Vendredi matin, vers 10h, les policiers bisontins, en patrouille dans le tramway, ont interpellé un jeune homme de 16 ans qui était entré dans une rame sans porter de masque. L’adolescent, qui dégageait une intense odeur de cannabis, était en possession d’un joint entamé et de quelques sachets contenant de la résine de cannabis. Il a été placé en garde à vue.
Politique. Valérie Pécresse, candidate Les Républicains à l’élection présidentielle d’avril prochain, sera dans le Doubs jeudi . Elle passera la matinée à Villers-le-Lac. Le programme prévoit également un meeting politique, à 18h, à Besançon, à Micropolis.
Une personne s’est donnée la mort ce vendredi soir, vers 18h, aux Planches-en-Montagne. Cet homme de 58 ans a sauté d’un pont sur une ancienne voie du tram.
Jeudi, vers 18h30, rue de Fribourg, à Besançon, un dealer a proposé de la drogue à des policiers de la BAC. Lorsqu’il a constaté sa méprise, ce dernier a tenté de prendre la fuite. Dans sa lutte avec les fonctionnaires, il a perdu de nombreux produits stupéfiants conditionnés. Soit 105 grammes d’héroïne, 16 grammes de cocaïne et 26 grammes de résine de cannabis. Au cours de son audition, il a nié toute participation à un trafic de stupéfiants, réfutant la propriété des stupéfiants découverts au sol lors de la rébellion. Il a également expliqué s’être débattu car il ne savait pas qu’il s’agissait de policiers. Affaire à suivre.
Vendredi matin, vers 3h, les policiers de la BAC ont interpellé un homme, âgé d’une vingtaine d’années, rue du Commandant Marceau à Besançon. Alors qu’il se trouvait en compagnie de deux autres individus dans une voiture en stationnement, il a été retrouvé en possession d’un revolver, dissimulé à la ceinture, et de quatre cartouches, cachées dans une poche de son blouson. Il est également apparu qu’il faisait l’objet de plusieurs interdictions judiciaires : interdiction de porter une arme, de sortir du département du Rhône et de se rendre sur Besançon. Cet individu, placé en garde à vue, a été déféré en fin d’après-midi.
L’épidémie de Covid-19 continue de battre des records. La Bourgogne-Franche-Comté n’est pas épargnée. Actuellement, tous les départements sont concernés par des taux d’incidence à 4 chiffres. Sous l’effet de la double vague delta et omicron, la pression hospitalière s’accroît elle-aussi : plus de 900 personnes sont désormais prises en charge, dont 160 en soins critiques et l’ARS a demandé aux établissements de prolonger le plan blanc de 4 semaines.
Comme le veut la tradition, ce vendredi matin, dans les locaux du conservatoire de Besançon, Anne Vignot, la présidente de Grand Besançon Métropole, a présenté ses vœux et les projets pour l’année à venir. Gabriel Beaulieu, son vice-président, et Abdel Ghezali, 1er adjoint à la Ville de Besançon étaient également à ses côtés.
Difficile de se projeter, tant la situation sanitaire est incertaine. Néanmoins, les élus veulent continuer à travailler pour leur territoire. Tous les domaines et tous les champs d’action sont concernés : habitat, santé, économie transports, éducation, action sociale, culture, … . Les initiatives ne manquent pas. Anne Vignot veut faire de Besançon ‘un territoire vivant, à l’intérieur duquel la collectivité jouera et prendra pleinement son rôle ». « Nous avons une grande capacité à agir et réagir » ont précisé les élus.
Des projets ambitieux
Il serait fastidieux de vouloir dresser une liste précise des actions prévues mais d’importants chantiers sont d’ores et déjà lancés ou sont en cours de l’être : le projet de grande bibliothèque sur le site de l’ancien hôpital Saint-Jacques, la création de 900 logements sur le territoire du Grand Besançon, la création d’un nouveau Campus à la Bouloie, de nouvelles pistes cyclables, la base outdoor aux prés-de-Vaux, le développement et l’attractivité de la Citadelle,… . La collectivité entend également poursuivre son plan de rénovation énergétique, défendre l’hôpital public, faciliter le passage des jeunes vers l’emploi ou encore mener des opérations de solidarité auprès des publics les plus en difficulté.
L'interview de la rédaction / Anne Vignot
L’heure de la reprise a sonné pour les Sochaliens. Pour le compte de la 20ème journée de Ligue 2, ils affronteront Le Havre demain à 15 h, dans un match déjà important pour la suite du championnat.
Un match incertain
À l’heure actuelle, le match est bel et bien censé se jouer demain au Stade Océane du Havre. Oui mais voilà , les cas de COVID recensés récemment chez les Havrais laissent planer l’hypothèse d’un potentiel report de la rencontre. Cela étant, les Sochaliens se sont préparés normalement pour ce match déjà important pour la suite du championnat. Cinquième avec 33 points, les joueurs d’Omar Daf devancent d’une petite longueur les Havrais, sixième avec 32 points au compteur. Un gros morceau donc, pour entamer cette année 2022.
« On y va pour gagner, il faut marquer le coup » Aldo Kalulu.
Un match qui s’annonce difficile
Face au Havre, deuxième meilleure défense du championnat, la tâche s’annonce rude pour des Sochaliens qui connaissent d’ailleurs des difficultés sur le plan offensif. « C’est une équipe prétendante à la montée en Ligue 1. Malgré le fait qu’ils cachent leurs ambitions, ils ont un groupe très étoffé et c’est la deuxième meilleure défense de Ligue 2. Ça sera un match très difficile » déclare le technicien sochalien Omar Daf. Même son de cloche pour l’attaquant Aldo Kalulu, qui s’attend à un match forcément difficile, face à un adversaire direct dans cette course à la montée. Mais le Sochalien reste confiant avant ce match et espère que lui et ses partenaires réaliseront une grosse performance. « Quelle que soit l’issue du match, on sait que rien ne sera joué pour la suite du championnat, mais on va là -bas pour gagner, il faut marquer le coup » déclare Aldo Kalulu. Le match est lancé.
Interview de la rédaction, Omar Daf (coach du FC Sochaux Montbéliard) et Aldo Kalulu (Attaquant du FC Sochaux Montbéliard) :