Ce vendredi soir, le BesAC dispute un nouveau match amical. Les Bisontins affrontent Golbey Epinal. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 19h au gymnase des Montboucons. L’entrée est gratuite. Pass sanitaire et masque obligatoires.
Concernant l’épidémie de Covid-19. Selon les chiffres communiqués par le Rectorat de Besançon, arrêtés jeudi en début d’après-midi, une structure scolaire a fermé ses portes dans l’académie. 70 classes suivent les cours à distance.
213 élèves et 9 personnels sont cas confirmés à la Covid-19 en cumul sur les 7 derniers jours. L’administration explique que chaque établissement scolaire « aura proposé d'ici la fin du mois de septembre une offre de vaccination aux élèves dans le cadre scolaire ». Dans les écoles, les campagnes de tests salivaires ont repris depuis cette semaine.
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La semaine n’a pas été de tout repos pour les joueuses de l’ESBF après leur défaite le 8 septembre dernier à Metz ((33-24) lors de la 1ère journée de Ligue Butagaz Energie. « On a élevé le curseur » déclare Sébastien Mizoule, bien décidé à remobiliser ses troupes après ce match au cours duquel les Bisontines ont failli. « La stratégie n’a pas été respectée » déplore le coach. S’il a pu apprécier quelques bonnes prestations individuelles (Juliette Faure, Juliette Mairot, Natalia Nosek), il souhaite un collectif plus performant. D’autant plus que les deux prochains matches, avec un déplacement à Chambray et la réception de Paris 92, ne s’annoncent pas des plus simples.
Ce samedi, face à Plan de Cuques, les Engagées sont très attendues. Une nouvelle défaite, sur leur parquet, devant leur public, mettrait un nouveau coup de pression sur le collectif. Sébastien Mizoule s’attend à de la résistance en face. L’arrivée de l’adversaire 48 heures avant le match est annonciatrice de l’état d’esprit des Sudistes. « Elles ne sont pas venues pour faire semblant. C’est une équipe qui ne lâche rien » explique le technicien. Et ce n’est sans doute pas l’absence d’une joueuse majeure dans l’effectif samedi soir qui les fera douter plus que de raison.
La rencontre opposant L’ESBF à Plan de Cuques se disputera ce samedi 18 septembre à 20h au Palais des Sports Ghani Yalouz.
L'interview de la rédaction
Durant les nuits du mardi 21 au mercredi 22 et du mercredi 22 au jeudi 23 septembre, la DIR Est, pour le compte de l’État, va procéder à des travaux de réfection de chaussée sur la RN57, dans le secteur de la « côte de La Main » (sur le territoire des communes de St Gorgon-Main, Ouhans et Goux-les-Usiers).
Ces travaux seront réalisés sous fermeture totale de la RN57, chaque nuit de 19h00 à 5h00, entre le lieu-dit « La Vrine » (au niveau de l’intersection RN57 / RD48) et la commune de St Gorgon-Main (à hauteur de l’intersection RN57 / RD41). Une déviation sera mise en place, dans les deux sens de circulation, par les RD48, 259 et RD41 via les communes de Bians-les-Usiers, Goux-les-Usiers et Ouhans.
Les recherches n’ont toujours rien donné sur le lac de Vouglans. Le plongeur, porté disparu depuis le 12 septembre dernier, sur le site de la Chartreuse de Vaucluse, reste introuvable. Un robot subaquatique, en provenance de Suisse, s’est rendu sur les lieux pour faciliter et orienter les recherches. D’autres moyens sont attendus ce vendredi pour renforcer les investigations sur place.
C’est désormais acté. Le groupe américain Kohler, spécialisé dans la fabrication de sanitaires en céramique, à travers sa marque Jacob Delafon, a cédé son site jurassien de Damparis au lorrain Kramer.
L’annonce a été formulée hier, via un communiqué de presse, par Agnès Pannier-Runacher, la ministre déléguée à l’Industrie. « Nos efforts permettent aujourd'hui de sauver des savoir-faire uniques et d’offrir des perspectives aux salariés » a déclaré la ministre. Elle souligne le soutien déterminant de l’Etat, de la Région et de l’agglomération dans « cette réussite ».
Rappelons que Kramer s’est engagé à recruter 70 à 75 personnes sur une période d’un an afin de porter l’effectif global de l’usine à 150 personnes. Affaire à suivre…
Ils sont déterminés et rien ne pourra venir parasiter leur engagement. Cette saison, les U16 du CA Pontarlier rugby évolueront au niveau national. Ce n’est pas encore l’élite du rugby français que vont rencontrer les jeunes Capistes, mais ils s’y rapprochent. Ils ne sont plus qu’à une division des centres de formation des clubs professionnels. Autant dire que rien n’est laissé au hasard et que le groupe de Cyril Mattera veut faire honneur à ses couleurs.

Pour ce faire, la préparation a débuté il y a plusieurs semaines. Elle est intense, mais c’est le seul moyen pour rivaliser dans ce championnat qui s’annonce relevé. Preuve que la motivation est grande et que tous les aspects sont travaillés, le week-end dernier, le groupe est allé se forger un esprit de guerrier au 13è régiment du génie de Valdahon. Encadré notamment par des militaires instructeurs, le collectif, auquel est venu s’adjoindre l’équipe des U19, n’a pas ménagé sa peine. Dans le viseur de ces jeunes rugbymen, la performance, les résultats et l’amour du maillot. Pas question de décevoir.

Un centre d’entraînement

Pour ces adolescents, le rugby est une véritable passion. Ils y consacrent de nombreuses heures durant la semaine. Physique, technique et mental… rien n’est laissé au hasard. Cette formation est d’ailleurs possible grâce au savoir-faire du club, mais également à un partenariat mené avec les établissements scolaires pontissaliens qui, comme pour d’autres disciplines, aménagent les emplois du temps des jeunes sportifs. A condition bien sûr, que les résultats scolaires suivent. D’ailleurs, pour donner les moyens aux jeunes pratiquants de performer, mais aussi parce que ces générations sont l’avenir du CA Pontarlier rugby, un centre d’entraînement vient d’ouvrir ses portes cette année pour les 16-18 ans, avec encore de la pratique, estimée entre 8 et 10 heures hebdomadaires supplémentaires. Le club n’a pas le choix, avec les moyens financiers qu’il à , s’il veut conserver sa place en fédérale 2, il doit être en capacité de former des jeunes du cru qui seront opérationnels dès leur entrée en équipe sénior. « Pas question d’aller chercher des mercenaires » conclut Cyril Mattera.
L'interview de la rédaction / Cyril Mattera