Le 1er novembre, les forces de l’ordre sont intervenues à deux reprises dans la zone commerciale de Chateaufarine, à Besançon, pour des faits de vols à l’étalage. Vers 13h, un homme de 40 ans a été interpellé après avoir dérobé pour 251 de parfums et de produits de beauté dans les enseignes Yves Rocher et Sephora. Placé en garde à vue, il a reconnu les faits. Déjà condamné, il a vu son sursis probatoire révoqué et a été écroué à la maison d’arrêt de Besançon pour purger une peine de cinq mois ferme.
Une heure plus tard, vers 14h30, un second individu, âgé de 22 ans, a été arrêté au magasin Nocibé après le vol de 549 € de parfums. Entendu puis laissé libre à l’issue de l’enquête, son dossier a été classé après régularisation.
Du 6 au 26 novembre prochain, les murs du Centre diocésain accueilleront une exposition thématique à la croisée de la foi et du septième art. Intitulée « Cinéma et religion », cette présentation est le fruit d’une collaboration entre le Centre de Ressources Iconographiques pour le Cinéma (CRIC) de l’Association des Amis du Musée de Pontarlier et le diocèse de Besançon. À travers 24 affiches originales, l’exposition propose un voyage visuel et symbolique dans la représentation du religieux au cinéma, de 1948 à nos jours.
L'interview de la rédaction : Claude Bertin Denis
Une rencontre entre culture et spiritualité
« Comme quoi, on est assez éclectique au CRIC ! » sourit Claude Bertin Denis, commissaire de l’exposition et collectionneur passionné. « Cette fois, nous présentons des affiches au Centre diocésain, sur le thème du cinéma et de la religion, principalement la religion catholique. Ces affiches vont des années 1940 à aujourd’hui et témoignent de la manière dont le cinéma s’est emparé de la question spirituelle. ». Le visiteur est invité à déambuler parmi de grands formats – 120 par 160 cm – qui ont marqué plusieurs générations de cinéphiles. De Dieu seul le sait (1957) à Des hommes et des dieux (2010), en passant par La Passion du Christ (2004), ces images de papier racontent à leur manière la quête de sens, la foi, le doute et la figure du sacré dans la culture populaire.
Une mémoire du cinéma à ciel ouvert
Collectionneur averti, Claude Bertin Denis puise dans un impressionnant fonds d’affiches qu’il conserve depuis des décennies. « Il a fallu trier un peu dans mon stock pour amener celles qui illustraient le mieux cette relation entre cinéma et religion », explique-t-il.
Chaque affiche raconte une époque, une esthétique, mais aussi un regard particulier sur la foi et la société. L’exposition met ainsi en lumière la diversité des représentations du religieux : du film biblique à la satire, du drame mystique au témoignage spirituel. À travers ces œuvres graphiques, c’est une histoire visuelle de la spiritualité au cinéma qui se déploie.
Une initiative partagée et accessible à tous
Le partenariat entre le CRIC, basé à Pontarlier, et le Centre diocésain de Besançon illustre la volonté commune de rendre la culture cinématographique accessible à tous, croyants ou non. Le public pourra découvrir cette exposition jusqu’à la fin du mois de novembre, dans un espace où le dialogue entre art, foi et mémoire prend une dimension toute particulière.
Ce lundi soir, dans un communiqué de presse, Anne Vignot appelle à l’union des forces de gauche et écologistes pour les municipales de 2026. La Maire de Besançon défend le bilan d’un mandat marqué par les crises, mais aussi par des réalisations concrètes : investissements dans les écoles, les crèches, les mobilités, le logement, et soutien aux associations et à la culture. Elle met en garde contre les dérives autoritaires et les reculs sociaux, et affirme sa volonté de poursuivre une trajectoire ambitieuse, fondée sur la coopération locale et les valeurs humanistes.
Les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus ce lundi en début d’après-midi en forêt de Chaux-Neuve, secteur du Letelet, pour porter secours à un bûcheron retrouvé inconscient dans son engin. Un véhicule tout-terrain a été mobilisé pour accéder à la victime et procéder à son extraction. Grièvement blessé, l’homme, âgé d’environ 40 ans, a été médicalisé sur place avant d’être héliporté vers le CHU Minjoz de Besançon.
Lancé par le Conseil départemental du Jura, le Club des Ambassadeurs du Jura fédère la diaspora jurassienne autour d’un amour commun pour leur territoire. Sportifs, artistes, entrepreneurs, citoyens engagés… Tous, comme le biathlète Quentin Fillon Maillet, partagent un même attachement à leur terre d’origine, et l’envie de la faire rayonner. Par cette initiative, la collectivité souhaite faire rayonner le Jura, en France et au-delà . Les personnes désireuses de rejoindre ce club et qui partagent ses valeurs sont invités à s’inscrire via le lien : Club des Ambassadeurs
Dans le cadre de Novembre Bleu, appelé également Movember, le CHU de Besançon et l’IRFC de Franche-Comté organisent une journée de sensibilisation à la santé masculine, ce jeudi 6 novembre. De 10h à 16h30, le hall de l’hôpital Jean-Minjoz accueillera stands d’information, échanges et conseils autour du dépistage, de l’hygiène de vie ou encore de la sexualité. La journée se clôturera à 19h30 au Scènacle avec la pièce « Radicale », suivie d’un débat avec des professionnels de santé. Entrée gratuite, réservation obligatoire, via le lien : https://framaforms.org/reservation-piece-de-theatre-radicale-1760687111
Le dernier tour régional de la Coupe de France féminine a tourné au cauchemar pour les clubs franc-comtois. Seul le FC Sochaux-Montbéliard a décroché son billet pour le tour suivant, grâce à une large victoire 5-0 sur la pelouse de l’ASPTT Dijon. Saint-Vit s’est inclinée à Longvic (2-1), le Racing Besançon a été dominé à Selongey (3-0), et Jura Dolois a été battu à domicile par Chatenoy-le-Royal. Une hécatombe régionale, adoucie par la performance éclatante des Sochaliennes.
Incroyable rebondissement ce week-end à Baume-les-Dames : le quatrième et dernier orphelin de la portée a été capturé avec succès. Il a été pris en charge par le centre Athénas, basée dans le Jura, à l’Etoile. Rappelons que leur mère, une lynx adulte, n’a pas survécu à une collision, en octobre dernier. Malgré le décès du troisième jeune avant sa localisation, trois rescapés ont désormais une chance d’être relâchés en 2026. Très affectés par une errance de 10 à 21 jours, ils bénéficient de soins intensifs. L’équipe reste mobilisée « à 150 % pour leur rétablissement ».