rue Jean Mermoz. Les auteurs n’ont pas encore pu être identifiés.
Un jeune pontissalien de 18 ans a fait l’objet d’un rappel à la loi pour des faits de corruption de mineur. Il a été reconnu que cet individu avait envoyé des SMS insistants à un jeune homme de 17 ans. La plainte avait été prise par la brigade de gendarmerie d’Ornans. Le jeune harceleur a été entendu au commissariat de police de Pontarlier. Il a reconnu les faits et évoqué une plaisanterie, plutôt qu’une réelle envie de nuire.
Un jeune pontissalien de 18 ans a fait l’objet d’un rappel à la loi pour des faits de corruption de mineur. Il a été reconnu que cet individu avait envoyé des SMS insistants à un jeune homme de 17 ans. La plainte avait été prise par la brigade de gendarmerie d’Ornans. Le jeune harceleur a été entendu au commissariat de police de Pontarlier. Il a reconnu les faits et évoqué une plaisanterie, plutôt qu’une réelle envie de nuire.